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Études

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Www.ilokyou.com/public/pdf/livre_blanc.pdf?v=1. Airbnb: Our Guests Stay Longer And Spend More Than Hotel Guests, Contributing $56M To The San Francisco Economy. Over the past few years, there’s been some question about what effect peer-to-peer lodging marketplace Airbnb has on the hotel and tourism industry. Now the company has some research to show that it’s not having a negative effect, and in fact is actually contributing more to the tourism trade in San Francisco — especially to neighborhoods that aren’t usually visited by the typical tourist here. According to research conducted by real estate and economic development consulting firm HR&A Advisors, Airbnb guests helped contribute $56 million in total economic activity to the San Francisco economy from June 2011 to May 2012, the vast majority of which was unrelated to the money they spent on lodging.

Airbnb guests spent $12.7 million in lodging during that time, but spent an additional $43.1 million while staying in town. At the end of the day, that typically means they end up spending more on other things. Ademe.typepad.fr/files/ademe-pratiques-collaboratives-08.02.13.pdf. Le tour du monde de la consommation collaborative. En 2005, consoGlobe a créé la première bourse de troc sur le web français. Depuis, que de chemin parcouru ! Le sentiment pro-environnement et de devoir consommer plus intelligemment a progressé : le consommateur français devient de plus en plus adepte de ce que nous appelons la “nouvelle consommation”.

Cela reflète une attirance pour un ensemble de valeurs où l’environnement joue une place centrale aux cotés d’autres aspirations profondes : l’éthique, la solidarité, l’envie de consommer local et en circuit court, le respect de soi, le respect des autres, la générosité, …. La consommation collaborative est née, avec une valeur universelle : le partage, pierre angulaire d’une révolution silencieuse. La baisse du pouvoir d’achat pousse les Français à favoriser des solutions plus économiques. Chaque jour de nouvelles start-up voient le jour. Sommaire du dossier 1 – La crise dope la consommation collaborative Les 4 types de consommateurs collaboratifs Les magasins gratuits. Milgrom Market Research (english) The Rise of the Sharing Economy. Statistics. Havas Worldwide identifie 13 tendances pour 2013.

Racines-du-Collaboratif-SFR.jpg (Image JPEG, 808x615 pixels) Consommation collaborative* : Les Français prêts à tout essayer pour consommer moins cher. «* La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs » explique le site éponyme lancé par le fer de lance de l’économie du partage Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption(Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Partager, louer, troquer, récupérer… au cours des prochaines années, la majorité des consommateurs français et européens ont bien l’intention d’exploiter tous les modes de consommation « alternatifs », afin de limiter leur dépenses. C’est ce qui ressort du dernier observatoire Cetelem, réalisé en décembre 2012 avec le cabinet d’études et de conseil BIPE, sur la base d’une enquête menée par TNS Sofres en novembre 2012.

J’ai fait une grosse étude sur le sujet et de nombreux cas .. Sinon, reste à mettre la main à la pâte. De surcroît pourquoi payer quand la location existe ? Infos + Vidéo : 1037. The Rise of the Sharing Economy. Collaborative consumption, peer-to-peer marketplaces, the sharing economy — it's been called a few names by now, but no one is denying that the idea of accessing rather than owning is controversial — and it's taking the Internet by storm. Peer-to-peer marketplaces, of which Airbnb is the beloved poster child, have been popping up for the past few years, but 2011 was an explosive year for the sector. Whether you wanted to borrow or rent someone's apartment, bike, car, parking spot or random household good, you could find a marketplace to do it. This is only the beginning, though; 2012 looks to be a promising year for those involved with the sharing economy.

Super angel Ron Conway recently identified it as 2012's hot area for angel investment in The Economist. And Fast Company deemed 2012 the "year of peer-to-peer accommodations," thanks to the emergence of Airbnb clones that hinged off of the company's outstanding growth. It's All About Value Knodes and SnapGoods founder Ron J. Renting vs.

