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Le méthane arctique

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Video méthane arctique

Warming Arctic Permafrost Fuels Climate Change Worries. Every bursting bubble sent up a puff of methane, a powerful greenhouse gas generated beneath the lake from the decay of plant debris. These plants last saw the light of day 30,000 years ago and have been locked in a deep freeze — until now. “That’s a hot spot,” declared Katey M. Walter Anthony, a leading scientist in studying the escape of methane. A few minutes later, she leaned perilously over the edge of the ice, plunging a bottle into the water to grab a gas sample. It was another small clue for scientists struggling to understand one of the biggest looming mysteries about the future of the earth. Experts have long known that northern lands were a storehouse of frozen carbon, locked up in the form of leaves, roots and other organic matter trapped in icy soil — a mix that, when thawed, can produce methane and carbon dioxide, gases that trap heat and warm the planet.

If a substantial amount of the carbon should enter the atmosphere, it would intensify the planetary warming. Dr. Dr. Du méthane à faible profondeur sous l'océan : une bombe à retardement ? Le méthane, la vraie bombe climatique. Les scénarios pessimistes se confirment: des bulles de méthane enfermées sous le permafrost se libèrent sous l'effet du réchauffement dans l’atmosphère et risquent d'accélérer encore ce réchauffement... L’année 2011 ne restera peut-être pas longtemps l’année la plus chaude depuis le début des relevés, selon Météo France, c'est-à-dire depuis 1863. 2011 dépasse en effet le record de 2003 avec une température moyenne de 13,6°C contre 13,4°C pour l’année de la dernière canicule.

Nous voilà donc en plein réchauffement climatique, même si le Giec affiche toujours la même prudence en matière d’analyse des phénomènes météorologiques actuels. Il n’empêche. Environ 12°C dans la nuit du réveillon, le 31 décembre 2011 à Paris, cela ne s’était jamais vu, de mémoire de grenouille… Et pourtant, ce qui se prépare pour les prochaines années pourrait encore amplifier ce réchauffement qui fait le bonheur des amateurs de douceur hivernale. Sous le permafrost le gaz Des rejets plus rapides que prévus. Méthane arctique : le retour de la "bombe climatique" ? Le James Clark Ross en mission dans l'océan Arctique. © w L'affaire a commencé par un e-mail du chercheur suédois Örjan Gustafsson, travaillant à bord du navire océanographique russe Jacob Smirnitskyi.

Transmis au journal The Independent, il expliquait que l'expédition ISSS-08 (International Siberian Shelf Study 2008) avait découvert dans l'océan Arctique, au niveau du plateau continental sibérien, des suintements de méthane s'échappant du fond en de nombreux endroits. Enfermé dans le sous-sol gelé, ce gaz y est retenu prisonnier sous forme de clathrates, ou hydrates de méthane. Le même phénomène existe dans le pergélisol (permafrost en anglais), sol gelé des hautes latitudes. Ces poches de méthane sont un souvenir de la dernière glaciation et constituent d'ailleurs une source d'énergie fossile potentielle. Dans les jours qui ont suivi, une autre expédition, britannique celle-là, confirmait le phénomène. Un scénario cataclysmique a alors commencé à se dessiner.

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