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L'Angolagate 1993 à 1995

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Affaire des ventes d'armes à l'Angola. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Angola L'affaire des ventes d'armes à l'Angola (ou Angolagate ou affaire Mitterrand-Charles Pasqua) concerne une vente d'armes soviétiques d'un montant total de 790 millions de dollars américains au gouvernement angolais du président José Eduardo dos Santos en 1994, alors que la guerre civile angolaise venait de reprendre entre le Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA) au pouvoir et l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (UNITA).

La justice française reprocha à plusieurs personnalités du monde des affaires et de la politique française d'avoir, de 1993 à 1995, vendu à l'Angola des armes provenant de l'ancien bloc soviétique sans avoir reçu d'autorisation de l'État français[1]. Accords de Bicesse[modifier | modifier le code] Les Accords de Bicesse étaient censés démobiliser les combattants actifs au total de 152 000 soldats et d'intégrer les troupes gouvernementales. Chronologie[modifier | modifier le code]

Angolagate articles Survie.org. Pression duPouvoir politique surLaJustice. Les pressions politiques sur la justice ont limité la portée du procès de l’Angolagate. Dans ce procès, Charles Pasqua est finalement parvenu à se faire relaxer par la cour d’appel de Paris, après avoir été condamné en première instance à trois ans de prison ferme. En plus de ce dernier, le juge Philippe Courroye, avait fait comparaître une quarantaine de personnes dont Arcadi Gaydamak et Pierre Falcone. La peine de deux ans et demi de prison ferme de ce dernier « pour abus de biens sociaux » a été confirmé, tandis que Gaydamak a été sanctionné pour fraude fiscale et blanchiment à purger trois ans de prison ferme.

Chacun de ces deux protagonistes devra payer des amendes de 375.000 euros ont été infligées aux deux hommes. De plus, Jean-Charles Marchiani, l’ancien préfet du Var a été condamné pour recel d’abus de biens sociaux à 24 mois dont 8 ferme de même que l’avocat Allain Guilloux. La lutte entre grandes puissances existe généralement derrière les conflits locaux. Notes : 2004 Entraide judiciaire suisse. Les autorités françaises ont ouvert une procédure pénale contre plusieurs personnes soupçonnées de commerce illicite d’armes vers l’Angola et d’autres Etats africains, ainsi que de détournement de fonds et de blanchiment d’argent (affaire dite de l’«Angolagate»). Dans le cadre de cette procédure, elles ont demandé à la Suisse de leur accorder l’entraide judiciaire.

Le 10 juin 2002, le Juge d’instruction du canton de Genève a rendu une ordonnance autorisant la transmission à la France de divers documents bancaires. Cette décision a fait l’objet de recours que le Tribunal fédéral a rejeté en dernière instance le 20 mai 2003. L’octroi de l’entraide judiciaire répond aux intérêts de la Suisse Le 18 mars 2004, Le DFJP a rejeté la requête du recourant. Ce dernier a formé recours contre cette décision devant le Conseil fédéral, recours qui a été rejeté le 24 septembre 2004. 2008 Georges Fenech craque.

Jacques Attali pris dans l'affaire Falcone. Nouvel épisode dans le feuilleton des ventes d'armes à l'Angola, Jacques Attali a été mis en examen jeudi 8 mars par les juges chargés de l'affaire Falcone. L'ancien conseiller personnel de François Mitterrand est soupçonné d'avoir perçu un million et demi de FF de la société Brenco international. Les juges ont par ailleurs perquisitionné vendredi le bureau de Hubert Védrine au Quai d'Orsay. Après Jean-Christophe Mitterrand, ancien patron de la cellule africaine de l'Elysée, c'est Jacques Attali, ex-conseiller du président François Mitterrand, qui est dans le collimateur des magistrats en charge de l'affaire du trafic d'armes vers l'Angola. Placé en garde-à-vue mercredi 7 mars dans la plus grande discrétion, il a été mis en examen le lendemain soir pour «recel d'abus de biens sociaux et trafic d'influence».

Il est notamment accusé d'avoir reçu dans des conditions suspectes, un million et demi de francs de la société de Pierre Falcone, Brenco International. 2013 règlement familiale. 2013 Arcadi Gaydamak le récidiviste. Personnage central du scandale dit de l’Angolagate dans les années 1990, Arcadi Gaydamak est détenu à Genève dans le cadre d’une instruction pénale pour abus de confiance, a appris la RTS lundi.

Arcadi Gaydamak, personnage central du scandale politico-financier dit de l’Angolagate, a été arrêté le 19 novembre à Zurich. L’homme d’affaires franco-israélien est désormais détenu à Genève dans le cadre d’une instruction pénale pour abus de confiance, a appris la RTS lundi. Condamné pour fraude fiscale en France, Paris pourrait réclamer son extradition. Au moment de son arrestation, comme l’a révélé le site paperjam.lu lundi, Arcadi Gaydamak se rendait à une procédure d’arbitrage dans un litige qui l'oppose à un autre homme d’affaires israélien, Nahum Galmor.

"Etranges raisons" C’est le procureur genevois Dario Zanni qui a demandé son arrestation, information confirmée par le Parquet de Genève. Yves Steiner/gax.