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Outre-manche, l'achat de prêt-à-porter se fait toujours plus sur la Toile. Les Britanniques délaisseraient de plus en plus les magasins physiques.

Outre-manche, l'achat de prêt-à-porter se fait toujours plus sur la Toile

Cette tendance serait révélatrice d'une société plus vigilante tant sur le prix que sur la qualité. Certaines habitudes de consommation semblent bien ancrées sur certains types de produits. Pourtant les vêtements, jusqu'ici davantage l'apanage de magasin physique, trouveraient des consommateurs moins frileux à passer à l'acte d'achat sur la Toile. C'est ainsi qu'auRoyaume-Uni, les modes de consommation seraient en passe d'évoluer. L'achat de prêt-à-porter sur Internet y aurait augmenté de façon importante et reviendrait même presque à hauteur de l'épicerie. Une mutation des habitudes de consommation Aussi 44% des Britanniques interrogés admettent aller au moins une fois par mois ou plus pour acheter des vêtements sur le web, et 3% tous les jours. Le textile en pleine révolution numérique !

Le textile n'est pas un secteur de l'économie mais un matériau.

Le textile en pleine révolution numérique !

S'intéresser à la disruption numérique dans le textile, c'est donc englober plusieurs secteurs et croiser plusieurs problématiques : la conception et la fabrication de nouvelles matières textiles embarquant de la technologie numérique, mais aussi la conception, la fabrication et la distribution de tous les biens, vêtements ou autres objets, faits d'une matière textile traditionnelle. Au carrefour du commerce, de l'habillement, de la santé et de bien d'autres secteurs, le textile est en train de faire sa révolution numérique à grande échelle – on parle après tout d'un marché mondial de près de 1 200 milliards de dollars et qui, pour le seul secteur de l'habillement, touche plusieurs milliards d'individus.

La disruption du textile est d'abord visible dans le secteur de l'habillement. Le textile bouleverse de nombreux écosystèmes Toucher le jeu, le sport, la santé... Etude IFOP – Enseignes vs Pure Players. Les conclusions de l’enquête en 6 points clés : - Les sites de ventes en ligne pure-players ne sont plus des acteurs marginaux : lorsqu’ils ont le choix, près d’un quart des Français (24%) – et jusqu’à 32% des CSP+ – préfèrent effectuer leurs achats auprès de ces distributeurs exclusivement en ligne, plutôt que chez les distributeurs traditionnels.

Etude IFOP – Enseignes vs Pure Players

Les e-commerçants ont réinventé le commerce, si les boutiques physiques en profitaient ? Imaginons que vous cherchiez un produit, tel un appareil photo sur Amazon.com.

Les e-commerçants ont réinventé le commerce, si les boutiques physiques en profitaient ?

Même si vous ne l’achetez pas, vous allez laisser une foule d’indications sur votre passage. Le cybermarchand et d’autres « pure-players » vont les exploiter. Si vous cherchez le même produit dans un magasin physique, malgré une expérience plus riche, ces informations seront perdues.De quelles informations s’agit-il ? Les enseignes physiques pourraient-elles à leur tour les capter et en tirer profit ? Identifions cinq techniques élaborées par les « pure players » (il y en a d’autres) : 1. Sont-elles applicables dans le monde du « brick and mortar » ? 1. Les sites web utilisent des outils comme Google Analytics pour mesurer leur trafic et leur taux de conversion. 2.

Amazon est passé maître dans l’art de l’exploitation du parcours dans le magasin virtuel pour identifier les centres d’intérêt. 3. Avant même l’enregistrement du parcours, Amazon a sollicité les avis des acheteurs de ses livres. 4. Aujourd’hui, 2% des internautes qui visitent une boutique en ligne finissent par acheter un produit sur Internet ! Le e-commerce n’en est qu’à ses débuts, et les chiffres révélés par la FEVAD (37,7 milliards d’euros en France en 2011, soit une croissance de 18%), ne font que renforcer l’idée que ce marché représente un nid d’opportunités et un eldorado du business pour les années à venir.

Aujourd’hui, 2% des internautes qui visitent une boutique en ligne finissent par acheter un produit sur Internet !

E-commerce et réalité augmentée, promesse ou mirage ? La “réalité augmentée” est l’un des nouveaux termes à la mode du e-commerce.

E-commerce et réalité augmentée, promesse ou mirage ?

Subira-t-il le même sort que la 3D quelque peu ringardisée aujourd’hui s’agissant du commerce en ligne grand public ? Le concept datant des années 70 est issu du domaine militaire et de la simulation aérienne en particulier. Il s’agit de superposer des informations sur une photo ou une vidéo, de façon à l’enrichir, ou “l’augmenter” de données techniques, du prix etc. La 3D promettait dans les années 2000 de révolutionner le commerce en ligne en décuplant les taux de conversion, grâce à la visualisation en contexte des produits. Une révolution qui ne s’est pas produite pour des facteurs multiples : bande passante faible à l’époque, plug-ins dissuasifs à installer, complexité d’usage pour un résultat mitigé, coûts de modélisation élevés pour les marchands… La redoute 3D En 2005 déjà, La Redoute proposait à ses clients internet de créer leur clone pour leur permettre de réaliser des essayages virtuels.

MyVirtualModel. En 2016, trois quarts des internautes français achèteront en ligne.