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1STMG, Apple

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Steve Wozniak. Steve Wozniak en 2018. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Le nom sur son certificat de naissance est « Stephan Gary Wozniak », mais sa mère a dit qu'elle voulait inscrire « Stephen », prénom que Wozniak utilise[1]. Il a précisé que son nom de famille était d'origine polonaise et ukrainienne[2] et a parlé de son ascendance polonaise[3]. Il a confirmé que dans sa jeunesse il regardait la série Star Trek et assistait aux conventions de Star Trek, qui ont été pour lui des sources d'inspiration pour ses débuts chez Apple Inc.[5]. Chez Apple[modifier | modifier le code] En février 1973, Wozniak est embauché par Hewlett-Packard dans le département des produits avancés qui produit des calculatrices, où il est rapidement rejoint par Bill Fernandez. Apple I de Steve Wozniak et Steve Jobs. Dans son autobiographie iWoz, il rapporte que c'est Steve Jobs qui eut l’idée de vendre un ordinateur sous la forme d'un circuit imprimé pré-assemblé.

Jeffrey S. Pourquoi le logo d’Apple est-il une pomme croquée ? Le logo est une pomme car c’est le nom de la marque en anglais. Mais pourquoi la pomme est-elle croquée ? On ne peut pas connaître Apple, qui est devenu cette semaine l’entreprise la plus profitable de tous les temps. Devant les compagnies de pétrole, les mines, les aciéries, et même la nourriture (industrielle évidemment). Il y a plusieurs réponses dans la question. D’abord, le logo est une pomme car c’est le nom de la marque, en anglais.

C'est un hommage à un grand mathématicien de la Seconde Guerre mondiale Mais pourquoi la pomme est-elle croquée? En fondant Apple, Jobs et Wozniak lui rendirent cet hommage. Le samedi 31 janvier 2015 Au passage, savez-vous pourquoi les ordinateurs portables Apple ont ils été baptisés "MacIntoch" (plutôt que s’appeler poétiquement D630 ou H-50-NF comme leurs concurrents) ? Jusqu’à preuve du contraire... Short Bio. This website uses cookies to support itself with revenues from advertising. Learn more Got it! Short Biography of Steve Jobs The story of Steve Jobs from cradle to grave - and beyond.

Youth Steven Paul Jobs was born on February 24, 1955 in San Francisco, California. The Santa Clara county, south of the Bay Area, became known as Silicon Valley in the early 1950s after the sprouting of myriads of semi-conductor companies in the area. Paul Jobs and his young son Steve, age 2, 1957 Five years later, when Steve Jobs reached college age, he told his parents he wanted to enroll in Reed College — an expensive liberal arts college up in Oregon. A few months later, Steve returned to California to look for a job. Apple's origins Woz, whose interest in electronics had grown stronger, was regularly attending meetings of a group of early computer hobbyists called the Homebrew Computer Club. Steve Jobs and Steve Wozniak with an Apple I, 1976 Apple II Forever Lisa & Xerox PARC Macintosh Leaving Apple Pixar.

Dans la guerre des brevets, Apple subit un revers majeur. "Une humiliation". Florian Mueller ne mâche pas ses mots pour qualifier le nouveau revers judiciaire subi vendredi 26 février par Apple. Saisie par Samsung, une Cour d'appel américaine a annulé la condamnation du groupe sud-coréen à verser 120 millions de dollars (110 millions d'euros) à la société à la pomme pour violation de brevets.

“L’issue de cette procédure ne pouvait pas être pire pour Apple", poursuit ce spécialiste des questions de propriété intellectuelle. Non seulement les juges de la Cour d’appel ont cassé le verdict énoncé en mai 2014 par un jury populaire à San Jose (Californie). Cette nouvelle déconvenue illustre les difficultés récentes rencontrées par Apple dans sa bataille judiciaire contre Samsung. Depuis, les appels et procédures se sont multipliées. Les juges de la Cour suprême décideront dans les prochaines semaines s'ils acceptent de se saisir du dossier.