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Partage & Co. - Les fondamentaux du marketing - Consommation. L'idée est primitive. C'est celle du feu commun dans la grotte. Tous les habitants d'un même groupe serrés les uns contre les autres pour se réchauffer, manger et échanger. Aujourd'hui encore, la notion perdure et le titre du best-seller d'Anna Gavalda Ensemble, c'est tout! A une résonance forte dans la cité. On parle «d'économie du partage», «collaborative» ou encore «participative». Il s'agit de préférer la fonctionnalité ou l'usage d'un bien à sa possession. « J'utilise souvent l'exemple de la perceuse pour expliquer la théorie de la «collaborative consumption», explique Antonin Léonard, diplômé de l'EM Lyon, entrepreneur et animateur du blog référent en la matière.

. « Les crises économiques et sociétales, conjuguées à l'émergence de communautés via les réseaux sociaux, ont boosté cet écosytème de partage, continue Antonin Léonard. CityzenCar propose aux propriétaires de louer leur voiture par le biais du site. Lisa Gansky CityzenCar ou la voiture partagée Du système D au système E. Les-urbains-et-la-consommation-collaborative.pdf (Objet application/pdf) Obsoco_recto_verso.pdf (Objet application/pdf) 83% des Français préfèrent l'usage à la possession. La consommation collaborative est en train de s’installer durablement dans le paysage de la consommation, mais n’est pas liée à un rejet brutal du modèle de société actuel, conclut l‘Observatoire Société et Consommation (ObSoCo), qui dévoilait ce matin les résultats de sa dernière étude.

L’Observatoire des Consommations Emergentes est l’une des premières études sérieuses qui apporte des analyses chiffrées et des enseignements clés sur les pratiques de consommations émergentes. La sémantique n’a d’ailleurs pas été choisie au hasard. Nous avons eu un débat en interne sur le qualificatif le plus approprié à ces formes de consommation. Nous avons qualifié ces pratiques d’émergentes car elles ne sont pas nécessairement nouvelles et surtout on aurait tort de les qualifier d’alternatives. – Robert Rochefort Alors de quoi parle-t-on ? La consommation change car la société est en crise. La consommation collaborative est en vogue L’émergence des nouvelles technologies Motivations économiques. Study Reveals Big Opportunities in the Sharing Economy.

Latitude and Shareable Magazine recently released the findings of The New Sharing Economy study, which uncovered new opportunities for entrepreneurs, investors, and established companies in the emerging sharing economy. Top Opportunity Areas for New Sharing Services. The New Sharing Economy study surveyed 537 participants for their current engagement and future interest in sharing across industry categories. Based on this data, the top opportunity areas for new service offerings were interpreted as those with both high latent demand and low market saturation: time, household goods, automobiles, money, and living space.

Infographic excerpted from The New Sharing Economy study report. Download in full here. Time is money. What All Businesses Can Learn from The New Sharing Economy. Image credit: D'Arcy Norman Build brand loyalty and generate more actionable marketing data through sharing-based offerings. A Few Forward-Looking Sharing Business Concepts, Submitted by Participants. Software. [Etude] Pourquoi consommer à deux, c'est mieux ? Iligo vient de publier la 1ere édition de son cycle d’études « Regards sur le Consommateur Contemporain ». Celle-ci, traitant de la consommation collaborative, revient en chiffres sur la perception des urbains envers cette pratique. L’achat groupé de produits alimentaires serait considéré comme la pratique n°1 de la consommation collaborative, pour les urbains. En effet, 80% d’entre eux, tous sexes et âges confondus, se déclarent intéressés par les solutions de commandes groupées à des producteurs locaux.

Elle est suivie par les vide-dressing (65%) et le covoiturage (63%), qui remportent en particulier l’adhésion des jeunes consommateurs (18-34 ans) et des femmes. Iligo dévoile également les motivations qui poussent les urbains vers la consommation collaborative. Ainsi, la majorité d’entre-eux (89%) déclare que cette pratique permet de réaliser des économies, mais également de favoriser un lien social (89%).