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Chiffres clés du marché des vins et spiritieux en France - FEVS. Marchés des vins en France 62 000 exploitations 650 entreprises coopératives ha de vignes au 31 juillet 2019 (en moyenne quinquennale 2013-2018)

Chiffres clés du marché des vins et spiritieux en France - FEVS

Le marché du vin en 2019 : une filière sous haute tension. Du 13 au 16 mai 2019, se tiendra à Bordeaux le salon Vinexpo, rendez-vous international et incontournable des professionnels de la filière vins et spiritueux.

Le marché du vin en 2019 : une filière sous haute tension

L’occasion de faire un point sur l’activité du secteur avec nos experts Euler Hermes. Eve Guibert-Boutron, arbitre à la direction des engagements d’Euler Hermes, est en charge du secteur du vin. Nous l’avons interrogée sur les grandes tendances du secteur aujourd’hui. Quelles sont les grandes tendances que vous constatez dans le secteur du vin cette année ? L’année 2018 est une année record pour tous les producteurs de vin dans le monde.

Vin et tendance : Consommation de vin en France. Saviez-vous que le vin est le 2ème poste d’exportation de la France derrière l’aéronautique et devant les parfums et les cosmétiques?

Vin et tendance : Consommation de vin en France

Selon les historiens, en France, on buvait déjà du vin plus de cinq cent ans avant notre ère. Ce sont les moines, les empereurs et la Révolution qui ont façonné l’industrie vinicole. Si les méthodes de fabrication du vin se sont vues modifiées par l’émergence de concurrents, les habitudes d’achat et de consommation de vin ont, elles aussi, évolué.

Des vins de meilleure qualité D’après le Baromètre Gallo 2016, les français ont tendance à boire de moins en moins de vin, mais de meilleure qualité. Made in France vs Les Vins du Monde Les français sont des fervents défenseurs de leur vignoble et du « made in France » ; 36% consomment uniquement du vin national. Une boisson plus conviviale. L'avenir de la viticulture française : entre tradition et défi du Nouveau Monde. B) Des modes de consommation qui évoluent En France, comme dans l'ensemble des pays producteurs européens, la consommation de vin diminue de manière continue depuis le début des années 1960.

L'avenir de la viticulture française : entre tradition et défi du Nouveau Monde

Cette évolution s'explique, en partie, par la modification des habitudes de consommation. (1) La diminution de la consommation de vin En France, la consommation individuelle a baissé en moyenne de 1,8 litres par an et par habitant depuis 1960, passant de 130 à 55 litres par an et par habitant. Cette diminution globale recouvre à la fois : - une augmentation du nombre de non-consommateurs, dont la part dans la population de plus de 14 ans est passée de 19,2 % en 1980 à 32,8 % en 2000. Il convient toutefois de relever que la proportion d'abstinents s'est stabilisée depuis 1990, la non-consommation ne progressant plus. Le vin en quelques chiffres clés. Production et chiffre d'affaires Si le vin est autant présent dans l’univers représentatif de la France, c’est notamment en raison de l’étendue des surfaces de vigne sur le territoire, qui représente 750 000 hectares, ce qui serait l’équivalent de plus d’un million de stades de rugby.

Le vin en quelques chiffres clés

Synonyme « d’or rouge » pour certains, le ratio entre valeur et volumes de production est assez significatif : la viticulture représente 15% de la production agricole en valeur pour seulement 3% des surfaces agricoles françaises. Commercialisation et export Les vins français sont composés à 47% par des Appellations d’Origine Contrôlée (AOC), à 28% par des Indications Géographiques Protégées (IGP), à 8% par des Vins sans indication géographique et enfin 17% des volumes sont destinés aux alcools de bouche.

La France est le 1er pays exportateur de vin au monde en valeur. En valeur, les Etats-Unis sont le premier débouché des vins français dans le monde en 2017, suivis par le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Chine. La filière viticole doit s'adapter aux nouveaux modes de consommation. La "fin de l'hyper-consommation", les "inquiétudes face à l'insécurité alimentaire" et la "volonté de consommer plus responsable" constituent autant d'évolutions en faveur d'une "croissance soutenue des vins bio", selon une étude du Comité national des interprofessions des vins à appellation d'origine et indication géographique (Cniv), basée sur les panels de consommateurs Kantar.

La filière viticole doit s'adapter aux nouveaux modes de consommation

Le nombre d'acheteurs de vin tranquille (sans bulles) bio a été multiplié par trois depuis 2011. En 2018, les achats de vin bio s'élevaient à 4,9 bouteilles par an en moyenne par foyer, pour un budget de 22 euros. "L'écologie a rejoint la santé comme préoccupation prioritaire des Français", constate Jean-Marie Barillère, président du Cniv. Pour s'inscrire dans cette tendance, des distributeurs ont lancé des initiatives comme le retour de la consigne dans 46 magasins du caviste Nicolas, en région parisienne, ou l'apparition du "vrac liquide" dans plusieurs enseignes.

(Avec AFP) La génération Y et le vin, le nouveau partage entre pairs - Etude Crédoc.

Lu