background preloader

News

Facebook Twitter

Sciences : Garçons, filles : pourquoi sont-ils si différents ? De la taille du cerveau à la bosse des maths en passant par le choix des jouets, le livre d'une scientifique américaine revisite le vieux débat sur l'inné et l'acquis à la lumière des dernières avancées de la neurobiologie. Ou comment quelques différences à la naissance deviennent de grands écarts. On sait depuis vingt ans que «les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus», pour reprendre le titre d'un célèbre best-seller américain (1).

Mais sait-on seulement ce qui les rend si différents? Le cerveau est-il programmé à la naissance pour que les hommes ne pleurent pas, soient bons en sciences et aiment se battre? Et pour que les femmes expriment leurs sentiments, maîtrisent leur agressivité ou soient nulles aux échecs? Au passage, Lise Eliot bat en brèche certaines théories farfelues, notamment celle affirmant en 1982 que le «corps calleux» du cerveau serait plus développé chez les femmes que chez les hommes. Stéréotypes » INTERVIEW - L'étude du cerveau doit être un enjeu national. Sciences : Stéphane Clerget : «Il faut sauver les garçons !» Éduqués par des femmes, à la maison comme à l'école, les petits garçons décrochent. Auteur de Nos enfants aussi ont un sexe. Comment devient-on fille ou garçon?

(1), le pédopsychiatre Stéphane Clerget affirme qu'il faut impérativement réintroduire les hommes à l'Education nationale et généraliser la garde alternée en cas de divorce. LE FIGARO MAGAZINE: Le débat sur les différences entre les garçons et les filles a-t-il toujours été aussi vif? Stéphane Clerget -On s'est toujours passionné pour les différences entre les garçons et les filles. Lesquels, par exemple? Jusqu'au XXe siècle, on pensait que les garçons étaient meilleurs à l'école parce que, en gros, leur cerveau étaient plus volumineux. Aujourd'hui, ce sont plutôt les garçons qui échouent à l'école. Parce que l'école n'est plus adaptée aux garçons. Pourtant, certains préjugés ont la vie dure.

Cette idée persiste, car ces métiers-là ont longtemps été destinés aux hommes. Pour quelles raisons? Quel est le rapport? YOU DON'T SAY: WORDS "FACEBOOK" AND "TWITTER" ARE BANNED FROM FRENCH AIRWAVES. The French are notorious for their obsession with maddening, micro-meddling rules and regulations. Anglo-Saxons who live in France, as I do, constantly struggle with the puzzling paradox in a society universally admired for its splendid “joie de vivre” — yet infamous for its oppressive bureaucratic culture of legalistic codes and decrees.

The term “French bureaucracy” is shorthand for the worst imaginable Kafkaesque nightmare. In France you cannot put up awnings in your own home without first obtaining permission from some government department, which will officiously stipulate what colours are allowed. One could easily draw up a list of French micro-regulations that, to the Anglo-Saxon disposition, seem utterly absurd, if not totally objectionable. The latest one doubtless would rank high on that list. Thus, a French news anchor such as David Pujadas (in photo at right) is not allowed to say to viewers: “For more information on this breaking story, follow us on Twitter”. ClicBox - Les sujets chauds des 15 derières heures. Vive algarade entre Sarkozy et Cameron sur l'euro. "Vous avez perdu une belle occasion de vous taire". C'est ce que Nicolas Sarkozy aurait dit au Premier ministre britannique David Cameron à l'occasion du sommet européen sur la dette. le président français aurait dit qu'il "en avait assez de l'entendre dire ce que nous avons à faire", selon la presse britannique.

"Vous dites détester l'euro, vous n'avez pas voulu le rejoindre et maintenant vous voulez vous ingérer dans nos réunions", aurait dit le président français à David Cameron, selon le Daily Telegraph et The Guardian, citant des sources diplomatiques. Des décisions sur l'euro qui affectent les autres économies La grogne est montée dimanche parmi les dix Etats de l'UE non membres de la zone euro, Grande-Bretagne en tête, qui se plaignent de la volonté croissante des Etats utilisant la monnaie commune de prendre des décisions sans les consulter. "Il est dans l'intérêt de la Grande-Bretagne que les pays de la zone euro règlent leurs problèmes. Avec.