En février 2012, Apple avait lancé une deuxième offensive. Photo: Mike Lau. Quand Donald Trump veut révolutionner Apple. Rédigé le 3 mars 2016 par Simone Wapler | Article, Indices, marchés actions, stratégies, Simone Wapler Je m’amuse beaucoup avec Donald Trump. Son discours nous change de celui des PhD, les énarques version américaine. Je me fiche éperdument de qui les Américains éliront pour mal gérer leur pays ; Donald est mon candidat comique préféré.

J’ai bien aimé son histoire de fabriquer les iPhones aux Etats-Unis. « Nous allons amener Apple à construire leurs maudits ordinateurs et machins dans ce pays plutôt que dans les autres pays ». L’économie selon Donald est simple et il a des idées simples pour que tout aille mieux. Presque tout le monde possède ou a envie de posséder un appareil Apple, même si personne ne vous oblige à en acheter un. Les Etats-Unis ont un énorme déficit commercial, ils exportent moins que ce qu’ils importent et ils noient le monde sous leurs dollars. En France, on n’a pas de pétrole — on a des intellectuels aussi dangereux que Donald, mais moins rigolos. Mots clé : Trump. Apple a remporté une première bataille face au FBI. Tim Cook peut se frotter les mains. Apple vient effectivement de remporter une première bataille face au FBI, grâce à un juge fédéral de Brooklyn.

Le bureau peut trembler, la célèbre marque a toutes les chances de parvenir à ses fins car la décision de ce juge créé un véritable précédent et elle pourrait même peser lourd dans la balance. Apple et le FBI se sont engagés dans un véritable bras de fer depuis quelques semaines. Le bureau américain souhaite effectivement que la firme déverrouille l’iPhone du tueur de San Bernardino mais cette dernière refuse de lui obéir. L’iPhone, le futur meilleur ami des tueurs et des dealers ? Enfin, la situation est un peu plus compliquée en réalité. Apple et le FBI ne s’entendent pas spécialement bien en ce moment Syed Rizwan Farook, le tireur, a protégé son iPhone 5c par un mort de passe et toutes les données stockées dessus sont donc chiffrées.

Apple veut protéger la confidentialité de ses clients Et devinez quoi ? Le FBI se demande si un ingénieur Apple kidnappé pourrait être forcé à coder - Politique. Et si un ingénieur d'Apple était enlevé et contraint de créer un backdoor ? C'est le scénario très improbable évoqué par le patron du FBI, lors d'une audition tout à fait singulière.

C’est incontestablement l’affaire judiciaire du moment dans le domaine des nouvelles technologies. Face aux demandes répétées du FBI, Apple devra-t-il céder sur le terrain des défense des libertés fondamentales et livrer aux autorités les outils qui permettront aux forces de l’ordre de faire sauter le verrou mis en place sur un iPhone 5C, celui de l’auteur de la tuerie de San Bernardino ? Cette problématique a trouvé un écho lors des primaires aux États-Unis, notamment dans le camp des Républicains. Comme le pointe Slate, le chef de la police fédérale a multiplié les inexactitudes et affiché son incapacité à répondre à certaines questions. Mais ce n’est pas le seul aspect étonnant qui est ressorti de l’audition de James Comey. Lire La CIA s'est attaquée à la sécurité offerte par Apple.

L'Assemblée charge violemment Apple et Google, mais vote contre les sanctions - Politique. Au terme d'un long débat dans lequel Google et Apple ont été conspués, autant que les défenseurs des libertés publiques, l'Assemblée nationale a repoussé jeudi matin les amendements au projet de loi pénale qui devaient contraindre les entreprises à coopérer avec la justice pour donner accès à des données qu'elles n'ont pas en leur possession. Jeudi matin, les députés ont examiné les amendements anti-chiffrement présentés par les députés Éric Ciotti (LR) et Yann Galut (PS), dans le cadre de la loi de réforme pénale contre le crime organisé. C’était à qui des deux sortirait l’expression la plus violente, pour condamner les décisions prises par Apple et par Google de permettre à leurs clients de chiffrer le contenu de leur smartphone avec une clé dont ils ne gardent aucun double. « Il faut être dissuasif face à ces géants, ou alors ils ne nous considérons même pas.

