background preloader

Formes et genres de l'argumentation

Facebook Twitter

Les Essais de Montaigne. Candide, Voltaire. Marivaux, L'ïle des Esclaves. Le Roman de Renart. Les lettres Persanes. L'Etranger d'Albert Camus. Orwell, 1984.                 LA FERME DES ANIMAUX. L'Assommoir, Zola. La Leçon, Ionesco. Diderot, Le Neveu de Rameau. L'ingénu de Voltaire. Argumentation 1984. Fables, La Fontaine. Les Pensées, Blaise Pascal.

Le meilleur des mondes agumentation

L’école des femmes. Les genres argumentatifs. Les formes de l'argumentation - Première Français. La liste des genres au travers desquels peut se déployer l'argumentation montre que celle-ci n'est pas réservée aux essais abstraits, aux traités théoriques, ou aux articles. L'argumentation a toujours été liée à la littérature, et en particulier à la fiction. En effet, pour transmettre une idée, pour convaincre et persuader, le style est un auxiliaire extrêmement efficace : la force d'un argument est d'autant plus grande qu'il est exprimé de manière séduisante. Ainsi, on comprend l'intérêt que ceux qui cherchent à étayer une thèse portent à la qualité littéraire de leurs textes.

Les Essais de Montaigne, les Pensées de Pascal, les Salons de Diderot, les préfaces de Hugo, etc. sont encore lus aujourd'hui, non seulement en raison des idées et réflexions qu'ils contiennent, mais aussi parce que la force et la beauté de leur écriture nous touchent. C'est proprement un charme : il rend l'âme attentive, Ou plutôt il la tient captive. Les formes de l'argumentation aux XVIIe et XVIIIe siècles - Cours Français. Raisonnement argumentatif. Les modes de raisonnement Un raisonnement est une suite de propositions vraies ou fausses, liées les unes aux autres et aboutissant à une conclusion. Il existe plusieurs types de raisonnement. Le raisonnement déductif Le raisonnement déductif va du général au particulier. Il tire les conséquences d'une loi, d'un principe, d'une règle générale et les applique à un cas particulier. le général : les hommes ont toujours cru remédier à l'ignorance des choses en inventant des mots auxquels ils ne purent attacher un vrai sens. (...)

D'Holbach, Système de la nature, 1770 Le raisonnement inductif Le raisonnement inductif va du particulier au général. Le raisonnement causal Le raisonnement causal s'appuie sur les causes d'un fait, d'une situation, d'un phénomène pour en tirer des conséquences. La conséquence : l’homme est sociable ... D'Holbach, De la politique naturelle, 1772 Le raisonnement analogique Quesnay, article «Grains», Encyclopédie, 1769 Le raisonnement par opposition.

EXERCICES INTERACTIFS. Pendant un très long temps, l'idée ne pouvait même venir à l'homme qu'il eût à user de ménagements envers la nature, tant celle-ci lui apparaissait hors de proportion avec les effets qu'il était capable d'exercer sur elle. depuis quelques décennies, la situation se retourne. Par suite de la prolifération effrénée des êtres humains, par suite de l'extension des besoins qu'entraîne cette surpopulation, par suite de l'essor des techniques, l'homme est en passe de devenir pour la géante nature un adversaire qui n'est rien moins que négligeable. l'homme s'avise que, dans son propre intérêt, il lui faut surveiller sa conduite envers la nature et souvent protéger celle-ci contre lui-même. Types d'arguments. Les types d'arguments Pour convaincre un interlocuteur que l'opinion qu'il exprime est bonne, c’est-à-dire que sa thèse est juste, l’argumentateur développe une argumentation il présente des justifications, des preuves.

Il choisit un type d'argument. Argument par la cause Il s'appuie sur la ou les causes d'un phénomène. Parmi les causes possibles, l'argumentateur sélectionne celles qui s'accordent avec sa thèse. Thèse défendue : TOINETTE — Voilà un bras que je me ferais couper tout à l'heure si j'étais de vous. ARGAN — Et pourquoi ? Deux arguments par la cause : TOINETTE — Ne voyez-vous pas qu'il tire à soi toute la nourriture, et qu'il empêche ce côté-là de profiter ?

Molière, Le Malade imaginaire, 1673 Argument par la conséquence Il s'appuie sur les effets d'un phénomène pour en montrer les avantages ou les inconvénients. L'auteur envisage un fait et ses conséquences : Saint-Lambert, article « Luxe » de l'Encyclopédie, 1751 Argument par la comparaison mot de l'analogie : Mise en parallèle : ETUDES DU TEXTE ARGUMENTATIF. Il est rare qu'à l'examen une question invite à analyser la valeur de tous les pronoms.

Mais prenez l'habitude de vous y intéresser, tant il est vrai que les questions "qui parle ? À qui ? " sont essentielles devant un texte argumentatif. Aucune des questions de compréhension ne doit être traitée comme un pur et simple relevé. Il vous faudra éviter par-dessus tout le balayage linéaire des indices et opérer un classement méthodique qu'il faudra rédiger soigneusement (pas de tableau !).

Prenez l'habitude de faire un petit bilan de votre étude de la situation de communication. Parfois les questions y invitent. La fonction référentielle : le langage transporte des informations documentaires (faits, lieux, dates) avec une relative objectivité. Retrouvez ces fonctions à l'œuvre dans le texte de Fontenelle. Candide surinam. La Boétie, Discours de la servitude volontaire, analyse d'extraits. Etienne de la Boétie, 1530 – 1563 Présentation l L’auteur Etienne de La Boétie naît à Sarlat dans le Périgord en 1530.

Il a 18 ans lorsqu’il rédige le Discours de la servitude volontaire, qui deviendra son œuvre la plus connue. Issu d’un milieu aisé et cultivé il est attiré, à l’instar de nombreux jeunes nobles et bourgeois de son temps, par l’étude des civilisations grecque et romaine, auxquelles d’ailleurs il fait très souvent référence dans son ouvrage. L’œuvre Rédigé en 1549 et publié en 1576, le Discours de la servitude volontaire prend le contrepied de l’œuvre de Machiavel Le Prince, écrite en 1513 et dédiée à Laurent de Médicis, seigneur de Florence. Voici ce qu’en dit Montaigne dans le chapitre XXVIII des Essais : « C’est un discours auquel il donna le nom de La Servitude volontaire, mais ceux qui l’ont ignoré l’ont bien proprement depuis rebaptisé Le Contre’un. A noter. Au centre, la maison de l’auteur. Les points abordés 1) L’habitude ou la coutume 2) La manipulation du puissant ]l ll.