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Journalisme musical

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Revue & Corrigée. Yves Bigot. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bigot. Yves Bigot, né le à Limoges (Haute-Vienne), est un journaliste et producteur français. Biographie[modifier | modifier le code] Il grandit à Saint-Tropez, où ses parents se sont installés à sa naissance, à laquelle il consacre un livre[1]. En 1973, il devient assistant réalisateur à Europe no 1 à Paris, avant d'y devenir réalisateur, programmateur musical, animateur et journaliste. Entre 1985 et 1988, il est le suppléant de Marc Toesca au Top 50 de Canal+. Il est nommé directeur de la programmation musicale de France Inter en 1990, où il anime également des émissions comme "France Interview" et "Stop 50".

En juin 1992, Yves Bigot est nommé directeur général adjoint de Fnac Music Production, avant de rejoindre Phonogram France (devenu Mercury France) dont il assure la direction générale entre 1994 et 1997. En 1994, il devient père d'un petit Félix surnommé "Swaag Bigot". Portail de la télévision. Peter Guralnick. Peter Guralnick (born December 15, 1943, in Boston, Massachusetts) is an American music critic, writer on music, and historian of US American popular music, who is also active as an author and screenwriter. After Guralnick graduated from Boston University in 1971 with a master's degree in creative writing, he began writing books chronicling the history of blues, country, rock and roll and soul.

Larry Stark Press published Peter Guralnick's second book in 1967. A first edition is currently valued at $200. In contrast to contemporaries such as Lester Bangs, Ian Penman and Nick Tosches, whose music writings are marked by idiosyncratic, self-referential and highly personal styles, Guralnick's writing is characterized by a colloquial approach that is clean and understated by comparison. Personal life[edit] In 1971, he succeeded his grandfather as director of an athletic camp for boys, Camp Alton. Books[edit] Peter Guralnick (1964). Interviews[edit] References[edit] External links[edit] Le Blog de Start Up - Actualité musique, vidéo, culture... Photo via Retrospace. Start Up est un magazine mensuel gratuit consacré à l’actualité de la vidéo, du disque et du livre édité par le Groupe Express Roularta.

Il est disponible dans le réseau de disquaires indépendants Starter et chez certains libraires indépendants. Vous pouvez également lire le magazine en ligne et le télécharger. Motivé par l’envie de découvrir et de partager des choses vues, lues, entendues qui nous plaisent, ce blog est le complément du magazine papier : un peu de coulisses autour de la culture, musique, films et séries, livres, et parfois mêmes des adresses gourmandes.

Conception et rédaction du blog : Florence Rajon. Tous les textes publiés ici sont la propriété exclusive du Blog de Start Up. Les auteurs des photos sont crédités. Chuck Klosterman. Early life[edit] Klosterman was born in Breckenridge, Minnesota, the youngest of seven children of Florence and William Klosterman.[1] He is of German and Polish descent.[2] He grew up on a farm in nearby Wyndmere, North Dakota,[3] and was raised Roman Catholic. He graduated from Wyndmere High School in 1990 and from the University of North Dakota in 1994. [citation needed] Career[edit] After college, Klosterman was a journalist in Fargo, North Dakota and later an arts critic for the Akron Beacon Journal in Akron, Ohio, before moving to New York City in 2002.

In 2008, Klosterman spent the summer as the Picador Guest Professor for Literature at the University of Leipzig's Institute for American Studies in Leipzig, Germany. In 2009, Klosterman married journalist Melissa Maerz.[9] In 2011, Klosterman joined Grantland.com, a sports and pop culture web site, which was conceived and led by ESPN's Bill Simmons. Books[edit] Klosterman is the author of eight books and a set of cards: Non-fiction[edit]

Recrutement et offres d'emploi Qobuz. Qobuz est une filiale de LyraMediaGroup SA, société de distribution et production musicale active sur tout l'éventail des répertoires culturels, qui détient également la société Abeille Musique (distribution b2b physique et numérique de musique, production, distribution b2c sur abeillemusique.com). Qobuz.com est un site de musique en ligne : abonnement musique illimitée, téléchargement haute qualité, revue musicale en ligne. Son catalogue de plus de 15 millions de titres couvre tous les genres musicaux, inclut toutes les Majors et un grand nombre de labels indépendants. Il est le premier site au monde à offrir, sur un catalogue aussi large, le téléchargement (achat à l'acte) en vraie qualité CD avec la liberté de choix du format et même en Qualité Studio Masters (meilleure que le CD).

