100 Visages - Jean-Paul Delevoye. Il faudrait oser reconstruire une responsabilité collective dans... "Place aux Idées" - Jean-Paul Delevoye - 23 janvier 2013. Bapaume: Jean-Paul Delevoye vote pour un socialiste - Région. Maire de Bapaume depuis 1982, Jean-Paul Delevoye va quitter son poste en 2014 et abandonner tous ses mandats locaux (maire et président de l’intercommunalité). L’ancien ministre (de la Fonction publique, de l’Aménagement du territoire et de la Réforme de l’État dans les deux premiers gouvernements Raffarin, de 2002 à 2004) souhaite se consacrer pleinement au Conseil économique, social et environnemental (CESE) qu’il préside depuis 2010. « Si je continue, je ferai le mandat de trop, confie-t-il.
Il faut passer la main à une nouvelle génération. » Et pour lui succéder à la tête de la mairie bapalmoise (4 200 habitants), ce proche de Jacques Chirac pense à Jean-Jacques Cottel, député et conseiller général… socialiste. Un choix étonnant pour un ancien candidat à la présidence du RPR en 1999 qui a intégré l’UMP en 2002. « Il faut sortir de cet État marqué par l’appartenance politique, argumente-t-il. Nous devons travailler dans la connexion, dans le parti de l’intelligence, du rassemblement. Le Monde. Jean-Paul DELEVOYE | Les conseillers. Jean-Paul Delevoye. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Ancien directeur de sociétés agroalimentaires, il est conseiller municipal d’Avesnes-lès-Bapaume à partir de 1974. De 1982 à 2002 et depuis 2004, il est maire de Bapaume.
Il a été également conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, président de la Communauté de communes de la région de Bapaume (élargie à la Communauté de communes du Sud Artois à partir de 2013, et qu'il préside également) et président de l'Association des maires de France (1992-2002). Il est député du Pas-de-Calais de 1986 à 1988. Soutenu par l'Élysée, il brigue en la présidence du RPR, mais il est battu par Michèle Alliot-Marie, qui recueille 62,7 % des voix des militants au second tour[1].
Bibliographie[modifier | modifier le code] Reprenons-nous ! Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]