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RapportdenqueteIGF. Isabelle Wayaffe: Rapport de l'IGF : «Cpte t... Edmond Coulot: Je rappelle que le chef de... Sarkozy ''confiant'' sur le rapport de l'IGF. Nicolas Sarkozy s'est dit "assez confiant" aujourd'hui sur le fait que l'Inspection générale des finances (IGF) "ne trouvera pas de faute" imputable à Eric Woerth dans la gestion du dossier fiscal de Liliane Bettencourt, tout en n'excluant pas de "sanctionner" le ministre dans l'hypothèse inverse. "J'ai souhaité que l'Inspection générale des finances examine les 6.500 dossiers qui sont passés par le cabinet d'Eric Woerth pendant qu'il était ministre du Budget" (mai 2007-mars 2010), a déclaré le chef de l'Etat, selon des participants à la réception des députés Nouveau Centre à l'Elysée.

"Je ne sais pas du tout ce que le rapport, remis vendredi, va dire. S'il y a faute, je sanctionnerai (Eric Woerth) et s'il n'y a pas faute, je ne vois pas pourquoi je le sanctionnerais. Mais je suis assez confiant sur le fait que (l'IGF) ne trouvera pas de faute", a-t-il ajouté, selon ces temoins. Le ministre du Budget, François Baroin, avait annoncé le 30 juin qu'il saisissait l'IGF sur cette affaire. Affaire Bettencourt : le rapport qui blanchit Woerth. Selon le rapport de l'IGF, l'ancien ministre du Budget «n'est pas intervenu pour demander, empêcher ou orienter une décision ou un contrôle portant sur Mme Bettencourt, MM. Banier ou de Maistre». Les conclusions du rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) sont formelles : «Éric Woerth, durant la période où il était ministre du Budget, n'est pas intervenu auprès des services placés sous son autorité pour demander, empêcher ou orienter une décision ou un contrôle portant sur Mme Bettencourt, MM.

(François-Marie) Banier et (Patrice) de Maistre, ainsi que sur les sociétés Téthys et Clymène » où travaillait son épouse Florence. Rendu public hier, ce document, signé par Jean Bassères, haut fonctionnaire plutôt classé à gauche, contribue largement à laver Éric Woerth des soupçons qui pesaient sur lui. Les auteurs de ce rapport très attendu ont retracé le parcours des dossiers fiscaux de ces contribuables peu ordinaires. Absence de redressement. Affaire Woerth-Bettencourt: le rapport de l'IGF, forcément suspect - LES COULOIRS DE BERCY. C’est lundi que Jean Bassères, le chef de l’Inspection générale des finances, devrait rendre son rapport sur l’affaire Woerth-Bettencourt. A la demande de François Baroin, le ministre du Budget, il a travaillé seul sur le dossier. Ses conclusions sont très attendues. La majorité a même assuré qu’elles permettront de laver Eric Woerth de tout soupçon d’intervention politique sur le dossier fiscal de Liliane Bettencourt.

De là dire que tout est écrit d’avance, il n’y a qu’un pas. François Baroin et Eric Woerth, lors de la passation de pouvoir au ministère du Budget, le 23 mars dernier (Photo: Gonzalo Fuentes / Reuters). Mais il y a tout de même de sacrées critiques à formuler sur la démarche même initiée par François Baroin. Ce qui m’amène à la plus importante critique sur cette enquête de l’IGF: c’est qu’elle a, justement, été confiée à l’IGF… Je m’explique. Après le rapport de l'IGF, des interrogations subsistent. Les conclusions du rapport Bassères dédouanent Woerth. Les révélations du "rapport" de l'IGF dont Sarkozy ne parlera pas. Affaire Woerth-Bettencourt: le rapport de l’IGF, une blague ?