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Humour

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Textes

L’agent qui ne blaguait pas avec l’écueil des publics « NOTORIOUS BIB. En bibliothèque, on peut jouer les chevaliers blancs en tambourinant que la lecture publique c’est notre raison de vivre ou qu’on a le service public dans la peau, la vérité vraie, c’est qu’il y a peu de plaisir équivalent à celui de virer un usager. Considérons par exemple ceux qui ont mauvaise haleine, comme la bande de jeunes du mercredi. Eux, on les connait bien, ils viennent de déjeuner dans un restaurant coté de notre belle conurbation et se rendent ensuite à la médiathèque pour squatter la salle d’étude toute l’après-midi. Les boissons gazeuses qu’ils ont consommées les font roter pendant plus de deux heures et la moitié de la bibliothèque sent le Big Mac. Un bonheur.

On ne va pas potiner pendant des siècles mais on pourrait aussi évoquer: En vérité, on a mille raisons plus légitimes les unes que les autres d’éconduire les usagers. ~~ Le choix de Sophie (1982) Encore, si Meryl avait daigné mettre un minimum de formes. Une sinécure. Bref. Faire connaître ce billet via : Citations d’Intellectuels : de Godard à Sarkozy.

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Images. Films. Le kit du reportage facile avec Capital. En 20 ans, Capital a réussi un tour de force que peu d'émissions peuvent revendiquer : inventer un nouveau "ton" journalistique. Quitte, désormais, à en abuser. Et si bonne soit-elle au début, à force la forme en devient caricaturale. Toi aussi camarade journaliste, apprend à réaliser un sujet pour Capital grâce à ce kit simple et rapide. Il te suffit de remplir les pointillés, et ton sujet est prêt.

Intro : présentation en 10 secondes et en situation du sujet du jour. Exemple : les panneaux photovoltaïques, les dents à prix cassés, les sites de rencontres, les locations de vacances à bas prix... Un véritable phénomène de société que certains ont décidé d'exploiter Depuis .......... ans, .......... Deux phrases d'interviews du témoin expliquant comment il a eu son idée géniale a partit d'un exemple tout bête En .......... ans, son chiffre d'affaires n'a cessé de grossir avec de véritables best sellers !

Ce marché, .........., n'est en effet pas le seul à le convoiter. Superpowers as Personal Property | Law and the Multiverse. The superpowers of many comic book heroes and villains are often in a state of flux. Powers can be gained, lost, used up, given away, abandoned, shared, and stolen, which sounds a lot like the attributes of property. Comic book characters even speak of powers as though they were possessions. Here we consider whether superpowers should be treated as personal property and the legal consequences of that view. I. Why Property? At first it may seem strange to view superpowers as property.

I think the answer is that superpowers seem much more fluid and interchangeable than ordinary human abilities, and lost superpowers have a habit of returning, one way or the other. It should also be noted that viewing superpowers as property is not incompatible with also punishing the theft or involuntary loss of a superpower as a crime and tort against the person as well. II. But the consequences don’t stop there. The property rights view may also give rise to new business models. III. Describing humor with an equation. A new theory suggests an equation for identifying the cause and level of our responses to any humorous stimuli: h = m x s. The theory argues that human beings are more reliant for their behavioural instruction on culturally inherited information than any other species, and that the accuracy of that information is therefore of unparalleled importance.

Yet the individual is exposed to the continual threats of error and deception, which can seriously affect their chances of survival and success. To compensate, humour rewards us for seeing through misinformation that has come close to taking us in. The pleasure we get (h) is calculated by multiplying the degree of misinformation perceived (m) by the extent to which the individual is susceptible to taking it seriously (s). Humour therefore exists to encourage us to take information apart and to reject that which is unsound and could potentially harm our prospects.

BD