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Street Art

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Photos De Jace. Jérome Mesnager - interview. Bientôt trente ans que la silhouette libre et joyeuse de son homme blanc court sur les murs de Paris et du monde, jusqu’à la grande muraille de Chine ou à l’ancien bagne de Guyane.

Jérome Mesnager - interview

C’est dans les années quatre-vingt que Jérome Mesnager créait ce personnage emblématique, en marge de son groupe « Zig-Zag dans la savane », pionnier pour ses interventions artistiques sauvages dans l’espace urbain. Retour sur un parcours tissé de rencontres. Comment vivez-vous ce long compagnonnage avec le corps blanc ? Une création, on l’a en soi, mais on doit aussi la maîtriser, parce qu’elle est sauvage. C’est quelque chose qu’on a du mal à dominer. Quand vous l’avez créé, vous avez tout de suite senti qu’il était là pour longtemps ? Oui, c’était le 16 janvier 1983, il était douze heure trente. Il vous est resté quelque chose de votre passage par l’école Boulle, dans votre rapport à la matière ? Enormément. Street art. Le Street Art au cœur de nos sociétés ….

Street art

Top 10 des villes où les street artists taguent à coeur joie. Avec le succès du film Faites le mur, de Banksy, l'artiste rebelle qui colorie les murs (bouh c'est mal), mais qu'on aime bien quand-même, le street-art connait un regain de popularité.

Top 10 des villes où les street artists taguent à coeur joie

Il est même considéré comme un art à part entière, une culture particulière, et non seulement comme du gribouillage de jeunes mal éduqués. Depuis 40 ans, il se répand comme une pandémie autour du globe, et surtout dans les grandes villes, pour le plus grand bonheur des amoureux de l'art qui tâche. New-York Dans les années 70, la Grosse Pomme voit émerger en ses rues des hommes à crêtes et autres danseurs bizarres. C'est le berceau de la culture street-art. Ces bêtes curieuses vont même jusqu'à prendre des bombes de peintures et dessiner sur les murs, tels des cro-magnons désireux de laisser une empreinte dans les murs de la société et en dénoncer ses travers. Crédits photo (creative commons) : Rennes est-elle une capitale du street art? France. Ernest pignon ernest. Il a apposé des images peintes, de personnes dans le désarroi, chômeurs, dessinées, sérigraphiées sur du papier fragile, sur les murs des cités, dans des cabines téléphoniques, qui se marient à l’architecture urbaine, et acceptées par les populations qui les défendent même de leur dégradation lente (Naples).

Ernest pignon ernest

Ernest Pignon-Ernest dénonce l’art construit pour les musées et expositions...au début il y a un lieu, un lieu de vie sur lequel je souhaite travailler. J’essaie d’en comprendre, d’en saisir à la fois tout ce qui s’y voit : l’espace, la lumière, les couleurs… et, dans le même mouvement ce qui ne se voit pas, ne se voit plus : l’histoire, les souvenirs enfouis, la charge symbolique… Dans ce lieu réel saisi ainsi dans sa complexité, je viens inscrire un élément de fiction, une image (le plus souvent d’un corps à l’échelle 1).

ERNEST PIGNON ERNEST Né en 1942 Processus inédit, le travail de cet artiste est composé d’images peintes ou sérigraphiées sur du papier. E. JR : De l'activisme à la commercialisation ? JR est un artiste contemporain français, à l’origine plus dans le Street Art, il prend des photos noir et blanc qu’il expose en format gigantesque dans la rue.

JR : De l'activisme à la commercialisation ?

Son travail étant très engagé cela lui vaudra le qualificatif « d’activiste urbain ». Dans cet article nous allons voir ce qu’il en est aujourd’hui. Mais avant cela petit retour sur ces projets engagés. Portrait de JR Il se fait connaître en 2004 avec son projet Portrait d'une génération consistant en série de portrait de jeune de quartier faisant une grimace devant son objectif déformant. Portrait d'une génération. Entretien avec le pochoiriste activiste RéroRéécrire. Artiste plasticien activiste, Rero réalise des ouvres conceptuelles qui relient problématique économique, notion de propriété et message politique.

Entretien avec le pochoiriste activiste RéroRéécrire

Un mélange entre le réel du street art et le virtuel d’Internet est représenté par des textes barrés. Ses citations telles que « J’aurais préféré un mur blanc plutôt que cette affiche de merde », « I hate graffiti », « What you see is what you get (WYSIWYG) » ou encore « We are sorry this image is not available », se retrouvent sur des affiches, toiles, papiers gaufrés, dans des lieux publics ou clos. L’espace et le support sur lesquels ils sont inscrits leur confèrent leur signification. Né en 1983, Rero a exposé son travail à l’Hybride de Lille, au Antje Oeklesund de Berlin, à la Maison des Métallos à Paris ou encore à la Bibliothèque Nationale de France.

Il est représenté par la galerie française Backslash. Ton art semble être influencé par le graffiti et des considérations économiques et sociales ? Street-art : les pochoirs de Banksy s’animent. Le Tumblr Made by ABVH compile et bricole des séries de GIF animés.

Street-art : les pochoirs de Banksy s’animent

Une série inspirée et consacrée aux pochoirs de Banksy rend hommage au street-artist qui multiplie actuellement ses frasques à New York, avec son expo « Better out than in ». Brandksy : un publicitaire détourne les œuvres de Banksy. Branksy vs Facebook Les « street artists » n’ont jamais eu la réputation d’être tendres avec la société de consommation, et par extension avec les marques.

Brandksy : un publicitaire détourne les œuvres de Banksy

Street art : les pochoirs de Banksy en chair et en os.