Et il est le seul au monde à proposer du streaming Lossless dans le cadre des services d'écoute de musique illimitée (abonnement Qobuz Hi-Fi). Le toujours jeune Benoît Sabatier. Vendredi 4 novembre 2011, par Emmanuel Lemieux Rédacteur en chef adjoint de Technikart, rock critique et essayiste, il est lui-même un cobaye de la culture jeune qu’il chronique depuis plus de 20 ans. Benoît Sabatier, Paris, le 13 octobre 2011. ©Olivier Roller pour lesinfluences.fr Avoir 20 ans dans l’Allier de 1990 : chasser l’ennui coûte que coûte, lire Rock&Folk comme une encre en perfusion, avec ses critiques à la Manœuvre, au Chalumeau ou à la Garnier, et collaborer à la locale de La Montagne à Moulins.

Vingt ans plus tard, retrouver un Rastignac tranquille, tout jeans, paquet de Winston dépiauté et bière d’octobre à la terrasse d’un café du onzième arrondissement parisien. La vie entre temps est passée comme un riff dandy de Taxi Girl. Dans sa nouvelle préface, il livre cet étrange sentiment de victoire défaite : « Dans les années 60 ou 70, peut-être Lady Gaga aurait-elle pu être affiliée à la Factory d’Andy Warholl. L’étrange victoire de la culture jeune Repères : www.technikart.com. His Name is Krautrock, Alain Finkielkrautrock. Je suis journaliste musical.

Dylanesque - Don'tLookBack - Cowblog. Du journalisme musical. Www.tsugi.fr - Accueil. À propos de The Drone. Inutile de s’étendre : aujourd’hui personne ne peut nier le bouleversement profond qu’a causé Internet dans tous nos modes de consommation. Ainsi, information, images et sons n’échappent pas à la règle. Formés à la télévision, au sein de la rédaction de Tracks (Arte), nous y avons appris le goût de l’innovation, et c’est ce qui nous a poussé à la quitter pour nous lancer dans l’aventure du Drone.

A notre sens, la révolution web a rendu l’idée du « rendez-vous télévisuel », qui fut longtemps la norme, parfaitement obsolète. Notre mission première : filmer et interviewer les artistes qui comptent ou vont compter. Mais elle n’est pas la seule. La musique, telle que nous la concevons, ne se nourrit pas que de concerts et de répétitions, mais bien du bouillonnement culturel mondial, dopé, remixé et reconnecté dans le creuset du web. Le Drone, c’est l’avion qui va où le regard ne porte pas encore. Clément Mathon & David Pais Les « droneurs » : ETIENNE MENU - Interview - Fake For Real. Pourrais-tu nous rappeler d'où tu viens, ce que tu as fait, ainsi que Jan ? Jan a fait les Beaux-Arts d'Orléans et qu’aujourd’hui il travaille en tant qu’illustrateur et graphiste, il a déjà pas mal exposé son travail dans des galeries, et les éditions Pyramyd lui ont consacré un petit livre dans la collection Design & Designers.

Moi, j'ai fait des études de philo, en m'intéressant toujours à la musique en parallèle. J’ai commencé à écrire vers 1996 dans la revue Octopus, puis j’ai fait des piges pour wsound.com et DJ Mix, avant de m’occuper d'Institubes et d’animer différentes émissions sur Radio Campus Paris. Lesquelles ? Il y avait Phat Corner (une longue histoire, je tiens à préciser que ce nom n’est pas de moi, c’est une création toulousaine au départ), et maintenant WRCP, qui existe sous différentes formes depuis 4 ans maintenant, avec les garçons de ce qui allait devenir Corporate Bloggin, puis aujourd’hui avec Red Hot Car et Zaltan.

Je ne suis pas branché BD. Non. Bien sûr. Voilà. La Team DumDum présente DumDum, magazine de musique en ligne. The project Let's go straight to the point : what is DumDum ? - First of all, DumDum is an online music magazine, trying to reconcile the excitment you get from music with the discernement of a good analysis, the emphasis on underground cultures throughout the world and words from artists, readers and those who work in the music industry. - We're also putting together a real music discovery platform, with weekly themed mixtapes curated by our staff and the most exciting people in the music world. - Last, but not least, the website will be customizable : you choose what's on. Get your favorite bands' news live, get an alert whenever they put a clip, a single or an album out there or when they're in town for a show. What do I get suscribing to DumDum ?

First and foremost, the subscription gives you access to 10 songs on a compilation. But why DumDum ? Why fund it? There are costs associated with running a successful online publication. L’entrée en rock. Entretien avec François Gorin. Deux exemples de presse musicale jeune en France, de 1966 à 1969 : Salut Les Copains et Rock & Folk. 1Entre 1966 et 1967 apparaissent en France de nouveaux symboles de la prédominance culturelle anglo-saxonne : les hippies, le port des cheveux longs, la mode « psychédélique », et de nouvelles musiques : le « British Blues Boom » (Mayall & the Bluesbreakers, Fleetwood Mac), la musique « psychédélique » (Kinks, Pink Floyd), et les débuts du rock « heavy » (The Who et Led Zeppelin) (Lemmonier, 1986). Dans cette fin des années soixante, le phénomène du conflit adultes / jeunes (Galland, 1985) tend à se rapprocher des mêmes bases que les conflits qui pouvaient exister au début de la décennie : un phénomène d’acculturation 1 des jeunes et un rejet de celle-ci par les moins jeunes, on sent encore se dresser une frontière invisible entre les « croulants », comme on les appelle, et ceux qui sont « hip », c’est-à-dire « dans le coup », les hippies qui sont encore appelés à l’époque « beatniks ».

