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Chaîne de elections. Comment faire payer des taxes aux opérateurs de commerce en ligne. Les Etats sont dans une situation risquée. Mon constat : des pratiques fiscales déloyales Un certain nombre d’opérateurs localisent leurs états-majors dans des sites fiscalement allégés, comme Google en Irlande, Amazon et eBay au Luxembourg. La situation est compliquée par l’attitude de dumping de certains Etats. Pour de la vente à distance de biens immatériels, comme la musique ou les enchères, la taxe est appliquée dans le pays où se trouve le site marchand.

Or le Luxembourg maintiendra une TVA de 15 % jusqu’en 2015, contre19,6 % en France. Conséquence : les grands acteurs américains sont au Luxembourg, et le Grand Duché garde la taxe payée par des consommateurs domiciliés hors de son territoire, comme celle des Français. On voit donc se développer un e-business au détriment du Trésor Public. Pourquoi la taxe Google n’est pas la solution Cette disposition avait pour objectif provocateur de susciter le débat sur la fiscalité et le commerce électronique. Comment Google échappe à l’impôt. Marché des bureaux : bilan 2010, tendances 2011. Le web à l'Elysée : out of memory error ? Ce mercredi matin, la fine fleur du web-entreprenariat était invitée sous les dorures de l’Élysée, pour l’intronisation du tout nouveau Conseil National du Numérique (CNN), annoncé fin 2010 par le ministre Eric Besson . Un web « encravaté » qui a pu entendre un discours en forme de reconnaissance du poids d’internet dans l’économie française, voire même parfois de mea culpa sur la politique du gouvernement.

Oublié le « Far West » ou la « zone de non-droit » dans le champs lexical du président. Internet est désormais le moteur de l’économie française. « Internet est plus qu’une technologie ou qu’un media. C’est un secteur qui pèse plus lourd que l’énergie ou le transport », introduit le président. Composé de 18 membres nommés par la présidence (voir ci-dessous), le Conseil National du Numérique sera libre de ses saisines et de ses avis sur tous projets susceptibles d’avoir un impact sur l’économie numérique. « A lui de s’organiser », commente Nicolas Sarkozy. Les Anonymous contre la République islamique. Le 1er mai, les Anonymous lancent une nouvelle attaque contre les sites du gouvernement iranien.

Les sites du Guide suprême, du Président et du Parlement sont régulièrement inaccessibles depuis. Le peuple d’Iran attire l’admiration des Anonymous et du monde entier. Pour la journée des travailleurs, les Anonymous seront à ses côtés. Le 23 avril, le compte Anonymousworldwar3 poste une vidéo sur YouTube annonçant une nouvelle opération des Anonymous, baptisée #OpIran. Les objectifs sont clairement définis dans le communiqué : “se battre pour la liberté d’expression, d’information et des idées en Iran.” Les cibles ? Les sites liés au gouvernement, responsables des restrictions des libertés publiques. Comme pour l’opération Payback de décembre dernier, les Anonymous lancent des attaques par déni de services (DDoS), en utilisant le programme LOIC (Low Orbit Ion Cannon).

Puis le site de la police et de l’agence de presse des basijs, la milice du régime, du Parlement, du gouvernement.