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Free Ali Anouzla

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خطير.. الملك في قلب هجوم إعلامي عاصف من أعرق الجرائد العالمية بسبب محاكمة أنوزلا "العبثية والسخيفة" Ali Anouzla ou la victoire du Makhzen. Jacob Cohen (Photo DR) Opinion. Après les satisfecit d’usage – qui n’éprouverait pas un soulagement extraordinaire de voir un homme intègre, un journaliste engagé, un novateur médiatique, sortir des geôles infâmes d’un régime autoritairement ubuesque ? – vient le temps des questions. Il serait indécent de critiquer l’homme pour avoir éventuellement cherché un arrangement avec ses persécuteurs. La prison, et en particulier celle où il a été enfermé, doit être une expérience terrifiante surtout lorsqu’on se sait innocent. Et nul doute que ses geôliers ont dû recevoir des instructions pour la lui faire goûter. Et rien que la perspective d’y passer plusieurs années aurait donné des cauchemars à plus d’un.

Ayant fait un geste magnanime – comme seule la monarchie alaouite en a le secret – en libérant le journaliste, le Makhzen a atteint ses objectifs. Le dernier objectif recherché par le Makhzen est de caractère dissuasif. Jacob Cohen Partagez nos articles sur les réseaux ! Libération provisoire du journaliste Ali Anouzla. Reporters sans frontières a appris avec soulagement la libération provisoire du journaliste marocain Ali Anouzla, le 25 octobre en fin de matinée, et demande l’abandon des charges qui pèsent toujours contre lui. Contacté par Reporters sans frontières, l’avocat de Ali Anouzla, Me Hassan Semlali, s’est dit très heureux de la décision prise par le juge d’instruction de Rabat.

“Ali ne méritait pas de passer une seule minute en prison, c’est un journaliste indépendant qui se bat tous les jours pour les droits de l’homme’’, a-t-il déclaré. Le juge d’instruction avait cinq jours pour statuer sur la demande de libération provisoire déposée par Me Hassan Semlali le 22 octobre 2013. Anouzla a été libéré un peu avant 13h30, le 25 octobre. Ali Anouzla, qui était détenu depuis le 17 septembre, reste toutefois inculpé pour "aide matérielle", "apologie" et "incitation au terrorisme" pour avoir publié un lien vers une vidéo d’AQMI. Il encourt de 10 à 30 ans de réclusion criminelle.

Ali Anouzla a été libéré. L’avocat Hassan Semlali avec son client Ali Anouzla à la sortie du tribunal (Photo DR) Comme l’avait annoncé hier (pour l’édition d’aujourd’hui) le quotidien Al Akhbar, le journaliste et directeur du site Lakome, Ali Anouzla, a été libéré ce matin par le juge d’instruction Abdelkader Chentouf. Cette libération, bienvenue pour la majorité des amis et confrères d’Ali Anouzla, est fortement soupçonnée par certains de ses amis d’avoir été le fruit d’une négociation entre le journaliste et le Makhzen. Négociation menée par son nouvel conseil, Hassan Semlali. Dans un premier temps, Anouzla avait animé son équipe à poursuivre son travail, puis a subitement changé d’avis. Il a demandé par voie de communiqué (un texte tapé à la machine et non manuscrit, puisqu’il était en prison) la suspension du site Lakome. Il était évident que Semlali, un proche d’Ilias El Omari et du PAM, le « Parti de Sidna », était au centre d’une négociation avec le Makhzen pour la libération d’Anouzla.

Ali Lmrabet. Soutien et solidarité en Belgique avec le journaliste marocain Ali Anouzla. Du Net au terrain Soutien et solidarité en Belgique avec le journaliste marocain Ali Anouzla Plusieurs journalistes, artistes et parlementaires belges se mobilisent pour exiger la libération immédiate d'Ali Anouzla. La Fédération internationale des journalistes, Reporters sans frontières, le Committee to Protect Journalists (basé à New York)‏ et d'autres organismes rejoignent le comité belge de soutien au journaliste marocain.

