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M-commerce

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Les consommateurs comparent sur mobile et achètent sur tablette. Si les deux supports prennent une place croissante dans les modes d'achat, c'est pour le moment à des fins différentes.

Les consommateurs comparent sur mobile et achètent sur tablette

Mais ces usages devraient progressivement se rejoindre. Si la tablette est prisée par les commerçants comme support de présentation, qu’en est-il de son usage par le consommateur ? Adobe Digital Publishing Suite vient de publier une étude* sur les habitudes et usages d’achat des individus sur tablette et mobile. Le résultat est sans grande surprise mais vaut d'être souligné pour les chiffres : la tablette tend à damer le pion au mobile. 44% de ses utilisateurs y auraient recours à des fins d’achat contre 20% sur mobiles. L’étude affine le propos quant à l’utilisation des supports mobiles par les consommateurs.

L’application a sa carte à jouer en 2013 Résultat, sur tablette, ils sont presque deux fois plus susceptibles de passer à l’acte d’achat (55%) que sur smartphone (28%). L’affinité avec une marque Une expérience d’achat géolocalisée et interactive, donc. Les femmes, mordues du m-commerce ? - Marché Multimédia. Les Françaises sont 86% à avoir un smartphone.

Les femmes, mordues du m-commerce ? - Marché Multimédia

L'ère du m-commerce (le commerce sur mobile) se développe et les femmes sont loin d’être en reste, car 29% d’entre elles passent commande depuis leur téléphone au moins une fois par mois. Les achats sur téléphones sont considérés comme plus compulsifs que sur Internet ou sur tablettes. Les femmes commandent principalement des vêtements, des accessoires, des livres, des DVD ou autres produits culturels. EBay occupe une part de marché importante 45% des Françaises commandent leurs articles directement via les applications de leurs marques préférées et 58% ont déjà utilisé l’application eBay Mobile. Cette enquête "Smartphones, toutes folles de lui? " - 35,1% de la population française équipée d’un smartphone et 32 millions de cyberacheteurs en France. Le smartphone est-il l’alpha et l’oméga du magasin connecté ? - Billet écrit par Fabien Fouissard Directeur Commercial, Improveeze La digitalisation progressive de notre quotidien, avec notamment l’utilisation de l’internet en mobilité dans les points de vente, entraîne une prise de conscience des bouleversements à venir dans le parcours client.

Le smartphone est-il l’alpha et l’oméga du magasin connecté ?

Les enseignes et marques commencent timidement mais systématiquement à réfléchir à la question (en témoignent les différentes conférences sur le sujet en cette fin d’année) Pour le moment, cet espace « point de vente digitalisé » est principalement tourné vers le smartphone. L’interactivité entre les marques et les consommateurs se faisant principalement au travers d’applications ou bien de simples QR Codes dans les magasins. Quelles sont les grandes tendances du marché mobile ? Quelles sont les grandes tendances du marché mobile ? : Les smartphones pour le showrooming, les tablettes pour l'achat. Ces dernières années s'est développé le "showrooming", qui voit les consommateurs visitant une boutique physique pour voir un produit finaliser leur achat en ligne.

Quelles sont les grandes tendances du marché mobile ? : Les smartphones pour le showrooming, les tablettes pour l'achat

Au dernier trimestre 2012, 36% des consommateurs américains déclaraient l'avoir pratiqué, les trois quarts d'entre eux indiquant y être d'abord incités pour trouver le meilleur prix. Bien évidemment, disposer d'un smartphone dans sa poche ne fait qu'accroître ce phénomène. A tel point que 46% des détenteurs de smartphones indiquent avoir fait du showrooming, contre 27% des consommateurs n'en possédant pas. La tablette modifie les comportements d'achat de façon différente. Elle influence peu l'achat en magasin mais encourage l'achat depuis chez soi. PureAgency : le m-commerce convertit 2 fois plus que le e-commerce. Qui ?

PureAgency : le m-commerce convertit 2 fois plus que le e-commerce

Christophe Leon, pdg de PureAgency, agence mobile créée en 2008, qui compte plus de 50 clients et intervient sur le conseil en stratégie mobile, le développement d'application, l'achat média mobile et le pilotage de la performance mobile. Quoi ? Une interview, par Patrick Kervern de Viuz.com, à lire en version courte sur Petit Web et en intégrale ici. Combien ? - 20 recrutements en cours. - 50+ clients - des projets de développement qui vont de 40 000 à plus de 250 000 euros. - en moyenne, les marques investissent 30 000 à 50 000 euros en media lors du lancement de leur site ou de leur appli mobile.

