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Trop d'information tue l'information - Le Blog de Philippe Helmstetter dirigeant de Tempeo: la gestion et l'organisation du temps dans l'entreprise. La société dans laquelle nous vivons se caractérise entre autre par un accès à l’information sans précédent dans l’histoire humaine. Après les livres, et les journaux sont apparus la radio, la télévision puis, dernièrement l’Internet. Tous ces outils nous mettent en contact avec une masse gigantesque d’informations et nous donnent l’illusion que nous pouvons tous savoir. Plus que nous ne pouvons en assimiler En fait, la quantité d’information qui nous est proposée est telle qu’aucun cerveau humain n’est capable aujourd’hui de les assimiler. La conséquence immédiate est qu’il faut faire le tri ! Ne pouvant pas intégrer toutes les informations qui nous sont proposées, il est indispensable de choisir celles qui nous intéressent et auxquelles nous consacrerons de l’attention. Ainsi, si nous voulons réellement être informés dans notre vie quotidienne, le premier pas est de bien choisir le media par lequel nous voulons trouver de l’information.

L'information n'est pas gratuite Faire le tri. Trop d’information tue l’information. Internet a décuplé le nombre de sources d’informations qui s’offrent à nous. Intéressantes, globalisantes, pertinentes, etc. Souvent inutiles et redondantes. Est-ce que trop, c’est comme pas assez? Pour bien introduire mon sujet d’aujourd’hui, voici un témoignage que j’ai cueilli sur Internet, en fait sur un des zillions et demi de sites, de blogues et autres pages Web qui s’acharnent à vouloir nous informer : « J’ai compté, écrit Hervie, l’auteur de ces lignes, et j’ai 84 abonnements dans mon flux Google Reader.

J’ignore si c’est votre cas. Les élections en stéréo Prenez juste mardi soir dernier. Or, paradoxalement, mon métier est d’informer. En ce sens, tout aussi utile et incontournable puisse-t-il être, Internet n’est pas une panacée. En n’utilisant plus la techno RSS, il est probable que je sois devenu marginal. N’en jetez plus, la cour est pleine J’ignore à quoi peut ressembler votre boîte de courriel, mais la mienne est surréaliste. Mais il y a également l’info non sollicitée. De l’information à la surinformation. Nos attentes sont contradictoires. Dénoncer le fait que l’on reçoit trop de mails dans sa boite et pourtant ressentir une irrésistible envie de les lire au fur et à mesure qu’ils arrivent.

Vouloir savoir tout sur tout mais regretter la surinformation dont on est victime. Pester contre son Intranet dans lequel on ne trouve pas ce que l’on cherche mais ne pas se demander à quoi cet intranet est destiné. Se plaindre que les autres n’alimentent pas le super système collaboratif que l’on a mis en place et se souvenir qu’on ne l’a pas soi-même alimenté. Instituer un agenda partagé et constater qu’il est inutilisable parce que rarement mis à jour. En 2007, je signalais qu’Intel proposait à 150 de ses ingénieurs de ne plus communiquer par mail le vendredi afin d’améliorer la productivité de l’entreprise. Fin 2009, Google promettait avec Google Wave de remplacer à la fois le courrier électronique, la messagerie instantanée et la bureautique. Surinformation.

CDI de BEAULIEU - LYCEE GEN.ET TECHNOL.AGRICOLE - Dossier : restez informé en temps réel. CDI de BEAULIEU - LYCEE GEN.ET TECHNOL.AGRICOLE - Trop de Ségo, trop de Sarko, trop d'infos ? "Infobésité", le mal du siècle. Les conseils de Caroline Sauvajol-Rialland, maître de conférence à Sciences-Po Paris, consultante en gestion de l'information dans l'entreprise, pour "Comprendre et maîtriser la déferlante d'informations". Vous avez dit "infobésité" ? Un néologisme, revendiqué par les Américains et les Canadiens, pour désigner le sentiment de trop-plein, d'overdose d'informations qui nous envahit aujourd'hui et donne naissance à une nouvelle pathologie.