Ils ont un mépri absolu contre les démocraties », a-t-il finalement lâché. M. Lire. Apple vs FBI : un bras de fer éthique... et économique. Sans jamais débattre directement, le directeur du FBI James Comey et le principal conseiller juridique d'Apple Bruce Sewell ont été entendus mardi 1er mars par le Congrès américain. Au menu de cette audition, qui a duré près de cinq heures : "Le chiffrement sur la corde raide : trouver un équilibre entre sécurité et respect de la vie privée". Protéger à tout prix la sécurité des Américains contre la menace terroriste, c'est la position qu'a défendue James Comey, malmené par certains élus de la Chambre des représentants. Protéger la vie privée de ses clients au nom "des libertés civiles qui sont le fondement de notre pays", c'est le principe mis en avant par Apple, sous les flashs des photographes.

La bataille du chiffrement, tout à la fois juridique, morale et économique, ne fait que commencer. Bras de fer Le FBI dénonce le business du chiffrement Ce cas "San Bernardino" cristallise les tensions, mais en réalité Apple et les autorités américaines sont à couteaux tirés depuis des mois. Apple vs. FBI : si vous avez raté le début... FANTASME. Du chiffrage de données, du terrorisme, une loi du 18e siècle, du "Cloud" (stockage de données sur serveurs distants), un téléphone ultra-sécurisé... C'est une vraie machine à fantasmes, ce conflit qui oppose depuis mi-février 2016 Apple d'un côté et le FBI et le Département américain de la Justice de l'autre... Le tout sur fond de grand débat sur la protection-de-la-vie-privée-en-danger. Et l'affaire est désormais portée devant le Congrès.

En quoi est-ce une histoire de terrorisme ? Début décembre 2015, un couple tue quatorze personnes et en blesse une vingtaine d'autres dans un centre médical de San Bernardino, en Californie, aux Etats-Unis. Pourquoi le FBI ne parvient-il pas à avoir accès aux données du smartphone sans faire appel à Apple ? Le smartphone de Syed Rizwan Farook récupéré par le FBI est un iPhone 5c, un modèle sorti en septembre 2015.

Quels sont ces niveaux de sécurisation ? Est-ce uniquement un problème de code PIN ? Non. Alors, que demande le FBI à Apple ? Le conflit entre Apple et le FBI arrive au Parlement français. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Florian Reynaud Le débat sur le chiffrement et l’accès de la justice aux données protégées n’avait pour l’instant pas eu de grand retentissement en France, alors qu’il déchaîne les passions aux Etats-Unis et oppose violemment Apple et les autorités fédérales américaines. Jeudi, il s’est pourtant invité à l’Assemblée nationale à l’occasion de la discussion du projet de loi renforçant la lutte contre le crime organisé, le terrorisme, et leur financement.

Si les amendements présentés pour forcer les géants du Net à collaborer davantage avec la justice, le débat aura été l’occasion pour chacun de faire valoir ses arguments. « Nos services sont sourds pour déjouer les attentats », s’est ainsi plaint le député Les Républicains Pierre Lellouche, alors que son collègue Eric Ciotti (LR) met en garde contre la création par les géants du Net de « zones de non-droit ». « Nous ne sommes pas aveugles, nuance le ministre de la justice Jean-Jacques Urvoas. Apple conteste devant les tribunaux les demandes du FBI.

Tim Cook, le PDG d’Apple, avait annoncé que l’entreprise contesterait l’ordonnance judiciaire lui imposant de créer un logiciel de déverrouillement de ses téléphones : c’est désormais chose faite. Les avocats d’Apple ont déposé, jeudi 25 février, une demande d’annulation de la demande prononcée par un juge le 16 février, suite à une requête en ce sens du FBI. Le Bureau américain a en sa possession un téléphone chiffré appartenant à l’un des deux terroristes ayant commis la tuerie de San Bernardino, survenue en décembre 2015. Mais ce téléphone, dont le contenu est chiffré, est protégé par un mot de passe, et par un système additionnel qui effacera son contenu au bout de dix tentatives erronées. La police fédérale amréricaine a donc demandé – et obtenu – d’un tribunal qu’il impose à Apple la conception d’un outil qui lui permettrait de contourner cette limite de dix tentatives. Lire aussi : Pour le patron d’Apple, le FBI réclame « l’équivalent du cancer »