Les 6 atouts majeurs du M-commerce. Les analystes augurent d’un avenir radieux pour le commerce mobile, à mesure que les terminaux se diffusent.

Les 6 atouts majeurs du M-commerce

Il faut dire que les atouts marketing du M-commerce sont nombreux. EBay, tablait pour 2010 sur un milliard de dollars de ventes effectuées sur mobile. Il a doublé ce chiffre et projette de réaliser 40 % de ses ventes via un terminal mobile . Selon GfK, 60% des téléphones mobiles en France sont connectés à Internet en 2010, même si 17% des Français se connectent réellement. Mais ce chiffre grimpe rapidement et atteindrait 41% en 2014 selon Forrester Research.

D’après l’institut Gartner, les smartphones représenteront 80% des mobiles vendus en 2012. Autant de projections qui laissent présager un développement fort du M-commerce, lequel a des atouts indéniables : La généralisation des nouveaux appareils mobile annonce la dématérialisation des cartes de fidélité. Borne interactive Intel Foursquare fidélise ses utilisateursvia le fameux “check-in” géolocalisé. Buyster. Internet: forte croissance du m-commerce et du m-banking dans le monde surtout en Chine. Les Chinois sont ceux qui se sont le plus vite familiarisés avec le "m-commerce" ou m-shopping"; autrement dit l'achat sur téléphone mobile.

Internet: forte croissance du m-commerce et du m-banking dans le monde surtout en Chine

En témoigne l'étude internationale "Consumers & Convergence" que KPMG a publiée fin septembre. On y apprend notamment que parmi les Chinois interrogés, 44% utilisent leur téléphone portable pour faire leur shopping. Plus encore que le m-shopping, les consommateurs chinois semblent encore plus disposés au "m-banking" (opération bancaire par téléphone portable). Environ trois sur quatre s'y sont mis. Le M-commerce, déjà plus important que le E-commerce ? Le M-commerce (l’achat via un mobile) est une fusée à trois étages dont les réacteurs ne sont pas tous "à plein régime" La question peut paraître provocante au vu de la croissance forte et régulière du E-Commerce, et pourtant...

Le M-commerce, déjà plus important que le E-commerce ?

Les chiffres déjà publiés sur le M-Commerce en France et dans le monde ne s'intéressent aujourd'hui qu'à l'achat de biens et services via son mobile : le « E-commerce via son mobile ». Pour connaitre le poids réel du M-commerce, il faut intégrer les spécificités du terminal à savoir le micro-paiement et sa capacité a créer du trafic en points de vente. Pour déterminer le poids actuel du M-commerce il est donc nécessaire d'analyser trois types d'achat distincts : 1) L'achat de biens numériques pour son mobile (personnalisation, applications payantes, micro paiements...)

Les services de « personnalisation » de son mobile sont historiquement extrêmement populaires et l'achat de ces services en micro-paiement fait partie de « l'ADN » du mobile. Le commerce sur mobile en pleine explosion. La sécurité, clé du m-commerce. Un achat en ligne, simple comme un glissement de doigt sur un écran de mobile: c’est aujourd’hui le rêve de tout commerçant.

La sécurité, clé du m-commerce

En deux ans, le chiffre d’affaires du m-commerce a triplé, selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), et en 2013, 20% des internautes pourraient acheter via leur Smartphone. Une tendance de fond donc mais qui devra encore lever bien des réticences pour atteindre les 80% du e-commerce sur ordinateur. «Dans un contexte de mobilité où les risques de vols des données sensibles stockées sur le terminal sont plus importants, les commerçants sont confrontés à un double enjeu de sécurité et d’ergonomie», explique Pierre Françon, président de Quaelys, membre de l’Association EESTEL (Experts européens en systèmes de transactions électroniques).

Rendre la transaction aussi sécurisée que possible En clair: il leur faut rendre la transaction à la fois rapide et simple sur petit écran et aussi sécurisée que possible. Claire Planchard. L’achat sur mobile et tablette devient.