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Observatoire Alma : une construction épique dans le désert. Installé sur le plateau de Chajnantor, au Chili, à plus de 5.000 mètres d'altitude, l'observatoire Alma scrute le ciel avec ses dizaines d'antennes. Au total, 25 d’entre elles ont été construites par Thales Alenia Space. © Rémy Decourt Observatoire Alma : une construction épique dans le désert - 3 Photos En décembre 2005, Thales Alenia Space (TAS) remporte le contrat de la construction de 25 des 66 antennes de l’observatoire Alma (Eso, NRAO et NAOJ). La tâche qui l’attend est tout sauf simple. Il est alors question d’antennes hautes de 15 mètres, de 100 tonnes et de 12 mètres de diamètre à installer à 5.050 mètres d’altitude sur le plateau de Chajnantor, dans le désert d’Atacama, près de la ville chilienne de San Pedro de Atacama.

Comme nous l’explique Vincenzo Giorgio, le responsable chez Thales Alenia Space du projet piloté depuis Turin, en Italie, « la principale difficulté a été l’industrialisation du projet ». Le défi de l’altitude Bonnes performances en pointage et en tracking. #wakeuprosetta -- Once upon a time... Une imprimante 3D bientôt à bord de l’ISS. L’imprimante 3D fabriquée par Made in Space sera envoyée vers la Station spatiale internationale à l’automne prochain. Elle servira à fabriquer des pièces et des outils en polymère. © Made in Space Une imprimante 3D bientôt à bord de l’ISS - 2 Photos La boîte à gants étanche de la Station spatiale internationale (ISS), qui sert aux expériences scientifiques en confinement, est restée hors service pendant six mois parce que l’équipage ne disposait pas de l’outil d’extraction nécessaire pour la réparer. Il a fallu attendre qu’une mission de ravitaillement apporte ladite pièce en plastique qui aurait pu être fabriquée immédiatement si une imprimante 3D avait été présente à bord.

Cela devrait bientôt être possible. À l’automne prochain, un lanceur SpaceX-5 décollera à destination de l’ISS avec à son bord la première imprimante 3D de l'espace, dont les astronautes pourront se servir pour fabriquer des pièces de rechange et des outils. Futur pilier de la conquête spatiale Sur le même sujet. Eric Villard: Le futur de l'astronomie. ASTRONOMIE - Le télescope ALMA, qui vient juste d'être inauguré au Chili, est particulièrement impressionnant.

ALMA signifie Atacama Large Millimeter/submillimeter Array, et plus poétiquement "esprit" en espagnol Il est le fruit de la volonté de trois régions -l'Europe, l'Amérique du Nord et le Japon- de collaborer afin de construire un télescope capable d'observer encore plus loin que ce qu'il est possible de faire actuellement. Pas seulement un peu plus loin, mais beaucoup plus loin.

Lorsqu'il sera entièrement fini, l'observatoire ALMA comportera 66 antennes, toutes interconnectées de telle sorte qu'elles contribuent à former un seul et gigantesque télescope. Fin 2011, cependant, il a commencé les toutes premières observations scientifiques, et avec seulement 16 antennes, même pas le tiers de la capacité finale, ALMA a détecté les composants d'une galaxie située à 12.4 milliards d'année-lumière, soit un peu plus d'un milliard d'années après le big bang.

ALMA, c'est aussi un défi humain. Rhéa sur les anneaux. Les Rencontres du Ciel et de l'Espace 2012 (with images, tweets) · D_FOSSE. Revivez l’incroyable histoire de notre planète en 1 minute 30. Difficile d’arriver à réduire en moins de deux minutes toute l’histoire de notre belle planète bleue, lorsqu’on sait qu’elle s’étale sur plus de 4,54 milliards d’années. C’est pourtant ce que vous pourrez découvrir sans plus attendre sur DGS. Un peu plus d’une minute pour raconter en image l’incroyable histoire de notre planète Terre. Soit un micro grain de sable comparé aux 13,7 milliards d’années qui nous séparent du Big Bang.

Dans cette fabuleuse vidéo réalisée à l’aide de plusieurs images de documentaires et de films, vous allez voyager dans le temps à une vitesse colossale. Comment trouvez-vous cette vidéo ? Une partie de paintball spatial pour dévier un astéroïde ! Apophis est un géocroiseur, c'est-à-dire que sa trajectoire autour du Soleil l'amène fréquemment à croiser celle de la Terre. À ce titre il est potentiellement dangereux, du fait que la moindre perturbation gravitationnelle pourrait l'amener sur une trajectoire de collision avec la Terre. © Esa Une partie de paintball spatial pour dévier un astéroïde ! - 1 Photo Tout savoir sur les astéroïdes avec notre dossier complet Si l’on se fie à Jean-Pierre Luminet, directeur de recherches au CNRS et astrophysicien à l'Observatoire de Paris, la Terre pourrait être en 2029 et 2036 la cible de l’astéroïde Apophis, découvert en 2004. Si pour ses deux prochains survols le risque de collision peut être écarté, en 2029 il passera tout de même à environ 42.000 km de notre planète, il n’est pas exclu qu’à l’avenir il emprunte une trajectoire de collision.

En retour, les scientifiques ont proposé une large variété de méthodes. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet.