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Mobilier, décoration de table

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Ecole de Nancy - E.Gallé. Emile GALLE Nancy 1846 - Nancy 1904 Industriel, maître verrier, ébéniste et céramiste Emile Gallé naît à Nancy le 4 mai 1846, fils unique de Charles Gallé (1818-1902) et de Fanny Reinemer (1828-1891) qui tiennent à Nancy un commerce de cristaux et de porcelaine. Après une période d'apprentissage dans différentes villes d'Europe, Weimar et Meisenthal entre autres, Emile Gallé est associé à l'entreprise de négoce et de décoration de faïence et de verrerie de son père dès 1867. C'est lui qui représente son père à l'Exposition universelle de 1867 à Paris où il obtient une mention honorable pour la verrerie et à l'Exposition universelle et internationale de 1872 à Lyon où il obtient une médaille d'or dans la classe 33 (porcelaine et cristaux).

Il épouse en 1875, Henriette Grimm (1848-1914), fille d'un pasteur de Bischwiller (Alsace), avec laquelle il aura quatre filles. En 1877, Emile Gallé reprend à son compte l'affaire familiale et étend ses activités à l'ébénisterie en 1885. :: V. École de Nancy (art) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’École de Nancy est le fer de lance de l'Art nouveau en France dont l'inspiration essentielle est à chercher dans les formes végétales : ginkgo, ombelle, berce du Caucase, nénuphar, chardon ou encore cucurbitacée ; et animales, comme les libellules. Cette alliance s'appuie sur une recherche d'utilisation poussée dans la verrerie, la ferronnerie, l'acier, le bois pour mettre le beau dans les mains de tous et ainsi faire entrer l'art dans les foyers.

Les fondateurs définissent l'École de Nancy comme l'« alliance provinciale des industries d’art, sorte de syndicat des industriels d’art et des artistes décorateurs, s’efforçant de constituer en province, pour la défense et le développement des intérêts industriels, ouvriers et commerciaux du pays, des milieux d’enseignement et de culture favorables à l’épanouissement des industries d’art ». Ses promoteurs se fixent comme but de promouvoir les arts décoratifs. Affiche de l'exposition de 1894. Ecole de Nancy - présentation. Le musée de l’École de Nancy est l’un des rares musées français dédié à un mouvement artistique : l’Art nouveau nancéien Les collections Le musée est situé dans l'ancienne propriété du plus important mécène et collectionneur de l'École de Nancy, Eugène Corbin. A l’intérieur de la maison, les meubles, les objets d’art, les verreries, les céramiques, les tissus témoignent de la diversité des techniques travaillées par les artistes de l’École de Nancy.

Des pièces uniques et de prestige sont visibles, réalisations d’une grande virtuosité technique, mais également des objets édités et diffusés à un grand nombre d’exemplaires. Représentatifs de “l’Art pour tous”, il s’agit de petits meubles marquetés, de verres gravés à l’acide ou encore de céramiques de série. Le musée ne présente pas une stricte reconstitution de l’époque 1900 mais, par la mise en situation d’œuvres, il essaie de restituer l’atmosphère de cette période. Petite et grande histoire du musée... Porcelaine de Limoges. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Appellation[modifier | modifier le code] L’indication d’origine « Limoges » ne bénéficie pas de la reconnaissance et de la protection d’une appellation d’origine. Cependant, depuis une décision du tribunal de commerce de Limoges, en 1962, la dénomination « Limoges » est réservée à la porcelaine fabriquée et décorée à Limoges[1]. Historique[modifier | modifier le code] Marcognac, site d'extraction du kaolin François Xavier d'Entrecolles, père jésuite résidant à Jingdezhen, en Chine, étudia et révéla en 1712 la composition et les secrets de fabrication de la porcelaine chinoise.

L'industrie de la porcelaine à Limoges[modifier | modifier le code] Les origines[modifier | modifier le code] En 1769, Louis XV achète le gisement, faisant de la production de porcelaine un privilège royal. L'époque des grandes manufactures[modifier | modifier le code] À cette époque, l'industrie porcelainière nourrit une grande partie de la population limougeaude. Porcelaine de Limoges : deux siècles d'histoire - Replay JT 13h - MYTF1 News. ROYAL LIMOGES - Manufacture de porcelaine depuis 1797. L’histoire de la porcelaine de Limoges : XVIIIe siècle - [Musée national Adrien Dubouché] Le XVIIIe siècle : Les débuts Depuis le XVIIIe siècle, date des premières productions, la notoriété de la porcelaine de Limoges s’est développée au point que le nom de la ville évoque instantanément l’art de la porcelaine. Avant cette date, l’histoire de la céramique européenne peut être considérée comme la longue recherche entreprise par l’Europe pour percer le secret de fabrication de la porcelaine, découverte en Chine à l’époque Tang.

La fascination qu’elle exerça s’explique en grande partie par le mystère qui parut longtemps miraculeux d’une argile permettant d’obtenir, grâce à l’alchimie du feu, une matière blanche, translucide, brillante et sonore. Même si les européens maîtrisaient alors certains arts du feu tels que le verre ou la faïence, il leur manquait un matériau indispensable, le kaolin, qui donne à la porcelaine blancheur, dureté et translucidité. La marque de la manufacture du comte d’Artois Entre 1771 et 1774, seuls les biscuits semblent avoir porté une marque. Porcelaine de Sèvres.

Manufacture nationale de Sèvres. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Manufacture nationale de Sèvres est l'une des principales manufactures de porcelaine européennes. Elle est située à Sèvres, dans le département des Hauts-de-Seine, en France. La manufacture fut successivement, au fil des régimes politiques, manufacture royale, impériale puis nationale. Toujours en activité, la manufacture poursuit l'édition d'objets créés depuis 1740.

Sa production est aussi largement orientée aujourd'hui vers la création contemporaine. Historique[modifier | modifier le code] Les origines[modifier | modifier le code] Long de 130 mètres et haut de quatre étages, il est édifié entre 1753 et 1756 par l'architecte Lindet à l'emplacement de la ferme dite « de la Guyarde ». Au rez-de-chaussée, le bâtiment renfermait les réserves de terres, le bucher et les dépôts de matières premières. La manufacture est rattachée à la Couronne en 1759. La mise au point de la porcelaine dure[modifier | modifier le code] Four à céramique de Sèvres. Histoire. Un atelier de porcelaine tendre est fondé à Vincennes dans une tour du château royal, sous le règne de Louis XV et l’influence de Madame de Pompadour, favorite du roi. La sculpture est laissée délibérément en biscuit, sans émail et sans décor, afin de la différencier de la production polychrome de la Manufacture de Meissen, en Saxe. La Manufacture est transférée à Sèvres dans des bâtiments construits spécialement pour elle, qui abritent aujourd’hui un service de l’Éducation nationale.

Louis XV place la Manufacture sous l’entier contrôle de la Couronne. Il lui confère dès lors un rayonnement européen dans le domaine de la création porcelainière. Deux chercheurs de la Manufacture, Pierre-Joseph Macquer et Robert Millot, découvrent près de Limoges le premier gisement français de kaolin, élément indispensable de la véritable porcelaine, dite porcelaine dure, commercialisée dès 1770. _ Aujourd'hui _ La production de porcelaine a renoué avec la création la plus contemporaine du XXIe siècle.