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Les énergies : électricité , charbon

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Évolution du charbon à l'électricité généralités

L'électricien. Deuxième Révolution industrielle La principale revue française traitant d’électricité à la fin du XIXe siècle s’intitule La lumière électrique. Car c’est bien l’éclairage, avant tous les autres usages, qui passionne alors les Français. En 1907, le physicien Lucien Poincaré analyse cet engouement : “L’éclairage électrique est devenu pratique au moment même où les transformations de la vie sociale faisaient naître un désir intense de supprimer artificiellement l’obscurité des nuits.” Du gaz à l’électricité dans l’éclairage public… Pendant le XIXe siècle, l’éclairage public dominant Paris et la province est rendu possible grâce au gaz. Le gaz et l’électricité sont en forte concurrence à la fin du XIXe siècle. L’électricité en vedette aux grandes expositions internationales L’un des grands événements de l’électricité du XIXe siècle se déroule à Paris en 1881.

L'incendie de l'Opéra comique L’incendie de l’Opéra comique : l’éclairage au gaz interdit dans les théâtres. L'invention de l’électricité (1800) Le phénomène d'électrisation a été découvert par le philosophe et savant grec Thaïes de Milet, au VIe siècle av. J. -C. : il avait observé qu'un morceau d'ambre frotté énergiquement acquérait la propriété d'attirer de petits corps légers, telles des billes de moelle de sureau. Par la suite, on découvrit d'autres substances présentant des propriétés analogues, et la force mystérieuse qui se manifestait ainsi fut nommée electricitas dans le latin scientifique du XVIIe siècle (d'après le mot grec êlektron, « ambre ») et « électricité » en français, v. 1733. L'électrisation d'un corps peut être obtenue de trois manières : par frottement, par contact avec un corps déjà électrisé, par influence, en l'approchant suffisamment d'un corps déjà électrisé.

La science des phénomènes d'électrisation est l'électrostatique, fondée sur la loi de Coulomb (1785). En 1800, l'Ita­lien Volta invente une batterie et produit pour la première fois du courant. Pour aller plus loin. l9e.org Marc Nadaux. Le terme de mineur désigne dans le langage courant tous ceux qui travaillent à la mine. En réalité, le mineur est l’ouvrier qui fore les puits et creuse les galeries. Tous ceux qui travaillent à la mine ne sont pas mineurs d’autant que l’introduction progressive de la technique contraint rapidement l’exploitant à décomposer le travail en une série d’activités complémentaires et donc à spécialiser les ouvriers.

La révolution industrielle voit le nombre de mineurs augmenter. On peut estimer à 33.000 le nombre de mineurs en 1850. Le mineur, mis en scène dans Germinal par Émile Zola, devient rapidement une figure emblématique du monde ouvrier à cause de la spécificité de son travail et la solidarité qu’il y manifeste. 1. Le mineur est, au début du XIXème siècle, un rural qui a quitté le travail de la terre. Le mineur peut avoir été jeune apprenti et avoir progresser dans la hiérarchie des mineurs jusqu’à devenir " piqueur ". Le bon mineur est convoité. Le mineur travaille sous la terre. 2. Les mines. Le travail dans les mines | L'histoire par l'image. François Bonhommé a représenté avec une grande fidélité l’activité sidérurgique et métallurgique dans les grands foyers industriels de la France du milieu du XIXe siècle, entre Abainville et Le Creusot. Il n’a pas éludé la représentation des paysages et du travail liés à l’extraction du charbon qui, dans le cas des bassins de Blanzy et du Creusot, se trouvaient si proches de ceux du fer et si étroitement associés à eux.

Si Constantin Meunier a puisé son inspiration dans une région différente – la Belgique du “ sillon Sambre-Meuse ” –, ses sujets peuvent être rapprochés de ceux de Bonhommé, lui aussi attentif aux acteurs et aux gestes du travail, et appartiennent à un même contexte contemporain.Ce contexte, c’est celui d’un âge relativement bref : la France, plutôt mal dotée par son sous-sol, est entrée dans l’âge du charbon d’abord avec les locomotives (à l’approche de 1840), plus tard par la généralisation de la vapeur comme énergie industrielle ou comme moteur de la sidérurgie.

L'Histoire de l'énergie en France. En juin 2003, le chef de l’État français, Jacques Chirac, s’engage devant la communauté internationale à diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de serrePhénomène naturel permettant un accroissement de la température de l'atmosphère d'une planète grâce à la présence de certains gaz... d’ici à 2050. L’objectif ambitieux est repris un an plus tard dans le « plan climat », confirmé lors du Grenelle de l’Environnement de 2007 et dans la loi de transition énergétiqueLa transition énergétique désigne le passage du système actuel de production d'énergie... déposée en 2014. Mais d’où vient ce facteur 4 ? Pour le comprendre, il faut imaginer que tous les habitants de notre planète consomment équitablement de l’énergie. Dans cette hypothèse, il faudrait, pour stopper l’accumulation du dioxyde de carboneAvec la vapeur d'eau, c’est le principal gaz à effet de serre (GES) de l'atmosphère terrestre...

La France a déjà manqué les objectifs prévus par la directive européenne de 2001.