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Humanités digitales

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Martin Grandjean » Digital humanities, Data visualization, Network analysis » Communications. Humanités numériques: Les humanités numériques sont une des tendances fortes du moment.

humanités numériques:

Il reste qu’elles constituent encore un territoire parfois obscur qui ressemble nettement à une forme d’auberge espagnole puisque chacun semble pouvoir y projeter ses propres désirs voire ses propres fantasmes scientifiques. Je ne pense pas y faire exception moi-même. Parfois, je me demande si ce terme ne correspond pas à un prolongement de l’effet web 2.0 mais dans la recherche. Cette dernière reprenant toutefois le contrôle en étant à nouveau le public prioritaire dans la recherche et le traitement de l’information.

L’intégration des fonctionnalités sociales du web 2.0 s’avérant intéressantes mais insuffisantes, les humanités numériques refondent les intérêts pour de nouvelles formes de données peu exploitées ou sous-exploitées jusque-là. « Autant dans l’étude des productions culturelles que dans les propos sur la diffusion du savoir, la technologie tend à obnubiler les commentateurs. Un blog sur les Humanités Digitales. Digital Humanities Pedagogy: Practices, Principles and Politics. 4.

Digital Humanities Pedagogy: Practices, Principles and Politics

Digital Humanities and the First-Year Writing Course Olin Bjork Stanley Fish’s contention, in Save the World on Your Own Time, that “composition courses should teach grammar and rhetoric and nothing else” because “content is always the enemy of writing instruction” was provocation enough for a 2009 Modern Language Association (MLA) convention session on the relation between composition and the humanities.1 The first two panelists, John Schilb and Arabella Lyon, argued that, pace Fish, composition courses should not focus on writing itself, but rather on humanistic topics like political theory or philosophy.2 They agreed with Fish, however, that a first-year writing course—required at most American colleges and universities for students who do not “place out” through certain standardized tests—afforded little or no time to teach students to analyze the objects of digital culture, much less to use new media technologies.

Log In. The question I posed at the conclusion of my last post was how do the technologies wielded by digital humanities practitioners either facilitate the work of the humanities, as it has been traditionally understood, or bring about an entirely new conception of what work in the humanities can and should be?

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I’m going to sneak up on that question by offering a piece of conventional (i.e., non-digital) literary analysis that deals, as the digital humanities do, with matters of statistical frequency and pattern. Halfway through “Areopagitica” (1644), his celebration of freedom of publication, John Milton observes that the Presbyterian ministers who once complained of being censored by Episcopalian bishops have now become censors themselves. Indeed, he declares, when it comes to exercising a “tyranny over learning,” there is no difference between the two: “Bishops and Presbyters are the same to us both name and thing.” The answer is, proceed randomly or on a whim, and see what turns up. Manifeste des Digital humanities – THATCamp Paris.

Contexte Nous, acteurs ou observateurs des digital humanities (humanités numériques) nous sommes réunis à Paris lors du THATCamp des 18 et 19 mai 2010.

Manifeste des Digital humanities – THATCamp Paris

Au cours de ces deux journées, nous avons discuté, échangé, réfléchi ensemble à ce que sont les digital humanities et tenté d’imaginer et d’inventer ce qu’elles pourraient devenir. À l’issue de ces deux jours qui ne sont qu’une étape, nous proposons aux communautés de recherche et à tous ceux qui participent à la création, à l’édition, à la valorisation ou à la conservation des savoirs un manifeste des digital humanities. I. Définition 1. 2. 3. II. 4. . – que se sont multipliées les expérimentations dans le domaine du numérique en Sciences humaines et sociales depuis un demi-siècle. . – que le numérique induit une présence plus forte des contraintes techniques et donc économiques dans la recherche ; que cette contrainte est une opportunité pour faire évoluer le travail collectif ;

Manifeste pour des humanités numériques 2.0. Revue Revue d'anthropologie des connaissances 2014/4. Revue Les Cahiers du numérique 2015/1. Les technologies numériques n’ont pas seulement fait évoluer les modes de diffusion des savoirs, elles ont aussi redéfini les contours de ceux-ci : les traces de la science en train de se faire (les carnets de recherche, les agendas d’événements) tout autant que les corpus et les données de la recherche font l’objet d’initiatives de diffusion et deviennent ainsi publiques et accessibles à tous.

Revue Les Cahiers du numérique 2015/1

S’y ajoute l’édition des sources en sciences humaines et sociales que se partagent institutions scientifiques et patrimoniales faisant place tant à l’édition critique classique qu’aux commentaires des internautes et aux pratiques de crowdsourcing. Les savoirs constitués (évalués par les pairs) et publiés ne sont plus les seuls objets de diffusion et donc d’archivage.L’archivage numérique des savoirs s’interroge sur les conséquences de la mise en ligne des savoirs. Page 9 à 14 Introduction - L’archivage numérique des savoirs Perspectives européennes Page 15 à 40. Revue Les Cahiers du numérique 2014/4. Revue Critique 2015/8. Humanités numériques. Lectures.