Vers de nouvelles valeurs culturelles dans la presse musicale Les artistes anglo-saxons. Chronique single/EP : Alt-J - Matilda/Fitzpleasure. Il n'y a pas à dire, aussi nombreux soient les artistes affiliés à la scène alternative actuelle, les seuls quelques véritables innovateurs qu'elle comprend peuvent être comptés sur les doigts de la main. Alors que les têtes chercheuses de longue date que constituent Radiohead ou Massive Attack peinent de plus en plus à se renouveler, on eût cru depuis quelques mois entrevoir le début d'une véritable vague de renouveau dans le paysage musical actuel, notamment britannique.

Que ce soient Breton et son usage cinglant de samples et de beats hip-hop, la pop classieuse d'Outfit ou encore le songwriting à vif du jeune King Krule, quelques jeunes espoirs de la scène anglaise semblent vouloir fermer la trop longue parenthèse d'une mode revival qui s'était déclenchée à l'entrée dans le nouveau siècle et n'en finissait plus. Arnaud Rollet | Rédacteur en chef adjoint, Community Manager, Trax Magazine. Guesde*Catherine. Les rédacteurs de POPnews. Tohu Bohu | Réseau régional information ressource musiques actuelles. This is how to write about music! James Baldwin’s “Sonny’s Blues” « Deciphering Culture. After a minor medical emergency and a ridiculously busy week, I am back to my major endeavor for the month of March, rewriting the first chapter of my manuscript on Moroccan alternative music. It opens with a musical vignette that introduces the music, sets the scene and sets up the theoretical framework for the book.

It’s a tricky section to write: writing about music is always tricky. Attempting to capture a primarily aural experience in print is an exercise in capturing lightning in a bottle, especially if you are writing for an academic audience. Too often “serious” writing on music loses the immediacy of the musical experience in overly careful prose designed to maintain some misguided allegiance to accurate representation — misguided because losing the truth of an experience is a high price to pay for obsequious fealty to maintaining the real. Some the best writing on music is found in fiction and James Baldwin’s work abounds in striking descriptions of musical experience. Writing About Music is Like Dancing About Architecture.

Laurie Anderson? Steve Martin? Frank Zappa? Martin Mull? Elvis Costello? Thelonius Monk? Dear Quote Investigator: I have a difficult riddle for you. Writing about music is like dancing about architecture. Laurie Anderson, Steve Martin, Frank Zappa, Martin Mull, Elvis Costello, Thelonius Monk, Clara Schumann, Miles Davis, George Carlin and several other people have been credited with concocting this extraordinarily popular and enigmatic simile. Quote Investigator: With the help of some wonderful music librarians and an individual who left a comment on this blog post QI can report some revealing citations. All quick, very natural, and captured on vinyl. The second earliest cite was found by Mike Kuniavsky who presented a pointer to its location in a comment. So with Madore we have the classic situation: no limits, thus all limits, or to slightly alter the famous Martin Mull dictum: Writing about painting is like dancing about architecture. Writing about music is like ____ about ____.

How to write the perfect album review. More jokes, fewer triads . . . Guardian pop critic Alexis Petridis. Photograph: Andrew Hasson A few months back, the Daily Express took it upon themselves to review PJ Harvey's most recent album, Let England Shake. They must have noted that it had been hailed elsewhere as not merely a good album, a highlight of an already stellar career, but an important work that underlined the matchless power wielded by a unique artist uncoupled from musical trends, determined not to repeat herself, in an increasingly homogenous and repetitive rock and pop world.

Understandably, they clearly put their best man on the job, the better to unpick Harvey's dense mesh of musical influences and literary and historical allusions for the benefit of their immigration-fearing readership. "You might not be able to pick her out of a police lineup, but there's no lack of respect for PJ Harvey," he opened. "The album moves away from her usual style, but let's just say it's not our bag. 2/5.

" Over to you … A guide to writing about music, pt. 1: Reading. 52 Comments Trackbacks / Pings ArchivesEditor (contact)Doug MooreAssistant Editor (contact)Vanessa SalviaDeputy Editor (contact)Wyatt MarshallDirector of Promotions (contact)Kelly KetteringContent EditorScab CasserolePhoto EditorGreg Cristman Better Tag Cloud. IASPM - branche francophone d’Europe.

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