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Agriculture

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Common pesticides linked to antibiotic resistance. Antibiotics and herbicides, as it turns out, don’t mix. At least that’s the conclusion of a study published today in mBio, the peer-reviewed journal of the American Society for Microbiology, which found that if someone is exposed to both herbicides and antibiotics at the same time, higher doses of antibiotics will likely be needed to kill the offending bacteria. It’s the first study of the effect of herbicides on antibiotics, and its findings could have implications for antibiotics resistance. The growing risk of disease from antibiotic-resistant pathogens is a huge public health concern, one that was recently prioritized by both the World Health Organization and the US Centers for Disease Control. According to Jack Heinemann, the study’s lead author, policy makers and researchers should look at multiple factors, not just over-use of antibiotics, in fighting antibiotics resistance. In addition, as more genetically modified crops are planted, use of herbicides is expected to increase.

Loi d'avenir agricole : un pas "important" pour les semences paysannes. La loi d'avenir agricole favorise l'échange de semences entre agriculteurs membres de GIEE et exclut les brevets en cas de contamination accidentelle. Le Réseau Semences Paysannes salue le texte mais appelle à plus de reconnaissance juridique. Un pas "important" a été franchi selon Guy Kastler, délégué général du Réseau Semences Paysannes concernant la loi d'avenir agricole, entérinée le 11 septembre par le Parlement, qui donne la possibilité aux agriculteurs d'échanger et d'utiliser leurs propres semences ou plants. "Malheureusement, ce droit reste encore soumis à l'agrément des groupements d'intérêt économique et environnemental (GIEE)", a-t-il toutefois déploré le 15 septembre au Sénat, lors d'une journée organisée par l'association Graines de Noé dédiée à la biodiversité agricole.

En avril dernier, les sénateurs se sont opposés à l'échange de graines dans le cadre de "l'entraide entre agriculteurs". Les brevets sur le vivant limités L'Europe en pleine réflexion ? Selon M. NATUREPARIF. OGM : Le professeur Séralini joue la transparence scientifique face à Monsanto. Deux ans après la vive polémique suscitée par son étude sur les OGM, le professeur Gilles-Éric Séralini en publie une seconde version ce 24 juin. Cette nouvelle publication, qui porte sur les effets à long terme du pesticide Roundup et du maïs transgénique NK603, sera diffusée dans la revue Environmental Sciences Europe, du groupe de presse allemand Springer. Cette fois, les chercheurs mettent en ligne les données brutes de l’étude, en accès libre pour l’ensemble de la communauté scientifique. Pour l’équipe de Gilles-Éric Séralini, ce second travail confirme que le pesticide Roundup, produit par la société Monsanto, « provoque à des niveaux environnementaux faibles des déficiences hépato-rénales sévères et des perturbations hormonales comme des tumeurs mammaires ».

En septembre 2012, la publication de ces travaux a fait l’effet d’une bombe. Protocole controversé Pourtant, très rapidement, le protocole expérimental est remis en cause. Appel à la transparence. Pesticides et cancers, le test interdit. Le biologiste Robert Bellé a mis au point un test capable de détecter les molécules cancérigènes dans les pesticides. Les pouvoirs publics lui ont répondu par un pesant silence. Cet article a été initialement publié dans l’hebdomadaire Témoignage Chrétien Fin de week-end dans le Nord-Finistère. Les derniers rayons du soleil lèchent ce paysage vallonné du bout du monde. Exceptionnellement, Robert Bellé n’a pas passé la journée enfermé dans son labo à étudier la complexe architecture des cellules. Il y a six ans, dans le cadre de recherches sur les effets de certains pesticides sur la reproduction des oursins, financées par la Région Bretagne, l’équipe de Roscoff découvre, un peu par hasard, le caractère cancérigène de l’herbicide Round-up (1).

Absence de financements À Roscoff, équipe et matériel sont prêts. . « Il n’y aura pas 36 solutions ! Nolwenn Weiler 1. Avec l'agroécologie, un village togolais sort de la fatalité et de la pauvreté. A l’initiative d’un couple Togolais, le Centre international de l’agro-pastoralisme forme la population à l’agroécologie, à la cuisine et à la transformation des produits. Ou comment sortir de la fatalité et de la pauvreté grâce à de nouvelles méthodes agricoles. Reportage dans le village de Baaga, au nord du pays, où les récoltes s’améliorent. Cet article a initialement été publié dans le dernier numéro du journal L’âge de faire. Des éclats de voix et des rires de femmes affairées résonnent à l’ombre du bâtiment agricole. Devant elles, des tas de grains de maïs jonchent les chapes de béton. Les apprenties vont dans les champs du Cidap une fois par semaine, dès le lever du jour, pour cultiver les céréales, l’igname, le manioc ou encore le piment.

