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L’homoparentalité dans les mains de la Cour européenne des droits de l’homme. C’est une histoire qui part de Clamart et pourrait connaître, après près de dix années, une forme de happy end à Strasbourg.

L’homoparentalité dans les mains de la Cour européenne des droits de l’homme

Demain, la Cour européenne des droits de l’homme dira si Anaïs (le prénom a été modifié), 12 ans, peut espérer être adoptée par la compagne de sa mère. Et donc avoir deux parents, comme n’importe quel enfant. Même s’il s’agit de deux femmes. Nathalie D., 50 ans, sa mère biologique, l’a mise au monde après une insémination avec donneur anonyme en Belgique ; Valérie G., 45 ans, est sa compagne. C’est ensemble qu’elles ont voulu cette enfant. Adoption homosexuelle : deux Françaises déboutées par la CEDH. Génocides : Sarkozy déposera un nouveau texte en cas de censure des "sages"