Une surcharge non pas pondérale, mais "informationnelle". Quelques chiffres : 2/3 des cadres sont concernés ; 1 salarié sur 4 passerait 1 heure par jour à dépouiller ses mails ; il reçoit 10 fois plus d'infos qu'il y a 15 ans, et en produit 10 % de plus chaque année ; ces 30 dernières années en ont fourni plus qu'en 5.000 ans d'histoire... Comment se déconnecter pour éviter le burn-out ? Et côté vie privée ? Enfin, des conseils pour préparer votre retour de vacances... prises dans un endroit où vous ne serez pas connecté - un vrai luxe ! L’infobésité, une pandémie à traiter - Blogs Intelligence économ. Les éditeurs de solutions de gestion des connaissances et autres structures conseil dans l’amélioration des processus décisionnels émettent régulièrement des analyses sur le problème de la surcharge informationnelle qui guette les travailleurs du savoir.

Nos cousins du Québec ont substitué au concept d’« information overload » celui d’infobésité pour désigner cette surabondance de la matière première : la data, la donnée. Cette surcharge informationnelle est - pour les entreprises - génératrices de coûts (The Hidden Costs of Information Work" IDC - mars 2005). Certaines études vont jusqu’à avancer l’idée que les décideurs sont soumis à un stress croissant devant l’équation : accumulation du volume des données à traiter + processus de sélection et de validation complexifié = difficultés à prendre les bonnes décisions. Alors comment mettre de l’ordre dans cette masse informationnelle protéiforme ? Quel est le processus de traitement de la donnée brute adapté à la production de sens ? « Infobésité » : plus une question de qualité que de volume. L’infobésité (buzzword s’il en est) n’est pas un concept nouveau, mais devient ces derniers temps une sorte de marronnier : trop d’informations, trop de mails, trop de données… Seulement, si le terme en lui-même est contestable (bien que parlant, nous verrons pourquoi), il semble qu’il soit à l’heure actuelle mal employé.

Plutôt que de se focaliser sur la « surcharge informationnelle », pourquoi ne pas se questionner sur la qualité de ces informations ? En rentrant de vacances j’ai, comme beaucoup de « travailleurs de l’information », retrouvé mes agrégateurs, boites mails et autres réceptacles informationnels, « légèrement » surchargés. Là où, de prime abord, j’aurais pu crier « trop d’infos tue l’info », j’ai commencé par en faire le tri puis la lecture.

Et, bizarrement, j’ai plutôt bien digéré toutes ces infos et données… Car (et c’est le centre de mon propos) : si infobésité il y a, il s’agit plus d’une question de ce que l’on ingère et la manière dont on l’ingère, que de quantité. L’infobésité, une menace pour la génération internet. Avec le développement du web et des réseaux sociaux, l’être humain consomme toujours plus d’informations. Certains experts craignent qu’il se noie dans les flots de données. L’être humain croule sous les informations. Le volume qu’il reçoit chaque jour pourrait remplir 174 journaux. Et si toutes les données disponibles en 2007 à travers le monde étaient publiées, elles permettraient de recouvrir les Etats-Unis de 13 couches de livres. Pour le chercheur, pas de doute: l’être humain souffre d’infobésité (information overload en anglais).

A l’époque de nos arrière-grands-parents, on lisait en moyenne une cinquantaine de livres dans une vie. Pour Jonathan Spira, patron de Basex, une société qui calcule le coût de l’infobésité pour les entreprises, et auteur du livre «Overload», le fléau est réel. En 2008, les Américains consommaient de l’information près de douze heures par jour.

