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Dépendance aux Smartphones

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Chelsea Audibert: The iLife. Life just went by, and I missed it because I was looking at my phone.

Chelsea Audibert: The iLife

The alarm sounds, and the arm reaches for the phone. Without even cracking so much as an eyelid, this routine is practically a matter of muscle memory. How else can we even think of beginning a new day without first checking the weather (through the app, that is), opening emails, and trolling Twitter? Then, if you are like me, you open a music app so that you may continue towards full consciousness with the early morning playlist, naturally. Soon I will text my friends to see if anyone is heading in the direction of the cafeteria because honestly, I am unprepared to make new friends so soon as breakfast. Technology is such an integral part of my generation's life. Admittedly, I am a recent smartphone convert. It takes a mindful effort and a hint of discipline to not reach for the phone each time a friend steps away from the table or while waiting outside for a class to start.

Internet, smartphones... les nouvelles technologies nous rendent-elles dingues? Peut-on, oui ou non, parler d’addiction aux technologies numériques ?

Internet, smartphones... les nouvelles technologies nous rendent-elles dingues?

La question a été posée jeudi 21 février lors d’une audition à l’Assemblée nationale (“Le risque numérique : en prendre conscience pour mieux le maîtriser ?”). Parmi les sujets abordés, le problème de l’addiction, et pour en débattre, deux experts : Marc Valleur, directeur de l’hôpital Marmottan, un centre de soin spécialisé dans les pratiques addictives, et Olivier Oullier, professeur de psychologie cognitive à l’université d’Aix-Marseille. D’emblée, ils ont tenu à rappeler une distinction fondamentale : il ne faut pas confondre simple dépendance et addiction clinique. “On est tous dépendants de plein de choses, explique le docteur Marc Valleur. Pour autant personne ne vient voir un psychiatre pour arrêter de regarder la télé. Si vous ne pouvez pas vous endormir loin de votre portable ou si vous checkez vos mentions sur Twitter toutes les dix minutes, rassurez-vous. L'addiction aux nouvelles technologies bientôt un problème de santé publique.

Une étude réalisée par l'Université de Cambridge (Royaume Uni) a démontré que plus d'un tiers des personnes se sentent "dépassées" par la technologie.

L'addiction aux nouvelles technologies bientôt un problème de santé publique

Les chercheurs établissent un lien entre ce sentiment et l'addiction aux smartphones. Si plus d'un tiers des personnes interrogées se sent "dépassé" par la technologie, le chiffre est encore plus élevé pour les enfants : 43%. A peu près autant de répondants ont indiqué tenter de limiter leur utilisation des médias sociaux. Pour les chercheurs, les parents comme les enfants, doivent trouver un moyen de limiter l'impact des nouvelles technologies sur leurs vies.

Un processus semblable à un régime. Et si les parents n'installent pas de barrières, des problèmes peuvent surgir, si aucune règle n'est établie (quand accéder à l'ordinateur, comment, pour combien de temps, etc.). Addicts aux nouvelles technologies, qui êtes-vous? Comment éviter l’addiction au Blackberry.

Pour ceux d'entre nous qui travaillent sur différents fuseaux horaires, il est essentiel de rester connecté en tout lieu et à toute heure.

Comment éviter l’addiction au Blackberry

Mais nous sommes de plus en plus nombreux à être en ligne alors que nous devrions être déconnectés. Les résultats de la dernière étude menée par Gartner ont révélé que le nombre de personnes dépendantes du « CrackBerry » devrait atteindre 73 millions d'ici la fin de l'année 2012. Je pense que c'est une manifestation moderne de l'effet Zeigarnik. La psychologue russe, qui a donné son nom à cette théorie, aurait remarqué que nous avons tendance à continuer de penser à des problèmes professionnels tant qu'ils ne sont pas résolus.