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Droits des enfants

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Déontologie : Dans une société décadente, la justice et la morale font-elles encore bon ménage ? Un échange de tweets malheureux est l’occasion de s’interroger sur le rôle des juges (et du journalisme)… Bavarder à outrance (via tweets ou autre) pendant un procès d’assise tandis qu’on occupe le siège ou le parquet, et où se mêlent la souffrance des victimes, le destin des jugés et la société témoin, relève manifestement d’un écart déontologique sinon d’une forme d’indifférence qui n’est pas tolérable à partir du moment où on est acteur de la décision.

Un croque-mort peut encore avoir quelques barrières mentales vis-à-vis des personnes qui entrent dans sa boutique mais il n’est pas acteur du destin déjà signé de son principal client. Il s’oblige tout de même, par déontologie, à des questions de forme et à mettre des gants… Et chacun* d’incarner le changement qu’il souhaite voir s’opérer, parce que ca ne viendra pas tout seul.. *(juges et journalistes compris) Le tweet de trop ? Le compte Twitter @Proc_Gascogne a été supprimé (12/2012). Tout ça relève évidemment de la plaisanterie. Jacob Cohen : Il y a deux catégories de juifs : les "bons" défendus par le CRIF, et les autres. Vos idées pour une nouvelle Charte des Droits de la Famille | MMM maman papa et moi on materne. Quelles évolutions pour l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) ? L’institution judiciaire en état de non assistance à personne en danger face à l’aliénation parentale !

70 infractions routières pour Lucas, 4 ans. EGV – Eloignement Géographique Volontaire ou comment priver l’enfant de ses droits. La justice ne s’impose-t-elle qu’à ceux qui s’y soumettent ? Loi / prévention. La France aurait-elle peur des plaintes des enfants ? (Le Monde) | Justice : DROITS des ENFANTS & Affaires Familiales. Juges et Experts : le danger de la confusion des rôles. Et insiste également sur le danger sur la confusion des rôles… (cf. son article "Quand l’expert s’assoit dans le fauteuil du juge" ci-après) La question du courage professionnel (celui du juge comme celui de l’expert) est ici déterminante. (…) Un jour, le juge met sa culotte. Mais il est parfois trop tard… (Dr Paul Bensussan, Psychiatre, expert national) « Les affaires familiales : il n’est pas de domaine dans lequel la mission confiée à l’expert, psychiatre ou psychologue, soit plus proche de celle du juge. Si le juge ne peut, dans certains domaines, se dispenser de l’avis de l’expert, les deux acteurs courent, à défaut d’une vigilance particulière, un risque considérable de confusion des rôles.

Pour l’expert, le risque existe bel et bien de se substituer au juge, en s’aventurant parfois bien au-delà de son champ de compétences ou des limites de sa mission. Le Conseil Constitutionnel déclare que la loi visant à réprimer la contestation des génocides est contraire à la Constitution. Vu la Constitution ; Vu l’ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 modifiée portant loi organique sur le Conseil constitutionnel ; Vu la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ; Vu le code pénal ; Vu les observations du Gouvernement, enregistrées le 15 février 2012 ; Vu les observations en réplique présentées par les députés requérants, enregistrées le 21 février 2012 ; Le rapporteur ayant été entendu ; 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Article 1er.- La loi visant à réprimer la contestation de l’existence des génocides reconnus par la loi est contraire à la Constitution. Article 2. Délibéré par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 28 février 2012, où siégeaient : M. Justice mal cotée,

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