Une version de cet article est paru dans la revue Hémisphères, en vente en librairies. Infobésité : arrêtez avec ce non-sens. J’ai déjà abordé le sujet de l’infobésité (appelée également information overload) à plusieurs reprises sur ce blog, et récemment à travers l’article Death by information overload. J’expliquais en effet que cette situation de surabondance d’information était déjà présente avant même l’ère de Gutenberg. Aujourd’hui je reviens à la charge en affirmant encore une fois que l’infobésité relève plutôt du non-sens puisque c’est une caractéristique intrinsèque de l’évolution de l’Homme et de son rapport à la connaissance. Récemment, le New York Times a publié un article invitant ses lecteurs à faire des pauses régulières dans l’utilisation des terminaux électroniques : iPad, Smartphone, Laptop… Selon le journal, le cerveau a besoin d’un temps de repos, (ah bon!

Je le savais pas!) What a glut of books! Son ouvrage « The Anatomy of Melancholy » détaille dans tous les sens les symptômes et les difficultés de ce malaise général, de sur-information. Droits Photo : 1/ Yvan KAFKA 2/Wikipedia. CDI de BEAULIEU - LYCEE GEN.ET TECHNOL.AGRICOLE - Dossier : restez informé en temps réel. L'école doit s'adapter au XXIème siècle. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Didier Schmitt (Conseiller scientifique auprès du Président de la Commission européenne) Du fait de la progression démographique et du développement des classes moyennes dans le monde, les systèmes éducatifs vont devoir former, d'ici 2050, autant d'étudiants que durant toute l'histoire de l'humanité réunie. D'ici là, « l'infosphère » continuera son expansion vertigineuse ; la masse de connaissances double déjà tous les deux ans.

Il est donc grand temps d'anticiper et de repenser la valeur ajoutée de l'enseignement futur. L'éducation est censée préparer la jeune génération à l'avenir. Mais le fait-elle encore ? Imparfaitement, en tout cas. Une preuve en est que deux millions d'emplois en Europe, nécessitant des compétences scientifiques et technologiques, ne sont pas pourvus ; rien que dans le secteur informatique il manque cent mille programmeurs. Dorénavant la pensée ne doit plus être linéaire mais transversale. De quoi se meurt la presse aujourd’hui ?

A presse est en crise. La presse, la presse occidentale du moins, n'intéresse plus ni les investisseurs, qui ne croient plus en son avenir industriel, ni les lecteurs, toujours moins nombreux à l'acheter, ni les annonceurs, qui ne misent donc plus sur elle. Pilier de la démocratie, la presse se meurt, mais de quoi ? D'Internet et des chaînes d'information continue, répond-on de toute part. Le coupable serait, dit-on, la multiplication des sources d'information instantanée et gratuite qui frapperaient d'obsolescence des journaux payants que leurs délais de fabrication rendraient incapables de survivre à ces nouvelles concurrences. Telle qu'on la connaissait, la presse serait aussi sûrement condamnée que la calèche par l'apparition de l'automobile. Cela paraît logique, imparable, mais pourquoi avait-elle alors si bien résisté, au siècle dernier, à l'instantanéité de la radio puis à l'impact des journaux télévisés, diffusés avant même que ne soit entamée son impression ?

Quel est le meilleur moyen pour lutter contre l'infobésité ? - Ressources du Congo. C'est un peu le revers de la médaille de l'invasion du numérique dans nos vies privées et professionnelles. Pour une très grande partie de nos contemporains, la connectivité permanente est devenue la règle et les frontières entre vie privée et vies personnelles deviennent de plus en plus ténues voire explosent totalement. Le travail s'invite à la maison jusque dans la chambre à coucher et la vie privée peut aussi se gérer à distance dans les locaux de l'entreprise.

Cette évolution majeure comporte de nombreux bénéfices pour les salariés comme les employeurs mais les récentes mesures prises par différentes entreprises pour permettre aux salariés de déconnecter montrent que la connectivité des salariés doit sans doute être régulée, encadrée et limitée pour éviter de véritables burn-out numériques et autres troubles psychosociaux liées à une utilisation trop intensive et non maitrisée des outils numériques.