Conférence de presse du Comité belge de soutien © Photo : Ziad El Baroudi Ce mardi 15 octobre 2013, la création du Comité belge de soutien au journaliste marocain Ali Anouzla (en prison depuis le 17 septembre dernier) a été annoncé au cours d'une conférence de presse organisée au Parlement fédéral belge. Interpellation du gouvernement belgePlusieurs prises de parole, pour manifester un soutien et une solidarité avec le journaliste marocain emprisonné, ont ensuite été faites. . © Image : Radouane El Baroudi SOLIDARITE AVEC LE JOURNALISTE ALI ANOUZLA sur RésistanceS.be. جريدة لوموند تؤكد أن ملف أنوزلا يسبب حرجا للمغرب دوليا وواشطنن اعتمدت على سفارتها في الرباط لاتخاذ موقف مساند للصحفي.

الصحفي علي أنوزلاألف بوست - 21 أكتوبر، 2013 كتبت جريدة لوموند الفرنسية اليوم في موقعها الرقمي أن ملف الصحفي علي أنوزلا الذي اعتقل يوم 17 سبتمبر الماضي بتهمة الترويج للإرهاب بدأ يقلق السلطات المغربية ويسبب لها حرجا على المستوى الدولي. وعلاقة بالموضوع ، تفيد مصادر سياسية أن السفارة الأمريكية في الرباط أطلعت المغرب على الأسباب التي دعتها الى اتخاذ موقف لا يؤيد محاكمة علي أنوزلا. وتحت عنوان “المغرب محرج من التحرك بشأن ملف أنوزلا”، حيث استعرضت الجريدة الفرنسية الواسعة التأثير فصول ملف علي أنوزلا والتعبئة الداخلية والدولية من أجل إطلاق سراحه بعد اتهامه بتهم وصفتها قوية وثقيلة بسبب لجوء القضاء المغربي الى قانون الإرهاب. وترى لوموند أن الملف أخذ بعدا آخر بعدما أقدمت السلطات المغربية على حجب موقع لكم على القراء المغاربة بطلب من علي أنوزلا، ولكن الحجب امتد من النسخة العربية الى الفرنسية.

وعلاقة بالموقف الذي أعربت عنه الولايات المتحدة في بداية أكتوبر الجاري، علمت ألف بوست أن الخارجية الأمريكية اتخذت موقفها وأخبرت به الخارجية المغربية. Affaire Anouzla : Jamaï et les avocats vont s’expliquer mardi. Abderrahim Jamaï, l’un des quatre avocats d’Ali Anouzla (Photo DR) Le mardi prochain, à 16h00, au Club des avocats de Rabat, rue Afghanistan, dans le quartier de l’Océan, les quatre avocats du journaliste Ali Anouzla, maîtres Abderrahim Jamaï, Abderrahman Benameur, Khalid Soufiani et Naïma El Guellaf, accompagnés d’Aboubakr Jamaï, vont tenir une conférence de presse dans laquelle ils expliqueront ce qui se passe dans la défense du directeur de Lakome après l’apparition d’un nouveau avocat, Hassan Semlali.

En effet, depuis quelques jours, Me Semlali, qui s’est présenté comme nouvel avocat d’Ali Anouzla, a commencé à gérer la défense de ce dernier sans en informer le quatuor qui jusqu’à présent a mené la charge. Il est donc apparu urgent pour ses premiers défenseurs de donner une explication à l’opinion publique marocaine. Semlali, un proche d’Ilias El Omari, le dirigeant du PAM, le « parti de Sidna », aurait été selon l’entourage de Jamaï à l’origine du dernier communiqué d’Anouzla. La-version-marocaine.com - Décrit ma réalité dans toute sa beauté, sa cruauté, son injustice et sa scandaleuse ''marocanité''... 'Immortalisation' de l'un des Nombreux Articles de Ali Anouzla En Hommage à son Courage. Ces héros, ces martyres ... ces chairs à canons. - la-version-marocaine.com. Depuis que j’entends des voix dans ma tête et que je les balade de Stuttgart à Genève et de Reims à Bruxelles, je ne vis plus la politique de la même façon.

