background preloader

Dinosaure

Facebook Twitter

Des cocons de guêpes dans un œuf de dinosaure - Archéo & paléo. Ces œufs de titanosaures proviennent d’un site archéologique argentin, en Patagonie, bien connu. Ils ont été découverts en 1989 mais ce n’est que récemment qu’on a trouvé à l’intérieur d’un de ces œufs des structures de 2 à 3 cm de long sur 1 cm de diamètre qui font penser à des cocons d’insectes dont les plus semblables sont ceux construits par certaines espèces de guêpes modernes comme le décrit Jorge Genise du Museo Argentino de Ciencias Naturales dans la revue Palaeontology.

Les résultats indiquent « que les guêpes ont sans doute participé à la chaîne alimentaire, principalement composé d'insectes charognards, qui s'est développée sur l'œuf pourri ». Il semble que cet œuf ait eu un destin tragique : brisé durant un évènement indéterminé, les fractures sur sa coquille ont pu laisser entrer dans un premier temps d’animaux qui se sont nourris de sa substance puis d’autres créatures sont venues croquer ces charognards. Des cocons de guêpes fossilisés dans l’œuf d'un dinosaure. Un dégazage massif à l’origine de l’extinction du Trias? - Archéo & paléo. Une extinction moins connue L'extinction massive de la fin du Trias (et qui marque le début du Jurassique) s’est produite il y a environ 200 millions d’années. Ce n’est pas la plus meurtrière que la Terre a connu : 40 millions d’années plus tôt, entre la fin de l’ère primaire et le début de l’ère secondaire, près de 90% des espèces marines et 70% des vertébrés ont été éradiqués de la surface de la Terre.

Lors de l’extinction du Trias, les paléontologues estiment que « seulement » la moitié de la diversité biologique de la planète a disparu. Elle a longtemps été attribuée à une augmentation de l'activité volcanique liée au début de la dislocation de la Pangée, le continent originel. Selon eux, cette extinction a plutôt été due à une libération massive de carbone dans l'atmosphère suivie d'un changement rapide du climat. 12 0000 gigatonnes de carbone relâchées Un tel épisode de rejet massif n’est pas un évènement unique dans l’histoire de la Terre. L’ancêtre des oiseaux perd son rang - Archéo & paléo. La découverte, en chine, d’un fossile de dinosaure très voisin de l’Archaeopteryx, pourrait démettre ce dernier de son statut d’ancêtre des oiseaux. L’Archaeopteryx est considéré ainsi par lamjorité des paléontologues depuis la découverte du premier spécimen en 1861, quelques mois à peine après la parution de l’ouvrage de Charles Darwin L'Origine des espèces.

Le fossile possédant des caractéristiques d’oiseaux (plumes, bréchet, pattes à 3 doigts) et de dinosaures il a été classé à la base des Avialae, groupe qui donnera nos oiseaux actuels. Au fil du temps, la position d’Archaeopteryx s’est quelque peu affaiblie avec la découverte de plusieurs dinosaures à plumes possédant également d’autres caractéristiques aviaires. L’animal, est rattaché à un groupe parallèle aux Avialae, les Deinonychosauria. Les paléontologues ont alors construit un arbre phylogénétique, en comparant les caractéristiques anatomiques de l'archéoptéryx, de Xiaotingia, d’autres avialae et de deinonychosaures. Des spinosaures vivaient aussi dans l'hémisphère sud ! Une vertèbre de spinosaure très proche de celle d’un Baryonyx britannique a été trouvée en Australie. Datant du Crétacé inférieur, alors que la Pangée était déjà bien fragmentée, cette découverte laisse entendre que les populations de dinosaures carnivores des hémisphères nord et sud n’étaient en réalité pas séparées.

Suivez l'enquête sur la disparition des dinosaures La découverte que viennent de faire des paléontologuespaléontologues anglais et australiens bat quelque peu en brèche les conceptions que l'on avait des dinosaures carnivores. Bien que les dinosauresdinosaures eux-mêmes aient été retrouvés sur tous les continents, il semblait clair que certaines espècesespèces étaient localisées géographiquement. Or, l'année dernière, les chercheurs du Natural History Museum en Angleterre, du Museum Victoria en Australie et leurs collègues des Universités de Cambridge et Monash ont annoncé avoir bel et bien découvert ce qui semble être un Tyrannosauridé en Australie.

