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Open Data, données

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L'Écho des Lois : Données personnelles : vie privée en danger ? Big data. Nous vivons une époque en laquelle les barrières préservant la vie privée sont quasiment balayées par ce qu’on peut appeler « un tsunami informatique » L’adjectif « privé » peut prendre bien des significations, mais ici il faut le définir au plus simple comme ce qui qualifie l’espace de vie qui n’appartient qu’à soi, dont on contrôle souverainement l’accès, et donc qui est a priori soustrait à l’intrusion des pouvoirs sociaux.

big data

L’informatique, ce n’est pas simplement ce qu’il y a derrière les compétences de l’ordinateur. C’est beaucoup plus. C’est le domaine technologique qui constitue le nœud central de tout le développement technique contemporain. Pourquoi ? L’informatique comme technologie libre Cette faisabilité technique se confronte à une histoire politique singulière de l’informatique. Les FRBR, qu'est-ce que c'est ?

Dans le contexte de la société de l'information, beaucoup de gens, et notamment les geeks, pensent qu'ils ont des choses à apprendre des bibliothécaires, car ces derniers ont une certaine expérience dans des domaines devenus clef : le catalogage, la classification, l'indexation.

Les FRBR, qu'est-ce que c'est ?

Pour faire ouvert, dites : les métadonnées, le Web sémantique, les ontologies. Ah, je vois une lueur d'intérêt dans votre oeil... Or, pour gérer des données, ces gens-là (les geeks) travaillent de la manière suivante : ils font de la modélisation, puis des spécifications, et enfin ils implémentent. Nous, pauvres bibliothécaires et catalogueurs, le nez dans le guidon trop souvent, nous avons commencé par créer un format d'implémentation (MARC), s'appuyant quand même sur une norme (l'ISBD). Mais mieux vaut tard que jamais, nous avons fini par faire la modélisation et les spécifications de nos données bibliographiques : ce sont les FRBR. Comment ça marche ? A quoi ça sert ? Big data. modèles économiques. Inha 1-métadonnées. RDF et les métadonnées - slide "Le Web et le W3C"

Le Web de données et les bibliothèques. Pourquoi la réutilisation des données publiques à des fins commerciales doit-elle être gratuite. L’association nantaise LiberTIC, une source indispensable en France sur la question de l’ouverture des données publiques, a publié la semaine dernière un billet qui explique pourquoi la réutilisation des données publiques à des fins commerciales doit demeurer gratuite.

Pourquoi la réutilisation des données publiques à des fins commerciales doit-elle être gratuite

Cette position argumentée, appuyée sur une conviction et une vision, n’est pourtant pas si simple à tenir, d’autant plus que la Ville de Nantes vient justement d’annoncer une décision différente. Libre à chacun de tester le modèle de son choix, mais il faut bien mesurer les tenants de l’équation économique en cours, comme nous le disions il y a quelques années déjà à la lecture du rapport sur l’économie de l’immatériel. Les arguments de LibertTIC méritent en tout cas d’être écoutés avec attention, notamment parce qu’ils font avancer le débat. Pour ceux qui ne les auraient pas déjà lus, les voici. Le mouvement Opendata défend la gratuité L’Opendata n’est pas une quelconque pratique de mise à disposition de données. LiberTIC. L’Open Data a-t-il seulement un impact économique ? Billet rédigé par Thibault Mahé (ENS Lyon), ENNASSIRI Karim (ENS Lyon) Après plusieurs mois d’attentes, d’annonces, de projets repoussés, et presque 3 ans après l‘ouverture des données à Rennes, le Grand Lyon a enfin ouvert sa propre plateforme d’open data, “Smart Data”.

L’Open Data a-t-il seulement un impact économique ?

Les jeux de données y sont accessibles par thèmes : transport, citoyenneté, environnement, etc. “Accessible” est cependant un bien grand mot : trois statuts sont en fait proposés, dont deux ne sont pas de l’open data, puisqu’il faut s’authentifier, ou même payer des redevances. Cette démarche de demi-ouverture pose beaucoup de questions. Certes, faire payer une donnée montre qu’elle a de la valeur, et est un signal fort envoyé aux entreprises et institutions. Regards citoyens. Les journalistes s'émeuvent, à juste titre, de la création via la loi Macron du « secret des affaires », source de dérives potentielles graves pour la liberté de la presse ainsi que pour les lanceurs d'alerte.

Regards citoyens

Mais la portée des dispositions votées jusqu'ici par les députés est beaucoup plus large. Le texte met notamment en danger des pans entiers de la transparence des institutions, du simple fait de leurs relations avec des sociétés commerciales : marchés publics, lobbying, corruption, etc. Le monde associatif et ses adhérents, ainsi que l'OpenData français, risquent également d'en faire les frais, tant la portée et le champ d'application du texte sont larges.

Le texte de l'amendement du rapporteur Ferrand adopté en commission, élargit ainsi grandement la notion de secret en matière "d'affaires" par rapport au simple secret "industriel et commercial" qui existait jusqu'alors dans de nombreux textes législatifs, comme la loi Cada, le code de ... En lire plus. NosDéputés.fr.