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Bien-être et santé du doctorant

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Le bien-être pendant le doctorat – Le doctorat et caetera. Des recherches en psychologie ont été menées sur le bien-être et la santé pendant le doctorat en particulier par Pascale Haag, Maître de conférences en psychologie à l’EHESS. Ci-dessous un billet de la chercheuse, publié en janvier 2015 sur le carnet hypothèses Well-being & Happiness. Bien-être, santé et travail pendant le doctorat (BEST-doc) : une recherche-action participative, 26.01.2015, par Pascale Haag Doctorat et stress Le doctorat, dernière étape du parcours universitaire, est bien souvent considéré comme une période particulièrement éprouvante (Austin, 2002 ; Gérard, 2014 ; Golde, 1998 ; Nyquist et al., 1999). Crédit : « Zen garden », RC Designer, 2009, compte de l’auteure sur Flickr, CC. Bien-être, santé et travail pendant le doctorat (BEST-doc) : une recherche-action participative | Well-being & Happiness.

Doctorat et stress Le doctorat, dernière étape du parcours universitaire, est bien souvent considéré comme une période particulièrement éprouvante (Austin, 2002 ; Gérard, 2014 ; Golde, 1998 ; Nyquist et al., 1999 ). Les facteurs de stress qui affectent les doctorants sont aussi nombreux qu’hétérogènes : élaboration d’un projet de thèse, recherche de financement, intégration dans un laboratoire, relations avec le ou les directeur(s) de recherche et avec les collègues, insatisfaction par rapport à l’encadrement, rédaction d’articles ou de la thèse, précarité, sentiment de solitude, perte de confiance en soi, difficultés sur le terrain ou échec dans ma mise en place des expérimentations, manque de résultats, etc. Par ailleurs, le doctorant ne peut se contenter de produire une thèse, aussi excellente soit-elle. Illustration de Tis, issu du blog www.PhDelirium.com Alors, face à ces difficultés, concrètement, que faire ?

Quels sont les bénéfices attendus ? Ce que n'est pas le projet BEST-doc ? Gestion du stress chez les doctorants : vers la surconsommation de certains produits qui pourraient nuire à leur santé ? Recherche de Laetitia Gérard & Marc Nagels Questionnements et méthodologie Tout au long de leur parcours doctoral, les doctorants rencontrent de nombreuses difficultés et obstacles (Fullick, 2011; Gérard, 2012; Lovitts, 2001; Nyquist et al., 1999) : difficultés financières, la pression de l’entourage ou du laboratoire, la solitude sociale et intellectuelle, l’avenir incertain, des difficultés liées à l’appropriation de la culture scientifique (socialisation), le travail intensif, etc.

Les recherches de Nyquist et al. (1999) et de Bégin et Gérard (2013) montrent à quel point les doctorants se sentent seuls pour les affronter. Ces difficultés et obstacles que les doctorants franchissent en solitaire sont générateurs de stress (Erlich, 2000; Haag, 2012). Comment les doctorants gèrent-ils le stress lié à leur doctorat ? Résultats Les doctorants disent avoir augmenté leur consommation de café, de sucreries (bonbons/chocolat), de vitamines, d’alcool et de tabac depuis leur entrée en doctorat.

The Mentally Healthy PhD. PhD Comics’ comic strips are so effective because they capture much of the essence of postgraduate life: long hours, obsession, frequent criticism, self-doubt, angst and despair. When I was studying for my undergraduate degree in the early 2000s these aspects of academic life tipped me into a nasty bout of clinical depression. Sadly I didn’t realise at the time that it was these academic work-life balance, resilience and cultural issues that were the trigger for my depression.

This realisation came only after I had graduated and gone to work in a government office in which they were not the norm; without the triggers, I could once again face the issues at the root of my depression without being crushed. I made a pact with myself that if I was to return to further study I had to acknowledge these triggers and develop strategies to keep them in check. Over the last 6 years I’ve met a lot of very stressed and unhappy PhD students. Work-Life Balance 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Finally … La santé mentale des doctorants. Parlons de la dépression chez les étudiants aux cycles supérieurs. par Melonie Fullick La période de novembre à mars semble propice à l’épuisement aux cycles supérieurs. Dans certains cas, il s’agit d’un état saisonnier : on s’engouffre dans le stress et la fatigue pour n’en ressortir que quelques mois plus tard.

Toutefois, au-delà de la déprime d’hiver, il semble que la dépression clinique, l’angoisse et autres problèmes de santé mentale soient de plus en plus fréquents chez les étudiants aux cycles supérieurs. Quand j’ai demandé à une collègue étudiante ce qu’elle en pensait, elle m’a répondu : « on dirait que tout le monde que je connais à l’université est déprimé ». En décembre dernier, j’ai donc posé la question sur Twitter et affiché sur mon blogue (Speculative Diction) un article qui traite des doctorants, de la dépression et de l’abandon. Voici quelques exemples de cas de problème structurel. Le silence oppressant dans lequel baigne ce contexte représente un grave problème.

Survivre à la thèse sans drogues ni médicaments | Thèse Antithèse Foutaises. « Au commencement était le verbe », ensuite le correcteur orthographique automatique s’en est mêlé et les doctorants du monde entier ont commencé à haïr les logiciels de traitement de texte. Le correcteur orthographique m’apparaît comme un immonde tyran aveugle, le plus froid des monstres froids. C’est un fait. De manière plus générale, toute personne ayant dû rédiger un document de plus de 500 pages avec des annexes démiurgiques, des sauts de section continus et des notes de fin a forcément juré des heures durant contre les sautes d’humeur pestilentielles de Word, la froide suffisance de Latex, les sommaires inconstants et faquins d’Open Office.

Quand vous rajoutez à cela la fourberie du correcteur orthographique au vocabulaire forcément déficitaire, on atteint des sommets d’absurdité. Il est temps d’apprendre à se venger. Cela dit, le système de correction automatique voire de reconnaissance vocale du smartphone, a également sa part de responsabilité. Il vous faut des preuves ? Living A healthy PhD Life | PhD Life. GUEST POST from U. Ejiro Onomake Profile: U. Ejiro O. Onomake is in the last year of her PhD programme based at the University of Sussex’s anthropology department. She is also a Sussex Research Hive Scholar. Wellness is a Process Another long week has come to an end. Food Eating healthy can include a range of things including adding more fruits and vegetables to your diet; eating out less and reducing processed foods and sweets. Physical Activity We do a lot of sitting around as researchers and our bodies were not meant for this.

Mental Breaks As PhD researchers our job is to think. Cultivating a healthier lifestyle is best viewed as a process rather than an end goal. Photo Credit: Creative Commons/ daverose259 Like this: Like Loading...