Une : "Un nouveau fossile éclaire l'origine des serpents. Des doutes sur des traces de vie datant de 3,8 milliards d'années. Une photographie d'un affleurement de roches métamorphiques à Porpoise Cove, de la ceinture supracrustale du Nuvvuagittuq (Canada). Certaines de ces roches ont un rapport Sm/Nd indiquant un âge de plus de 4,0 Ga. Elles feraient donc partie, peut-être, des plus anciennes roches sur Terre. © Nasa Astrobiology Institute Des doutes sur des traces de vie datant de 3,8 milliards d'années - 2 Photos Plus on s’enfonce dans le temps, plus le livre des archives géologiques de Terre devient difficile à déchiffrer et il semble même probable que pas un seul fragment des premières pages racontant le début de la vie de notre planète ne nous sera jamais donné. La situation semble identique pour ce qui est de la biosphère elle-même. Les couches sédimentaires d'Isua (3.850 millions d'années) au Groenland. Malheureusement, les travaux aujourd’hui publiés par une équipe de chercheurs dans Nature Geoscience laissent maintenant planer un doute sérieux.

A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Cette araignée a 49 millions d’années. Un oeil aussi perçant qu’un dinosaure. Ça ne correspond pas trop à ce qu’on voit dans les films, mais il semble que certains dinosaures aient pu être des animaux nocturnes. Et la clef réside dans un tout petit os retrouvé sur certains de leurs fossiles. Cliquer sur la photo pour agrandir Ça s’appelle l’anneau sclérotique : un minuscule os qui a la forme d’un anneau, et qu’on trouve dans l’œil de plusieurs animaux.

Les mammifères, comme nous, n’en ont pas, mais on a constaté que, chez les oiseaux, la taille et la forme de cet anneau déterminent la différence entre les oiseaux diurnes et nocturnes. Or, on a trouvé de tels anneaux sclérotiques sur certains fossiles de dinosaures. Pour l’instant, les mesures de la taille et de la forme de l’anneau que portait le vélociraptor tendent à croire qu’il vivait, en tout ou en partie, la nuit. Tu as aimé ce billet?

En bref : des restes de protéines de mosasaures du Crétacé ? Une reconstitution possible d'un mosasaure de l'espèce Prognathodon waiparensis. © Wikipédia-Dmitry Bogdanov En bref : des restes de protéines de mosasaures du Crétacé ? - 2 Photos Ce n’est pas la première fois que l’on annonce avoir identifié des restes de collagène dans des os datant de plusieurs dizaines de millions d’années. des paléontologues avaient par exemple analysé de tels tissus appartenant à un T-rex. Aujourd’hui, c’est dans un humérus de mosasaure ayant vécu dans un milieu marin datant du Crétacé, il y a 70 millions d’années, que des chercheurs de l’Université de Lund en Suède annoncent avoir trouvé des traces de cette protéine. Ils ont pour cela utilisé le synchrotron du Max-Lab pour une microspectroscopie infrarouge à partir d’un os appartenant à un individu faisant partie d’un genre connu sous le nom de prognathodon et comportant plusieurs espèces.

A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Des traces de morsures sur une mâchoire d’ichthyosaure. De rarissimes traces de morsures ont été retrouvées sur une mâchoire d’ichthyosaure vieille de 120 millions d’années. L'animal marin, qui n’était pas un dinosaure , a semble-t-il survécu à un combat avec un autre membre de son espèce , si l’on en juge par les caractéristiques des morsures . Il y a environ 120 millions d’années, l’Australie ne s’était pas encore séparée de l’ Antarctique et les deux continents faisaient partie du Gondwana , un supercontinent .

Du fait de la dérive des continents , les roches de l’actuelle Australie étaient bien plus proches du pôle Sud et les restes fossilisés d’ichthyosaures que l’on a retrouvé dans le désert, pas très loin de la ville de Marree, appartenaient à un animal nageant dans un océan polaire. Les ichthyosaures de l’époque étaient des reptiles marins qui, pour des raisons de convergences évolutives liées aux lois de l’hydrodynamique, avaient une forme de dauphin.

On pouvait penser qu’il s’agissait des traces d’un combat avec un prédateur. Vivre et mourir ensemble il y a 64 millions d'années-Mozilla Firefox. Il est très difficile d'avoir des informations sur le mode de vie et le comportement social des mammifères fossiles. Pourtant, des fouilles entreprises depuis plusieurs années dans les Andes centrales en Bolivie par une équipe regroupant des chercheurs du Muséum (Salle d'exposition du Muséum Provincial (1908) à Toronto (Ontario, Canada) Mangattan Museum (2001) à Ishinomaki (Japon), consacré aux oeuvres de Shōtarō Ishinomori ...) national d'Histoire naturelle (La démarche d'observation et de description systématique de la nature commence dès l'Antiquité avec Théophraste, Antigonios...), du CNRS (Le Centre national de la recherche scientifique, plus connu sous son sigle CNRS, est le plus grand organisme de recherche scientifique public français (EPST).) et du Museo de Historia natural Alcide d'Orbigny de Cochabamba ont permis d'exhumer plusieurs dizaines de crânes et squelettes de petits mammifères provenant du site de Tiupampa en Bolivie.