Des armes contre l'INFOBESITE - SKWJ. Mittwoch, 06. Februar 2013 23:07 On en parle depuis un moment, la lutte contre l’infobésité devenant aussi pressante que celle contre le surpoids, mais, comme pour les problèmes de santé, il y a toujours un décalage entre la prise de conscience et la mise en œuvre des premières mesures. Pour la multinationale de recherche en marketing GfK (12'000 experts à travers le monde), la lutte contre la «surcharge d’informations» va être la première des six grandes tendances technologiques de 2013. Première constatation, banale : nous vivons dans un monde de communication instantanée, connecté en permanence. Que nous soyons branchés ou non, l'information ne s'arrête jamais, encore moins les «conversations» auxquelles nous prenons part, et c’est cette crainte de rater quelque chose d’important qui accroît notre dépendance, qui nous pousse à «consommer» des infos même quand nous ne le voulons pas vraiment.

Source: Martine Lamunière, www.mediassuisses.ch; ideespresse@mediassuisses.ch. Edouard Gasser: La curation : remède contre l'infobésité. Un internaute français est présent sur 2,8 réseaux sociaux en moyenne. Et ce chiffre est en perpétuelle augmentation. On suit de plus en plus de monde sur Twitter, on consulte de plus en plus de site de contenus, 57% d'entre nous s'exprimeraient d'ailleurs plus sur les réseaux sociaux que dans la vraie vie. La difficulté à faire le tri dans le flux constant d'informations quotidiennes, culturelles, politiques, sportives ou privées est devenu un mal récurrent, qui d'un obstacle à la productivité pourrait bien déboucher sur des overdoses d'actualités.

Entreprises ou individus, tous sont concernés par ce trop plein. Face à l'infobésité, beaucoup voit la curation comme la solution. Le mot "curation" n'est pas nouveau. Étymologiquement, il vient de l'anglais "curator". Certains diront que la curation est depuis bien longtemps attendue et pas franchement une révolution. Lutter contre l'infobésité, c'est tendance. C'est toujours rassurant de voir ses intuitions et ses convictions être confirmées par un tiers. A fortiori, quand le tiers en question est une société d'études à la réputation internationale. Depuis près de deux ans, je m'interroge l'infobésité - cet excès d'accès aux contenus que les technologies permettent mais qui nous prend du temps et nous fait parfois perdre de vue l'essentiel.

Cette réflexion est au coeur du projet que j'ai présenté au Knight fellowship à Stanford. Et récemment, j'ai eu confirmation que je n'étais peut-être pas totalement à côté de la plaque ! La lutte contre l'infobésité a en effet été citée par la société d'études GfK comme l'une des 6 Tendances Tech de 2013. A l'origine du pari de GfK est une observation qui me semble bien familière : "Avec le courrier électronique et les réseaux sociaux, nous avons accéléré la vitesse de nos communications en temps réel. Ces outils - et celui que je développe en ce moment - ne font rien moins que ... Y a-t-il un trop plein d’informations sur le web ? Lilzeon aka L.Francois / Daily Dust / a photoblog in Paris Citoyens ! On lit à outrance que l’infobésité – notion née en 2006 avec le haut débit accessible par tous- de notre monde de flux détruirait in fine la qualité de l’information. Pour Nicolas Voisin, “l’information vit l’instant qui suit celui de la destruction de valeur“.

Pour Wired et Anderson, “Google perd la main, lui dont la force est de connecter et d’organiser les contenus créés par d’autres. Et comment Facebook ou iTunes gagnent du terrain, eux qui choisissent de garder le contrôle sur leurs outils (Steve Jobs est d’ailleurs un fervent partisan de ce système). Une économie “à l’ancienne”, selon Wolff, qui conclut son article en écrivant “après un long voyage, nous sommes de retour à la maison”.”

Pourtant, il semblerait que l’on confonde symptômes et syndrome : Louis Morales-Chanard précise le scope du débat : Souffrez-vous d'infobésité ? L’expérience de Slate: Quel est le meilleur media pour informer, Véracité contre viralité de l’information. Sites de presse magazine: La vitesse contre la qualité – Media T. CDI de BEAULIEU - LYCEE GEN.ET TECHNOL.AGRICOLE - Les communautés numériques : objectifs, principes et différences (dossier : la société numérique)