Les recteurs menacent de boycotter le Sommet sur l'enseignement. C'est du moins ce qu'a indiqué Denis Brière, recteur de l'Université Laval, en entrevue à RDI mercredi avant-midi.
M. Brière n'était toutefois pas disponible pour répondre à nos questions par la suite. Tableaux blancs interactifs: Québec suspend le programme. Le premier ministre libéral a lancé le projet en 2011, à la surprise générale, dans le discours d'ouverture d'une nouvelle session parlementaire.
Plus de 40 000 tableaux numériques devaient être achetés en cinq ans pour remplacer les tableaux noirs. La facture est estimée à 240 millions de dollars. Autre gouvernement, autre vision. Les écoles numériques. La lutte contre l'intimidation s'étend dans les écoles. Des établissements de Montréal s'ajouteront notamment aux quatre écoles de Québec, L'Ancienne-Lorette, Saint-Sulpice et Grand-Mère qui, l'an dernier, ont été les premières à affecter une personne-ressource à cette problématique pendant au moins une journée par semaine.
La francisation des enfants de la guerre. Dans la classe d'accueil de Nicolas Martin, dans l'ouest de Montréal, les élèves arrivent au rythme des guerres qui secouent la planète.
Les enfants en provenance de la Syrie et de différents pays d'Afrique sont nombreux, ces jours-ci. La persévérance des parents... Sauf qu'ici, ce sont des adultes de l'Amérique du Sud, de l'Afrique ou du Moyen-Orient qui reviennent sur les bancs d'école pour apprendre le français.
Yudy Herrera est arrivée de Colombie il y a six ans. Son mari a trouvé un emploi. Ses deux plus vieux vont à l'école, son plus jeune est à la garderie. Elle peut maintenant se consacrer à apprendre le français. «Je me sens un peu comme un petit enfant qui est à la maternelle et qui doit tout apprendre», confie celle qui était coiffeuse dans son pays d'origine. Les adultes doivent faire preuve de persévérance. La formation en alphabétisation dure ensuite deux ans. Le CRIF vient aussi de mettre sur pied un programme pour aider les immigrants à s'intégrer au marché du travail, avec un cours d'informatique de base et des stages en entreprise. Enseigner à ces adultes représente un défi pour les professeurs de francisation.
La cyberintimidation au coeur des préoccupations de Jeunesse, J'écoute. Association québécoise des enseignantes et des enseignants du primaire. Carrefour éducation. Déjà l’automne!
Une nouvelle année scolaire a débuté, avec son lot de défis et ses promesses de réussite. Que vous choisissiez d’utiliser davantage le TNI/TBI, d’expérimenter un projet avec Twitter, d’entreprendre un échange avec une classe d’ailleurs ou simplement d’utiliser plus régulièrement les technologies avec vos élèves, Carrefour éducation sera là pour vous. Avec plus de 73000 ressources sélectionnées, dont 58 000 images, ses guides thématiques pour des événements de l’année ou des thématiques à exploiter, ses dossiers sur des sujets de l’heure, vous trouverez ce que vous cherchez.
Vous recherchez du matériel multimédia à utiliser en toute légalité, pour créer pour et avec vos élèves? Les TIC à l’école : faut-il s’inquiéter? Dix ans après la mise en oeuvre du Plan d’intervention sur l’utilisation des NTIC à l’école, on note un essoufflement de Québec dans le dossier de l’intégration des TIC à l’enseignement primaire et secondaire.
La connaissance des technologies de l’information et des communications (TIC) est un incontournable aujourd’hui sur le marché du travail. Rares sont les emplois qui ne demandent pas des habilités en informatique, si minimes soient-elles. Dans ce contexte, quel niveau de compétence ont les finissants du secondaire au Québec avec les outils de bureautique, de communication et de recherche d’informations de base? Et quel rôle joue l’école dans l’acquisition de ces compétences ? Qu’en est-il de l’intégration des TIC à l’enseignement primaire et secondaire au Québec, dix ans après la mise en oeuvre, par le gouvernement du Québec, du Plan d’intervention sur l’utilisation des NTIC à l’école ? Les technologies de l’information à l’honneur à l’école primaire Marie-Renouard - Éducation - Journal Beauport Express, membre du groupe Québec Hebdo. «Plongés dans l’univers du cinéma depuis le début de l’année scolaire, les apprentis cinéastes se sont familiarisés avec tout le processus de création d’un film en apprivoisant le scénarimage, les plans de caméra, la structure d’un dialogue, le montage vidéo et la conception graphique d’une affiche.
Tour à tour, les élèves sont devenus producteurs, caméramans, comédiens, graphistes et d’excellents monteurs vidéo», souligne avec enthousiasme leur enseignant Marc-André Perron. «Outre la découverte de ces notions et du logiciel Movie Maker, ils ont pu mettre à profit toutes les connaissances acquises avec Word, PowerPoint, Publisher, Audacity et Photofiltre, lors de leurs deux dernières années de formation au sein de la concentration. Un projet très enrichissant «Ce projet fut laborieux, mais fort enrichissant. Peut-être que chez certains, ce contact privilégié avec le cinéma et les divers métiers s’y rattachant les inspirera pour le futur. L'enseignement primaire et secondaire en chiffres. iPad en classe: un réseau assez puissant? Avec le nombre croissant de jeunes qui possèdent un iPhone ou un iPod, certaines écoles connaissent déjà des difficultés avec leur système internet sans fil, qui ne suffit pas à la tâche.
Qu'arrivera-t-il si des dizaines d'élèves travaillent sur une tablette numérique en même temps? Les défis technologiques posés par l'utilisation de ces outils en classe suscitent des questions encore non résolues. Les infrastructures ne sont pas suffisantes. Qui payera la note? «Est-ce que les commissions scolaires et les écoles privées auront les fonds?» La capacité des systèmes actuels est un obstacle soulevé par la Commission scolaire de Montréal (CSDM) qui, au terme d'une réflexion de quelques mois, a choisi de ne pas prendre le virage des tablettes numériques. La CSDM cite une étude produite en octobre dernier qui démontre que les antennes des tablettes numériques, particulièrement celles de l'iPad, n'ont que 30% de la puissance des antennes des ordinateurs portables.
Les iPad en classe: obstacles à l'horizon. Nunavik: des francophones privés d'école. Le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport verse pourtant une allocation à la Commission scolaire Kativik, au Nunavik, afin d'offrir un service de tutorat aux élèves francophones.
Selon les parents concernés, cette subvention s'élève à 14 500$ par enfant annuellement. La Commission scolaire Kativik a toutefois revu sa formule au cours de la dernière année. Auparavant, les enfants fréquentaient l'école du village le matin et bénéficiaient du tutorat l'après-midi. Désormais, les parents doivent faire un choix. L'enfant peut d'abord fréquenter l'école à temps plein et travailler avec un tuteur le soir et le samedi, à raison de cinq heures par semaines au primaire.
«Le tutorat que propose la commission scolaire n'est pas suffisant pour l'apprentissage des enfants», déplore Mylène Larivière, mère de deux enfants de 1re et de 4e année, qui vit au Nunavik depuis 11 ans.