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Producteurs Locaux

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Www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/LPS158.pdf. Www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/bleu_blanc_coeur.pdf. Producteurs Fermiers. Comprendre la grande distribution : mutations en vue. Envie de paysans | Pas de bonne bouffe sans paysans ! Nicolas Hulot vous présente le mouvement I Field good. Détroit passe au vert. Producteurs Locaux © (ProducteurLocal) sur Twitter. Producteurs Locaux. Association. Code général des impôts, CGI. - Article 200. 1. Ouvrent droit à une réduction d'impôt sur le revenu égale à 66 % de leur montant les sommes prises dans la limite de 20 % du revenu imposable qui correspondent à des dons et versements, y compris l'abandon exprès de revenus ou produits, effectués par les contribuables domiciliés en France au sens de l'article 4 B, au profit : a) De fondations ou associations reconnues d'utilité publique sous réserve du 2 bis, de fondations universitaires ou de fondations partenariales mentionnées respectivement aux articles L. 719-12 et L. 719-13 du code de l'éducation et, pour les seuls salariés des entreprises fondatrices ou des entreprises du groupe, au sens de l'article 223 A, auquel appartient l'entreprise fondatrice, de fondations d'entreprise, lorsque ces organismes répondent aux conditions fixées au b ; c) Des établissements d'enseignement supérieur ou d'enseignement artistique publics ou privés, d'intérêt général, à but non lucratif ; d) D'organismes visés au 4 de l'article 238 bis ; 1 bis. 2.

Www.les-crises.fr/documents/2012/statuts-diacrisis-v2.pdf. » L’association DiaCrisis. Créée en 2011, l’association Loi 1901 DiaCrisis a été déclarée à la préfecture de Paris le 14/7/2012. Le mot DiaCrisis est formé à partir du préfixe grec Dia, “en traversant”, comme dans Diaphane, Dialogue, Diatribe, Diagonale, Diamètre… DiaCrisis a donc pour but de nous aider à traverser les crises qui sont devant nous… J’ai choisi la forme associative, car elle correspond à l’esprit que je souhaite donner à ce blog, puisque ma démarche n’est pas à but lucratif. Son objet social est le suivant : L’association a principalement un caractère philanthropique, scientifique et éducatif, et vise à la promotion et à la défense de l’intérêt général.Elle a pour objet :la recherche, l’information et l’éducation du public à propos des crises de toute nature auxquelles est ou sera confrontée notre Sociétél’amélioration des moyens dont elle dispose pour les comprendre, en diminuer l’ampleur et les gérer.

Elle se veut finalement une sorte “d’association des lecteurs du blog”. L’adhésion. Articles. Future of Food Trends: How Technology Will Decentralize the Global Food System. How do we create a sustainable food system in the face of growing population pressures, changing weather patterns, declining natural resources, and a sharp decline in soil health? This is one of the questions asked at the second annual National Sustainable Food Summit in Sydney, where visionaries came together for dialogue about how we can co-create the future of Australia’s food system. It should be no surprise that information technology played a central role in the conversation. Peer-to-peer sharing, traceability and enterprise software are just a few of the ways technology is catalyzing a flexible, resilient and sustainable food system. With food tech as a catalyst, the possibility of an interconnected web of localised food systems within a bigger global food system seems possible. The food system, much like other industries around the world, is one of the next major industries that will become decentralised and democratized thanks to the Internet and peer-to-peer trading.

Les hypers en bout de course(s) Il y a très exactement un demi-siècle, le 15 juin 1963, naissait, à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans l’Essonne, le tout premier hypermarché (1) de France. Un magasin aux proportions fabuleuses proposant 15 000 articles. Son but ? Réduire les prix. Ses méthodes ? S’installer loin des villes, là où les loyers sont moins chers, supprimer les vendeurs dans les rayons et traiter de gros volumes en limitant les intermédiaires. A l’époque, les critiques anticipent un échec. Avec surtout ses « éléments de séduction » : ses 4 000 places de parking. Scandales alimentaires Cinquante ans plus tard, la grande distribution est devenue incontournable. Efforts au rabais Les temples de la consommation sont-ils pour autant condamnés ? (1) Le terme « hypermarché » sera inventé plus tard, en 1968, par Jacques Pictet, fondateur du magazine spécialisé « LSA ».

Logiciels Libres et Open Source, une filière qui se structure pour l'économie locale et nationale. Traçabilité des produits: cinq façons de manger local. Après les scandales de la viande de cheval retrouvée dans des plats cuisinés et les problèmes de traçabilité des produits qui en découlent, il paraît de plus en plus difficile de savoir ce que l'on trouve dans nos assiettes. Une solution parmi d'autres existe pourtant pour y voir plus clair dans ce que l’on mange: les circuits courts. Ce mode de consommation alternatif a pour but de réduire les intermédiaires entre producteurs et consommateurs, de préférence en consommant des produits issus d’une agriculture locale. 1. Les Amap Les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) existent depuis des années.

Mais elles restent la référence incontournable dès qu’il s’agit d’évoquer les rapprochements entre producteurs et consommateurs. Ces dernières connaissent même un certain regain d'intérêt. 2. Réunir la plus grosse communauté possible de consommateurs autour de produits agricoles locaux et par Internet, c’est le principe de La Ruche qui dit oui! 3. 4. 5. Réseaux. Actualités. Créer un marché de producteurs bio et locaux. Acheter directement aux producteurs permet de mieux comprendre ce que nous trouvons dans notre assiette, comment cela est produit et par qui. Toutefois, s'il faut faire le tour des fermes pour faire ses courses, cela n'est ni pratique, ni écologique ! Qu'est-ce qu'un marché de producteurs bio et locaux ? De nombreuses communes organisent un marché spécifique pour les producteurs bio locaux, permettant de trouver en un même lieu les fruits, les légumes, le pain, les produits laitiers, la viande… Cela entraîne des gains de temps et de déplacements.

Ces marchés fournissent également la possibilité de découvrir et déguster sur place les produits proposés et produits localement. Plusieurs études dans différents pays ont démontré qu'un repas moyen parcourait en moyenne 3.000 kilomètres, soit 25% de plus qu’en 1980. Il est donc temps d’encourager la consommation de produits locaux pour les agriculteurs et pour la planète. Quel impact sur le territoire ? Ils l'ont fait !