Génération Y : oubliez la rentabilité, misez sur la vocation sociétale ! Les "Facebook d'entreprise" bousculent la hiérarchie à la française. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Léonor Lumineau Je me connecte au réseau social de l'entreprise une dizaine de fois par jour avec mon smartphone", confie Alexandre Ricard, directeur général délégué de Pernod Ricard.
Depuis octobre 2012, le numéro deux mondial des vins et des spiritueux s'est doté d'un réseau social interne. Les 18 800 collaborateurs, des chargés de produits aux membres de la direction, peuvent s'y créer un profil, poster des messages ou commenter ceux de leurs collègues, à la manière d'un Facebook professionnel. "Ce type d'outil favorise l'échange direct. Certains salariés, qui n'auraient jamais osé m'envoyer un mail, me posent des questions par le réseau", se réjouit M. L'idée est séduisante. Dans une culture française de l'entreprise qui repose sur une hiérarchie verticale - symbolisée par le bon vieil intranet -, le réseau social d'entreprise demeure difficile à appréhender. Comment gérer la Gen Y en entreprise ? La Génération Y voit son parcours professionnel autrement.
Crédits photo : shutterstock.com La Generation Y est plus complexe à gérer. « De base, j'aime pas trop qu'on m'inclue dans un groupe, sans rien me dire.
Déjà. » Le ton est donné avec le vidéo bloggeur Hugotoutseul, qui illustre avec dérision le côté supposé rétif de sa génération, dite Y. Après plusieurs années de publications diverses consacrées aux caractéristiques de ces jeunes nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990, on pouvait raisonnablement imaginer que les « Yers » - c'est le nom qu'on leur donne - constituaient une problématique mobilisatrice pour les entreprises alors que, déjà, surviennent les premiers Z, ces représentants de la génération « Petite poucette » du philosophe Michel Serres. C'est toujours le cas et rien n'est encore résolu. Il n'y aurait pas de péril jeune, mais quelques points à apprécier. Les Gen Y savent s'adapter au marché du travail.
Collaboratif 2.0. RSE. Travail collaboratif à distance : solution aux risques psychosociaux ou engrenage de la souffrance ? - Le Blog Zazibao. Cet article est issu d'un entretien que j'ai eu avec Serge K.
Levan, consultant, formateur et expert du travail collaboratif en ligne et à distance. Selon vous, le travail collaboratif peut-il être considéré comme une des solutions aux risques psychosociaux (RPS) ? SKL : Je ne suis pas un spécialiste des RPS au travail mais je sais que derrière ce terme on retrouve le stress professionnel et les violences internes ou externes.
Je ne parlerai que des situations de stress chronique qui sont fortement corrélées à des causes organisationnelles et managériales. Dans cette perspective il me paraît évident que le travail collaboratif à distance, en tant que nouvelle forme d’organisation du travail et de la communication, est un facteur majeur susceptible d’avoir des incidences positives ou négatives sur le stress professionnel.
SharePoint : ROI or not ROI, that is the question - JDN Web & Tech. Beaucoup d'entreprises ne retirent pas le meilleur de SharePoint, et constatent un taux d'adoption notoirement insuffisant.
Il est pourtant possible de faire de SharePoint une ressource dynamique. Des entreprises dans le monde entier utilisent SharePoint comme plate-forme unique de travail collaboratif, d’information et de communication interne. Comme pour tout investissement informatique, elles en attendent un retour sur investissement mesurable.
Mais dans de nombreuses entreprises, ce retour se fait attendre, et la plate-forme SharePoint n’est souvent rien d’autre qu’une base d’informations statique plutôt qu’une ressource dynamique pour les employés. La plupart des entreprises ne parviennent pas à traiter cette plate-forme comme une solution de communication ciblée et, plutôt que de rechercher, mesurer et adapter les contenus pour leurs utilisateurs, maintiennent SharePoint sous la forme d’un conglomérat d’informations, avec une interface sans cohérence et de faibles taux d’adoption. IT-expert Magazine Votre projet SI est-il fonctionnellement pertinent ? - IT-expert mag.
Une démarche pour mesurer et améliorer la Pertinence Fonctionnelle de vos projets Tout le débat actuel sur le rôle de la DSI au sein des organisations, voire sur la gestion du portefeuille de projets, met en évidence la nécessité de privilégier les projets qui apportent la plus grande valeur aux fonctions et processus métiers.
De là découle le besoin de mesurer la pertinence fonctionnelle des projets, dans le but de mettre en évidence et de privilégier les projets les plus prometteurs. La mesure même de cette pertinence fonctionnelle permet aussi de dégager les axes suivant lesquels il est possible d’apporter par le projet une amélioration de la valeur.
Cette démarche constitue un moyen supplémentaire, à côté des méthodes de mesure de la valeur ou du Retour Sur Investissement, à la disposition des directions métiers et informatiques pour faire du SI un véritable levier d’amélioration effective de la performance des entreprises. A qui s’adresse principalement la pertinence fonctionnelle ?