Depuis que je refais ma maison et que je fais le ménage dans ma vie, je ne vis plus la politique de la même façon. Depuis que je n’aime plus, au propre comme au figuré, je ne vis plus la politique de la même façon. Puis, des architectes, des producteurs de cinéma, des nouveaux projets et des contrôles fiscaux ont fait le reste .. L’homme aux mots de miel est rentré, s’est installé, a fait sa demande en mariage et j’ai su que plus jamais je ne vivrai la politique de la même façon. Évidemment que je me suis indignée à l’arrestation d’Ali, j’étais encore plus ou moins dans le mood militance et mon indignation était teintée de cette rage et de cette passion qu’on a quand on vit les choses de l’intérieur.

Puis il y a eu ses différentes interventions à Bruxelles. Sérieux les mecs, Vos gueules ! Il m’a dit : “Tout est question de perspective. Éditorial | Le roi et le journaliste. Communiqué d’Aboubakr Jamaï : « Je n’arrive pas à lire la nouvelle stratégie d’Ali Anouzla » Aboubakr Jamai, co-fondateur de Lakome et directeur de publication de sa version francophone, s’exprime sur le dernier communiqué d’Ali Anouzla et sur sa décision de maintenir les sites en activité. Chers amis, je suis dans une situation extrêmement compliquée. Je n’arrive pas à lire la nouvelle stratégie d’Ali. L’attitude de son nouvel avocat est franchement hostile a mon égard mais surtout à l’égard de Lakome. Je lui ai parlé hier. Ses réponses à mes questions sur la volonté d’Ali n’étaient pas claires. Il a commencé par me dire qu’il (Hassan Semlali) n’avait rien à voir avec le blocage des sites, avant de me rappeler dix minutes plus tard pour me dire que c’est bien lui qui a communiqué la volonté d’Ali au procureur du roi et à l’ANRT.

Je précise: il m’a affirmé qu’il a lui même contacté le procureur du roi et l’ANRT. Je me trouvais à Bruxelles le lundi 14 octobre. On en arrive donc à ce lundi 14 octobre. Je contacte son avocate Naima El Guellaf. Et pourquoi ne pas m’informer ? Maroc – Ali Anouzla : soutien à un journaliste indépendant emprisonné.

COMMUNIQUE DE PRESSE - Bruxelles, le 16 octobre 2013 Le 17 septembre dernier, Ali Anouzla, Directeur de la version arabophone du site d’information marocain Lakome, a été arrêté pour avoir publié un lien vers le site du quotidien espagnol El País renvoyant vers une vidéo "d’Al-Qaïda au Maghreb islamique" (AQMI), intitulée "Maroc: royaume de la corruption et du despotisme". D’emblée, Lakome avait précisé qu’il s’agissait d’une vidéo de "propagande". Le 24 septembre, Ali Anouzla est passé devant le juge d’instruction pour "assistance matérielle", "apologie du terrorisme" et "incitation au terrorisme" et est actuellement incarcéré à la prison de Salé-Rabat, connue pour abriter de nombreux détenus impliqués dans des affaires de terrorisme islamique.

Il encourt de 6 à 20 années d’emprisonnement. La diffusion de vidéos d’AQMI est une pratique existante dans les médias internationaux, elle est destinée à informer et non pas à cautionner. Malika Benarab-Attou, eurodéputée Les Verts/ALE, déclare : Liberté de la presse : Mohammed VI pire que le Hassan II des années 90. Détails Publié le mardi 15 octobre 2013 08:24 Écrit par Aboubakr Jamai La vision d'un kiosque à journaux marocains est trompeuse. À contempler cette variété de journaux et de magazines, on serait excusé de penser que les médias marocains sont libres. Mais ce pluralisme formel cache un unanimisme éditorial sur les questions politiques les plus importantes digne d'un régime autoritaire.