Une préservation exceptionnelle. En bref : des restes de protéines de mosasaures du Crétacé ? Des chercheurs suédois annoncent avoir identifié des restes de collagène de type I dans un fossile de mosasaure datant du Crétacé. Ces reptiles marins, qui n’étaient pas des dinosaures, sont des cousins des varans actuels. Ce n'est pas la première fois que l'on annonce avoir identifié des restes de collagènecollagène dans des os datant de plusieurs dizaines de millions d'années. des paléontologuespaléontologues avaient par exemple analysé de tels tissus appartenant à un T-rex.

Aujourd'hui, c'est dans un humérushumérus de mosasauremosasaure ayant vécu dans un milieu marin datant du Crétacé, il y a 70 millions d'années, que des chercheurs de l'Université de Lund en Suède annoncent avoir trouvé des traces de cette protéineprotéine. Ils ont pour cela utilisé le synchrotron du Max-Lab pour une microspectroscopie infrarougeinfrarouge à partir d'un os appartenant à un individu faisant partie d'un genre connu sous le nom de prognathodon et comportant plusieurs espècesespèces.

Des insectes à 3 paires d'ailes-Mozilla Firefox. Au cours des 250 millions d'années d'évolution des insectes, jamais on n'avait vu apparaître de nouvelles ailes. Des transformations, oui. Des pertes, oui. Mais pas d'ajout. Une équipe de l'Institut de biologie du développement de Marseille-Luminy (CNRS/Université Aix-Marseille 2) vient de briser ce dogme en apportant les preuves que le casque exubérant des membracides, un groupe d'insectes (Insectes est une revue francophone d'écologie et d'entomologie destinée à un large public d'amateurs et de naturalistes.

Produite par l'Office pour les insectes et leur environnement...) cousin des cigales, est en fait une troisième paire (On dit qu'un ensemble E est une paire lorsqu'il est formé de deux éléments distincts a et b, et il s'écrit alors :) d'ailes profondément modifiée. Les membracides (1) sont un groupe d'insectes cousin des cigales, dont les espèces rivalisent d'originalité dans leurs formes, leurs textures et leurs couleurs. Notes: La plus grande araignée fossile jamais découverte !-Mozilla Firefox. Nephila jurassica est le plus gros fossile d'araignée jamais découvert. © Biology Letters La plus grande araignée fossile jamais découverte !

- 4 Photos Le plus grand fossile d’araignée vient d’être découvert au village Daohugou en Chine par des scientifiques chinois, américains et anglais. Cet individu appartient aux « golden silk orb-weaver » (tisseuses de toiles circulaires à soie dorée), araignées réputées aujourd’hui encore pour leurs étonnantes et impressionnantes toiles couleur or, suffisamment grandes et solides pour attraper de petits oiseaux et des chauves-souris. L’araignée a été retrouvée dans de la roche volcanique, prise au piège dans une situation délicate comme le suggère son ventre dirigé vers le haut, ses pattes gauches sur la droite du fossile.

Les poils se distinguent très bien sur cet individu fossilisé. © Biology Letters Les poils (ou setae ou trichobothries) sont très visibles au niveau des tibia de l'araignée fossilisée. © Biology Letters A voir aussi sur Internet. L’ancêtre des dinosaures géants avait la taille d’un chien-Mozilla Firefox. Leonerasaurus taquetrensis n'était pas bien grand mais son ossature ressemble déjà à celles des sauropodes géants qui apparaîtront des millions d'années plus tard. © MEF L’ancêtre des dinosaures géants avait la taille d’un chien - 2 Photos À lire, notre dossier sur le message des dinosaures Au sud de l’Argentine, en Patagonie, les paléontologues ont, comme en Chine, un paradis à leur mesure : depuis des années, ils en exhument une impressionnante série de fossiles de dinosaures de différentes époques. On a ainsi vu défiler Mapusaurus roseas, chasseur en meute, Austroraptor cabazai, redoutable carnivore dromaeosauridé, Panphagia protos, un sauropode omnivore, et bien d’autres.

L’exploitation de ces trésors n’est pas terminée… Dans la province de Chubut, une équipe de paléontologues du MEF (Museo Paleontológico Egidio Feruglio, le musée paléontologique de Trelew) a mis au jour les restes d’un dinosaure quadrupède d’allure modeste, d’environ 3 mètres de longueur. A voir aussi sur Internet. Le dinosaure aux dents de lapin-Mozilla Firefox. Un dinosaure dont les dents frontales sont longues et de travers a été découvert sur un site paléontologique du Nouveau-Mexique. © Jeffrey Martz Le dinosaure aux dents de lapin - 3 Photos Ne ratez pas notre galerie photo sur les dinosaures ! Une nouvelle espèce de dinosaure vient d’être découverte par des scientifiques américains de la Smithsonian Institution, grâce à des restes fossilisés d’os de crâne et de vertèbres cervicales. Cet individu appartiendrait également à un tout nouveau genre, selon les observations publiées dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Cette découverte est particulièrement intéressante, car elle permet de combler un vide phylogénétique entre les dinosaures prédateurs les plus anciens et les plus récents.