Mais le centre est ouvert à tous. Certains apprentis ont le désir de créer leur propre entreprise. Pas d’agriculture sur brûlis « En changeant de modèle, on peut faire reculer la pauvreté », martèlent les responsables du site. La réforme du label bio européen fait débat. Transrural Initiatives. L'agriculture, principale source de la pollution aux particules fines en Ile-de-France ? Des chercheurs de l'observatoire atmosphérique Sirta ont analysé la pollution aux particules fines survenue entre le 7 et le 15 mars 2014 en Ile-de-France. Ces travaux du Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (CNRS – CEA – UVSQ), basé sur le plateau de Saclay (Essonne), ont permis d'affiner les connaissances relatives à l'origine de ces particules.

Le suivi réalisé par "la seule station française de surveillance de l'atmosphère capable de rendre compte en temps réel des niveaux de pollution ambiante et de la nature chimique des particules" indique que la principale source de pollution aux particules fines serait d'origine agricole. Ce résultat, obtenu grâce au site atmosphérique Sirta, situé à 20 km de Paris dans une zone d'activité agricole, corrobore l'analyse d'Airparif qui met en avant l'importance que peut prendre la pollution de proximité.

A Framework for Financing Water Resources Management. L’UE s'engage dans la lutte contre les pesticides en Afrique. Les producteurs de coton au Mali ont réduit leur utilisation de pesticides toxiques et les coûts grâce à un projet éducatif en partie financé par l'UE. Les Nations unies ont mis en place des « écoles pratiques d’agriculture » en vue de former les producteurs de coton à utiliser des substituts aux produits chimiques antiparasitaires, comme les biopesticides. Les chercheurs ont effectué l'étude d'impact des champs des écoles pratiques d'agriculture dans deux régions maliennes : Bla dans le Sud et Bougoni où le programme n'était pas encore opérationnel.

Seulement 34 % des producteurs de coton dans la région de Bla ont participé au programme. Or, cette méthode a permis de réduire de 92 % l’utilisation de pesticides toxiques dans cette région. L'utilisation de biopesticides, tel que l'extrait de neem, a permis de réduire l'utilisation de 47 000 litres de pesticides toxiques, soit une économie de près de 500 000 dollars (364 000 euros) au cours de la période de l'étude. CIAT - International Center for Tropical Agriculture. Les scénarios futurs. Environment and Natural Resouces Series No. 4. Why organic agriculture for food security? Modern agricultural methods have brought spectacular increases in productivity - more cereals and animals per hectare, more meat and milk per animal, more food output per person employed.

Given access to sufficient inputs, knowledge and skills, large amounts of food can be produced. But most farmers in developing countries are poor and marginalized from input and product markets, and some 790 million people still go hungry. Thus an important question centres on the extent to which farmers can improve domestic food production with cheap, low-cost, locally available technologies and inputs1. In contrast to modern systems, organic agriculture represents a deliberate attempt to make the best use of local natural resources. The important thing for most organic farmers is that it represents a system of agriculture rather than simply a set of technologies. These interconnections are important.

The issue of asset accumulation over time is important. Global Development of Organic Agriculture: Challenges and Prospects. Halberg, Niels; Alrøe, Hugo Fjelsted; Knudsen, Marie Trydeman and Kristensen, Erik Steen (Eds.) (2006) Global Development of Organic Agriculture: Challenges and Prospects. CABI Publishing, Wallingford, United Kingdom. Preface: Modern agriculture and food systems, including organic agriculture, are undergoing a technological and structural modernization and are faced with a growing globalization. Organic agriculture (OA) can be seen as pionering efforts to create sustainable development based on other principles than mainstream agriculture. There are however large differences between the challenges connected to, on the one hand, modern farming and consumption in high-income countries and, on the other hand, smallholder farmers and resource-poor consumers in low-income countries.

The point of departure is the increasing globalization and the production and trade of food and fodder and how this influences the role of OA. Repository Staff Only: item control page. "L'agriculture biologique peut nourrir le monde" L’agriculture biologique pourrait alimenter neuf milliards d’êtres humains et être plus productive que notre agriculture conventionnelle.

C’est l’idée iconoclaste défendue par Jacques Caplat. Il est agronome, ancien conseiller agricole, fils d’agriculteur et auteur d’un ouvrage intitulé L’Agriculture biologique pour nourrir l’humanité (Actes Sud). Il y démonte les idées reçues sur l’agriculture biologique et rappelle que notre agriculture occidentale contemporaine n’est pas le seul modèle possible.

Reporterre – Voici peu, nous révélions qu’un collectif de scientifiques conteste le grand rapport de l’INRA (Institution national de recherche agronomique) sur l’agriculture biologique. Qu’est-ce que cela vous inspire-t-il ? Jacques Caplat - Cette affaire témoigne du retard de l’INRA en matière de bio. L’INRA est une institution encore bloquée. Mais cela va encore plus loin. La direction de l’INRA dit investir dans la recherche sur l’agriculture bio. . . . - Culture de riz en Inde - Notes :