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Trayvon martin

Algerie. Toulouse. La presse quotidienne que l’on dit « gratuite » Dernier épisode du déclin de la presse gratuite d’annonces, la mise en liquidation judiciaire, le 3 novembre 2011, de la Comareg et de son centre d’impression, Hebdoprint. Cette faillite de filiales du groupe Hersant Média (GHM), de sinistre réputation [1], provoque le licenciement de 1650 salariés : triste record des plans de licenciement de l’année 2011, après celui de 758 salariés en février dernier dans le même groupe. La Comareg éditait Paru Vendu, le numéro 1 de la presse gratuite d’annonces, en France avec 280 éditions locales et 15 millions de lecteurs hebdomadaires. Endettée à hauteur de 250 millions d’euros, la Comareg, et surtout ses salariés, sont victimes de la migration et de la gratuité des petites annonces sur Internet, qu’elle n’a pas su anticiper.

Le « gratuit » se vend bien Une telle progression est unique dans l’histoire de la presse quotidienne. Dans le métro en 20 minutes Au moindre coût Cette politique du coût minimum s’étend à la distribution et à l’impression. WikiLeaks. When A Medieval Knight Could Marry Another Medieval Knight.

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Bagatelle sur notes de frais. L’affaire du Carlton l’a révélé au grand jour : les sociétés ont parfois recours à des professionnelles pour divertir leurs clients. Voici comment elles s’y prennent. « Hey, you look beautiful…» Elle se prénomme Amanda et elle a le compliment facile. On la connaît depuis à peine deux minutes, le temps d’évoquer sa Hongrie natale et ses études de psychologie, mais elle veut déjà passer aux choses sérieuses. «Toi venir avec moi salon privé», propose-t-elle en jouant avec la bretelle de son bustier. Ses tarifs : 35 euros la danse topless. 70 euros «sans la koulotte».

Et 570 euros pour faire durer le spectacle une demi-heure, avec une bouteille de champagne à disposition. Pas donné, certes. Abonnez vous à l'édition digitale. Apple : la question à 100 milliards de dollars.