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Ghost Town

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Fordlândia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fordlândia

Fordlandia, Para, 2005 : ancienne maison d'administrateur. Fordlandia, Para, 2005 : Vestige d'usine de latex et débarcadère sur le Tapajos. Histoire[modifier | modifier le code] Suivant les conceptions rigoureuses de la vie prônée par Henry Ford, la ville reprenait les conceptions des patrons chrétiens version puritaine dans la période de la Prohibition et allant jusqu'à de l'utopie dans le système de production et la constitution d'une cité. Mais Henry Ford est resté dans le système capitaliste pur en étant tout à fait en dehors du paternalisme dans son action de patron. Les employés recrutés localement devaient porter les badges d'identification en usage dans l'entreprise et durent travailler aux heures les plus chaudes de la journée, sous le soleil tropical.

Urbanisme de ville-usine[modifier | modifier le code] Toutes les constructions et leurs meubles équipant venaient directement des États-Unis pour les activités comme pour l'habitat. Fordlandia: The Failure Of Ford's Jungle Utopia. Fordlandia: The Rise and Fall of Henry Ford's Forgotten Jungle City: Greg Grandin: 9780312429621: Amazon.com. Book Review - 'Fordlandia - The Rise and Fall of Henry Ford’s Forgotten Jungle City,' by Greg Grandin - Review. The Ruins of Fordlândia. A dilapidated building from Fordlandia In the early 20th century, a cartel of Dutch and English rubber barons had a stranglehold on the vast majority of the world's supply of rubber.

The Ruins of Fordlândia

At that time the sole source of rubber was the South American tree Hevea brasiliensis, whose sap is natural latex. In the 1870s a gaggle of entrepreneurial smugglers had secreted a stash of wild rubber tree seeds out of the Amazon rain forest, which they used to establish sprawling plantations in East Asia. These smothered the output of Brazil, causing their owners to eventually enjoy the majority of the world's rubber business. But by the late 1920s, the infamous automobile tycoon Henry Ford set out to break the back of this rubbery monopoly. A typical Fordlandia house Scores of Ford employees were relocated to the site, and over the first few months an American-as-apple-pie community sprung up from what was once a jungle wilderness. Immobilier : Les Espagnols pris à la gorge par la crise immobilière.

Ils sont de plus en plus nombreux à devoir vendre ou louer leur appartement.

Immobilier : Les Espagnols pris à la gorge par la crise immobilière

Madrid La crise de l'immobilier en Espagne est désormais visible à l'œil nu. Presque toutes les rues de la capitale ou des grandes villes du pays sont ornées des fameux panneaux oranges «se vende» (à vendre) ou «se alquila» (à louer). Dans certains quartiers résidentiels, c'est même tout un pâté de maisons qui est mis en vente. Seseña, une ville nouvelle construite en 2003 au sud de Madrid, au milieu de la plaine castillane, incarne à merveille le désenchantement du secteur immobilier. A en croire une récente étude de l'agence Standard & Poor's (S & P), les ventes ont chuté de 27% en Espagne ces derniers mois.

Le coût du crédit s'envole Pour d'autres Espagnols de la classe moyenne, la vente ou la mise en location de leur appartement est une question de semaines. Ensanche de Vallecas et Sesena : Ghost Towns. (De Madrid) Des centaines de milliers d’appartements construits en Espagne pendant le boom immobilier sont aujourd’hui vides.

Ensanche de Vallecas et Sesena : Ghost Towns

La crise a bloqué net l’essor de villes destinées à accueillir une population grandissante dans des blocs de standing organisés autour de vastes avenues. Visite fantôme à quelques kilomètres du centre de Madrid. Le plus rapide pour aller chez le boulanger depuis le trottoir d’en face, c’est d’escalader le talus de graviers parsemé de restes de matériaux de construction puis de traverser un long terrain vague, avant de repartir à l’assaut d’un promontoire de terre qui s’effrite. Seul commerce sur des centaines de mètres à la ronde, la boulangerie « El Hojaldre » fait l’angle entre une longue rue vide et une fine route flambant neuve bordant un pré d’herbes folles. C’est la frontière du gigantesque quartier qui se construit aux portes de Madrid. Ensanche de Vallecas. Appartement à vendre Ensanche de Vallecas-Valdecarros(28021) Close Annonce Archivée Cette annonce immobilière à été supprimée de nos serveurs et n'est donc plus active.

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Appartement à vendre Ensanche de Vallecas-Valdecarros(28021)

Vous pouvez cependant chercher de nouvelles petites annonces immobilières depuis notre page d'accueil Les éventuels frais complémentaires (commission d'agence, travaux, etc.) sont à valider avec l'annonceur. Les photos sont protégées du droit d'auteur par leurs propriétaires (*) si vous n'arrivez pas à lire un document Microsoft Word, vous pouvez télécharger et installer gratuitement le logiciel "Microsoft Word Viewer" Le promoteur mégalo de Sesena met la clé sous la porte. Le chantier de construction d’une des barres d’immeuble de Sesena, en novembre 2006 (Andrea Comas/Reuters) (De Seseña, Espagne) Les images de cette ville champignon ont fait le tour du monde : plantés au milieu des terres de Castille, 5 300 appartements répartis dans des immeubles monolithiques marrons s’élèvent au sud de Madrid.

Le promoteur mégalo de Sesena met la clé sous la porte

Symbole des excès de la construction qui plombent l’économie, la résidence Francisco-Hernando, du nom de son créateur (un brin mégalomane), se retrouve sans promoteur. L’ironie n’échappe pas à la petite mairie de Seseña « la vieille », la ville d’origine qui ne compte que 14 500 habitants. Son maire, de l’alliance écolo-communistes Gauche unie (Izquierda Unida), n’a eu de cesse depuis son élection en 2003 de dénoncer le projet, approuvé par son prédécesseur. La mairie peut désormais ajouter à sa liste de préoccupations le financement des travaux d’urbanisme qu’elle avait exigé au promoteur. Property in Spain: Castles in the sand. Immomadrid.