Tim Cook : "Apple reste le centre de l'innovation" 01net. le 13/02/13 à 08h42 S’exprimant mardi 12 février 2013, dans le cadre d’une conférence organisée, à San Francisco, par la banque d’affaires Goldman Sachs, Tim Cook a coupé court aux espoirs des investisseurs qui lui réclament depuis des semaines de dévoiler ce qu’Apple compte faire de ses 137 milliards de dollars de trésorerie. « C’est un privilège incroyable d’être dans une situation où nous pouvons considérer une rémunération supplémentaire pour nos actionnaires. L’équipe dirigeante et le Conseil sont engagés dans d’intenses discussions », s’est-il contenté d’indiquer, entraînant immédiatement un repli marqué de l’action sur le Nasdaq. La pression sur Apple s’est accentuée la semaine dernière après le dépôt d’une plainte de l’un de ses actionnaires, le fonds Greenlight Capital.

. « Nous allons étudier cette proposition”, a expliqué Tim Cook avant de la descendre en flèche: “Honnêtement, il s’agit d’une distraction stupide (...). Vers un écran plus grand pour l'iPhone ? APPLE : l'iPhone 6 et l'Apple Watch déchaînent les médias. (AOF) - Apple devrait rester au centre des préoccupations des investisseurs alors que le groupe a présenté hier soir l'iPhone 6 qui existe en deux versions, l'une disposant d'un écran de 4,7 pouces et l'autre de 5,5 pouces. Le premier, l'iPhone 6, sera vendu aux Etats-Unis à partir de 199 dollars avec un abonnement de deux ans et le second, l'iPhone 6 Plus, à partir de 299 dollars avec abonnement.

Ils pourront être commandés à partir du vendredi 12 septembre et commenceront à être livrés le 19 septembre. La firme de Cupertino a aussi présenté sa montre connectée Apple Watch, qui coûtera au minimum 349 dollars et sera disponible début 2015. Tous ces équipements sont équipés d'un service de paiement "Apple Pay" sécurisé, qui fonctionnera grâce à la technologie NFC. Constructeurs informatiques Les ventes de PC devraient poursuivre leur déclin, et reculer de 6,5% cette année puis de 5% en 2015, selon l'institut Gartner. Electronique. Apple a dominé le marché des tablettes en 2013. 01net le 05/02/14 à 17h45 Apple mène encore la danse sur le marché des tablettes.

Plus de 227 millions de tablettes ont été vendues dans le monde en 2013, un volume en hausse de 33 % par rapport à l’année précédente selon les derniers chiffres publiés par le cabinet Strategy Analytics. Apple a fini l’année en tête avec 33 % du marché, suivi par Samsung qui est passé de 12 % du marché en 2012 à 18 %. Les analystes de ce cabinet américain se sont plus particulièrement penchés sur les chiffres du quatrième trimestre et ont établi un classement des tablettes vendues fabricant par fabricant. Samsung, qui occupe la deuxième place du classement, reste loin derrière Apple avec 17,7 % de parts de marché.

Ces chiffres viennent confirmer l’analyse effectuée en octobre dernier par un autre cabinet, IDC. Résultats financiers : Apple fait mieux qu’attendu, grâce à l’iPhone. Apple : de l’innovation au luxe. Tous les secrets de la stratégie draconienne d'Apple pour contrôler son image auprès des médias. TPE Apple - réussite commerciale. Apple Progress Report 2015 fr. Travailler chez Apple. Etude. Informations légales. Entreprise Apple Incorporated : Chiffre d'affaires et résultats de l'action Apple. Avec News, Apple se positionne dans la bataille de l'information sur mobile. Salaires Apple Store : le témoignage d’un salarié. Economie - Apple store, l'envers du décor. Les employés d'Apple avouent les pires côtés de leur travail. Travail de nuit dans les Apple Store : une lettre ouverte du CIDRE.

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