On appelle cela les lignes rouges. Lorsqu'on affirme que l'Islam est une ligne rouge, ce qui est vraiment dit est que la version de l'Islam voulue par la monarchie ne doit pas être critiquée. En fait, il n'est pas permis de remettre en cause les prérogatives de la monarchie ou de critiquer sa façon de gouverner le pays. Pour retrouver une certaine liberté de ton sur ces sujets sensibles, c'est sur Internet et les nouveaux médias online qu'il faut chercher. L'évolution de l'indice de liberté de la presse publiée par l'organisation américaine Freedom House est à cet égard édifiante. Muselage de la presse. Free Anouzla ! A l’expiration des délais légaux de garde à vue, Ali Anouzla, directeur du portail électronique en langue nationale Lakome, a été présenté mardi 24 septembre au soir au juge d’instruction de la Cour d’Appel de Rabat et placé en détention préventive à la prison de Salé.

Selon un communiqué du Procureur du Roi près ladite Cour, “apologie” et “incitation au terrorisme” constitueraient les principales charges retenues contre lui au terme de sa garde à vue dans les locaux de la BNPJ. Le Parquet a demandé au juge d’instruction d’enquêter sur la base d’accusations « d’assistance matérielle », « d’apologie » et « d’incitation à l’exécution d’actes terroristes ». C’est au juge de déterminer désormais si ces accusations sont fondées, ce qui entraînerait l’inculpation formelle d’Anouzla et un procès devant la Cour en charge des affaires de terrorisme.

Voilà pour les faits, exposés de la façon la plus neutre possible… Viennent maintenant les sentiments, les réactions, les jugements. Fahd YATA. Affaire Ali Anouzla : 60 ONG internationales répondent au gouvernement marocain et demandent la libération immédiate du journaliste. Détails Publié le jeudi 10 octobre 2013 15:26 Écrit par Lakome Ali Anouzla Elles expliquent, arguments à l'appui, que les charges liées au terrorisme retenues contre Ali Anouzla n'ont aucun fondement dans le droit international et constituent une grave violation de la liberté d'expression du journaliste et de son droit d'informer le public.

Le texte qui suit est une lettre signée par plus de 60 organisations, initiée par l'ONG internationale ARTICLE 19, appelant les autorités marocaines à libérer Ali Anouzla. Maroc : Plus de 60 organisations des droits humains demandent la libération immédiate du journaliste Ali Anouzla Les organisations de défense de la liberté d'expression et des droits humains signataires de cette déclaration demandent la libération immédiate du journaliste Ali Anouzla et l'abandon des accusations contre lui. Nous rappelons aux autorités marocaines que, selon le Comité des droits de l'homme des Nations Unies : Signataires. Al-Qaïda menace le Maroc : Mohammed VI renforce sa sécurité. L’affaire de la vidéo dans laquelle Aqmi menace le Maroc continue de faire grand bruit dans le royaume chérifien, notamment après l’arrestation d’un journaliste marocain indépendant qui a relayé l’information en publiant un lien de la vidéo.

Le royaume n’est pas pour autant à l’abri d’une attaque… Le Maroc est en alerte rouge. Quelques jours après la diffusion de cette vidéo, le pays est toujours inquiet face aux menaces qu’il a reçues d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi). Un symbole du royaume, vénéré de tous, est tout particulièrement visé par la nébuleuse terroriste, c’est le roi en personne : Mohammed VI.

Dans sa vidéo d’une quarantaine de minutes, intitulée « Maroc : le royaume de la corruption et du despotisme », Aqmi fustige la monarchie et la corruption. Les autorités marocaines ne badinent pas avec la sécurité du roi. Quand Anouzla joue avec les nerfs du roi Le journaliste est soutenu par bon nombre de personnes au Maroc et ailleurs. Djihad, tolérance 0. Le Maroc doit libérer Ali Anouzla ! Détails Publié le mardi 8 octobre 2013 12:39 Écrit par Kamel Labidi Kamel Labidi est un journaliste tunisien indépendant et ancien président de la Commission nationale pour la réforme de l'information et de la communication, dont les membres ont démissionné en 2012 pour protester contre l'absence de volonté politique de mettre en œuvre la réforme des médias en Tunisie. Il dit toute son indignation à propos de l'arrestation d'Ali Anouzla dans ce papier écrit pour le journal libanais «Daily Star». Ecrit par Kamel Labidi, traduction Salah Elayoubi Kamel Labidi Rarement l'emprisonnement d'un journaliste, aura suscité autant d'appels à sa libération, que celui Ali Anouzla.

