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13/02/1800 fondation de la BANQUE de FRANCE

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Napoléon Ses batailles économiques J.Marseille. Une des institutions napoléoniennes. Après le temps de la fondation, l'Empire représente celui où le pouvoir se soucie de mieux contrôler l'institut d'émission.

Une des institutions napoléoniennes

Le régime impérial est, dans ce domaine comme dans d'autres, plus autoritaire que le Consulat. Mais dès le 25 janvier 1804, dans une lettre qu'il adresse aux régents par l'intermédiaire de Barbé-Marbois, Bonaparte critique une politique de l'escompte qui était devenue plus souple, mais qu'il persiste à trouver trop restrictive : "Le Premier Consul, écrit-il, n'a fait de sacrifices, n'a pris tant de soins pour fonder et consolider la Banque que pour amener la réduction de l'intérêt, sans lequel ni le commerce, ni les manufactures ne peuvent prospérer. Ce résultat ne peut être atteint qu'en multipliant autant qu'il sera possible les escomptes" (17).

Il aurait voulu une plus large extension de ses opérations d'escompte, en faveur surtout des receveurs généraux et des fournisseurs de l'État, ce qui était un moyen indirect d'obtenir des avances. Banque de France les 200 familles 1806 à 1936. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Banque de France les 200 familles 1806 à 1936

L'expression « deux cents familles » désignait les deux cents plus gros actionnaires (sur près de 40 000) de la Banque de France pendant l'Entre-deux-guerres. La main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. Nicolas François MOLLIEN. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nicolas François MOLLIEN

Pour les articles homonymes, voir Mollien. Nicolas François, comte Mollien est un homme politique français, né à Rouen, le 28 février 1758 et mort à Paris le 20 avril 1850. Biographie[modifier | modifier le code] Après de brillantes études, Mollien entra en 1778, protégé par le duc de Richelieu, dans les bureaux du contrôleur général des finances Taboureau des Réaux. Loi du 7 germinal an XI (27/03/1803) le franc germinal. Par la loi du 7 germinal an XI (27 mars 1803), le Premier Consul, Napoléon Bonaparte, fixe la valeur du franc et lui donne une base stable.

loi du 7 germinal an XI (27/03/1803) le franc germinal

La deuxième vie du franc Le franc est une vieille unité monétaire qui a ressurgi à la faveur de la Révolution par une loi du 7 avril 1795, confirmée le 15 août 1795. Celle-ci en a fait le remplaçant exclusif de la livre tournois de l'Ancien Régime. La nouvelle monnaie, très simple d'emploi avec ses décimes, ses centimes et ses millimes, a été immédiatement adoptée par le public. Valeur 1 kilo or égale à celle de 15,5 kilos d'argent. Histoire du franc. Le côté Obscure du Pouvoir. Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 alias Rothschild. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

loi n°73-7 du 3 janvier 1973 alias Rothschild

Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France Lire en ligne Texte sur Légifrance La loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France est une loi française, qui a régi de 1973 à 1993 l'organisation de la Banque de France. Cette loi est parfois surnommée loi Pompidou-Giscard ou loi Rothschild. Ces dernières années, cette loi est au cœur d’un débat sur l’endettement public et la création monétaire. Le débat[modifier | modifier le code] La critique de la « loi de 1973 » s’inscrit en fait dans un débat économique plus large, notamment sur la création monétaire. Jusqu'en 1972, la Banque de France pouvait prêter à l’État sans intérêt 10,5 milliards puis 10 autres milliards à taux très faible[2]. La critique[modifier | modifier le code] Banque de France Accueil. 2011 Cpte-rendu Colloque international. Qu'est-ce que l'ACP ? 1998 Vive l'industrie de la Finance ! Sortie de l’Euro par Jacques Sapir.

Un argument récemment soulevé par les adversaires d’une dissolution de la zone Euro consiste à dire que le retour à des monnaies nationales poserait des problèmes insurmontables quant au financement de la dette française.

Sortie de l’Euro par Jacques Sapir

Ceci se traduirait tant par la nécessité pour la Banque de France de monétiser une large part du stock de dettes existant, entraînant ainsi un risque d’hyperinflation, que par une hausse des taux sur la dette qui viendrait dégrader le solde budgétaire. On notera cependant que ces arguments sont mutuellement exclusifs. Soit la Banque de France doit monétiser « en masse », et par définition cela fera baisser les taux d’intérêts, soit elle ne procède qu’à des monétisations très réduites, qui excluent le risque d’hyperinflation, et alors se posera le problème des taux d’intérêts.