C’est aux États-Unis, et plus précisément sur le site paléontologique de Ghost-Ranch au Nouveau-Mexique, que les os fossilisés ont été exhumés. Des dents de lapin et de gros yeux Le lien entre les prédateurs primitifs et les théropodes Sur le même sujet. Comment les dinos faisaient-ils l'amour ? Avec précaution ! La reproduction chez les dinosaures est un problème de taille. © DR Comment les dinos faisaient-ils l'amour ? Avec précaution !

- 2 Photos La reproduction des dinosaures est une question scientifique des plus sérieuses, qui passionne les scientifiques. Le problème est épineux. Pourtant, il a bien fallu que les dinosaures se reproduisent avec succès pour dominer la Terre pendant autant de millions d'années. Comment les stégosaures, par exemple, arrivaient à avoir des rapports sexuels sans s'entretuer ? Les paléontologues pensent que la majorité des dinosaures n'avaient pas de pénis à proprement parler mais plutôt, comme la plupart des oiseaux et des reptiles modernes, une unique cavité, le cloaque, au triple emploi : copulation, défection et miction. Comment le stégosaure faisait-il pour se reproduire ? Halshead a étudié la possibilité de l'existence d'un sexe chez les dinosaures. Stuart O. La question de la reproduction n'a pas fini de déchaîner les passions.

A voir aussi sur Internet. Oxygène : mémoire de la vie des dinosaures. En image : des dinos en os... et en os ! Les dinosaures hantaient aussi la nuit - Archéo & paléo. Les dinosaures ont donné leur odorat aux oiseaux. Retrouver de l'ADN de dinosaure : mode d'emploi. Les dinosaures : l'essentiel en quelques mots. Les dinosaures d'Angeac : une mine d'or pour les paléontologues ! L'argile est-elle à l'origine de la chiralité du vivant ? Un fossile de Baluchithère géant au Pakistan ! Présentation d'un nouveau dinosaure, découvert dans le nord du Chili - Science & Environnement - SCIENCES ET TECHNOLOGIES - - Les Echos.fr. Coup de froid au temps des dinosaures. Découverte : les dinosaures vivaient sous un climat similaire à aujourd'hui.

Brontomerus, un nouveau dino du tonnerre. Les plus vieilles bactéries du monde… n’en seraient pas. Un nouveau dinosaure découvert - Archéo & paléo. Eclairage sur l'origine des arthropodes - Archéo & paléo. Un nouveau dinosaure découvert - Archéo & paléo. Les secrets des serpents bipèdes percés grâce aux rayons X. Archéologie : "Les ptérosaures plus proches des reptiles que des oiseaux. Les rayons X révèlent l'anatomie et la structure interne des membres d'un serpent à pattes fossile. A la recherche des pattes perdues du serpent - Archéo & paléo. Océanosaures 3D, vidéo scientifique - Web TV universcience.tv. Le T-rex aurait bien été un chasseur. La première datation directe d'os de dinosaure.

Le tyrannosaure était bien un prédateur, pas un vulgaire charognard - Science & Environnement - HISTOIRE - SCIENCES ET TECHNOLOGIES - - Les Echos.fr. La griffe d'un dinosaure - Fondamental. La griffe d'un dinosaure - Fondamental. Comment déterminer le sexe d'un ptérosaure ?

Pérou: découverte d'un calamar fossilisé de 85 millions d'années - Science & Environnement - HISTOIRE - - Les Echos.fr. Un mammouth cloné naîtra-t-il avant 2018 ? Des scientifiques souhaitent donner la vie à un mammouth grâce au clonage. Eodromaeus, petit prédateur de l'aube des dinosaures. A l'aube des dinosaures - Nature & environnement. A l'aube des dino - Nature & environnement. La nourriture des ammonites révélée par les rayons X. Les ammonites se seraient nourries de plancton - Archéo & paléo. Les ammonites se seraient nourries de plancton. Les scorpions de mer géants étaient peut-être végétariens.

Des gènes vieux de 3 milliards d’années. La plupart des dinosaures qu'on pensait carnivores étaient végétariens - Planète. Les dinosaures. Un vent porteur de vie et préservant la mort - Archéo & paléo. A l'origine des mammifères géants - Archéo & paléo. La disparition des dinosaures a fait grandir les mammifères.

L'évolution des mammifères géants. Disparition des dinosaures : l'enquête continue !