L'arrestation du journaliste a suscité une vague de protestation sans précédent, notamment à Casablanca, Rabat et Tanger. Rappelons que nombreuses furent les tentatives de réduire Monsieur Anouzla au silence. De toutes les atteintes à la liberté de la presse, cette dernière attaque est sans doute, la plus cruelle.

Kamel Labidi. Maroc : nervosité au palais royal. Le Maroc doit libérer Ali Anouzla ! Affaire Ali Anouzla : Mustapha Khalfi récidive. Détails Publié le lundi 7 octobre 2013 16:34 Écrit par Lakome Mustapha Khalfi Le porte-parole du gouvernement enchaîne les amalgames concernant l'arrestation et la détention d'Ali Anouzla. Interrogé lors d'un débat dimanche soir sur France 24 pour savoir si des journalistes à l'étranger ont déjà été poursuivis dans ce genre d'affaire, Mustapha Khalfi n'a pas hésité à mentionner le cas... d'un activiste d'Al Qaida arrêté en France le mois dernier.

Mustapha Khalfi récidive. Khalfi participait à un débat sur France24/arabe, diffusé dimanche soir et consacré à l'affaire Anouzla, aux côtés du député USFP Hassan Tariq et de Khadija Marouazi, universitaire et secrétaire générale de l'association Al Wassit pour la démocratie et les droits de l'homme. Pendant ce débat, Hassan Tariq a dénoncé l'arrestation d'Ali Anouzla et interpellé le porte-parole du gouvernement en lui demandant s'il connaissait des journalistes poursuivis à l'étranger pour ce genre d'affaire. Un édito du Washington Post sur l'affaire Anouzla. A mon ami Anouzla. Maroc : Mohammed VI, Elton John, Ali Anouzla et AQMI. Affaire Ali Anouzla : Hamza Mahfoud en parle sur France 24.

Ali Anouzla ou l’âme du Mouvement du 20 Février - Amazighnews. Imider et les envahisseurs. Tous dictateurs ! Disgrâce royale, en deux temps et trois mouvements. La rançon de la dictature. La « Bey3a », cette humiliante survivance d’un autre âge. Les larmes du Sphinx et la onzième plaie de l’Egypte. La confrontation. Demain, nous irons en pèlerinage, sur la terre des ancêtres de Ali Anouzla !

A quoi sert un bon journaliste au Maroc ? AQMI s'en prend directement à Mohammed VI et appelle les marocains au jihad. HRW : "Quand les autorités confondent journalisme et soutien, elles font peur à tous les autres journalistes qui écrivent en toute légitimité sur de telles organisations" Affaire Anouzla. Mustapha Khalfi et la Déclaration de Vienne.

Affaire Ali Anouzla. Des charges surréalistes retenues contre le journaliste. Le calvaire d’Ali au “Royaume du peuple” Karim Tazi : Ali Anouzla «paie le prix» du DanielGate. Liberté de presse au Maroc : une dérive de plus… la dérive de trop ? Interview : Khalid Jamai sur l’affaire Anouzla. France : solidarité avec Ali Anouzla lors de la soirée Mediapart-RSF sur la liberté de l'information. France : Michelle Demessine, sénatrice du Nord, interpelle Laurent Fabius sur l'affaire Anouzla. Un édito du Washington Post sur l'affaire Anouzla. France : création d'un Comité de soutien pour la libération d'Ali Anouzla. L’incitation au terrorisme !! MAROC • La Toile, le nouveau maquis des journalistes indépendants. « Ils » sont devenus fous ! Ali Anouzla, le messie d’une aube nouvelle. Un jeune cinéaste marocain chez le Polisario. What’s Become of Freedom of Expression?