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Carnavals, fêtes, magie

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List of ghosts. From Wikipedia, the free encyclopedia Jump to navigationJump to search The following is a list of ghosts: Folklore[edit] Africa[edit] Egypt Nigeria South Africa Obambo Asia[edit] INDIA[edit] Nepal Pakistan Southeast Asia[edit] China Indonesia/Malaysia Japan Myanmar Philippines Thailand Vietnam Middle East[edit] Mesopotamia United Arab Emirates Europe[edit] European folklore France Graeco-Roman Malta Romania Iele, feminine mythical creaturesMoroi, a type of vampire or ghostMuma Pădurii, an ugly and mean old woman living in the forestStrigoi, troubled souls of the dead rising from the graveVântoase, female spirits of the windZmeu, a fantastic creature Scandinavia Slavic folklore Slovakia Countess Báthory allegedly haunts her former castle at Čachtice. Spain United Kingdom North America[edit] Canada Caribbean Duppy United States Other urban legends Mexico South America[edit] Oceania[edit] Australia New Zealand Polynesia Literature[edit] Popular culture[edit] King Boo, the leader of the Boos.

The ghosts at Hogwarts: See also[edit] Biblio cirque. La Jeune mère ou L'éducation du premier âge : journal illustré de l'enfance / rédacteur en chef le Dr Brochard,... | 1897 | Gallica. Aller au contenu. Confetti. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bataille de confettis en plâtre au Carnaval de Milan1884[1].

Les confettis sont des projectiles inoffensifs et festifs qu'on lance au moment de certaines fêtes et tout particulièrement durant le carnaval. On ignore où le confetti en papier fut précisément inventé. En revanche, il est certain que son lancement mondial eut lieu au Carnaval de Paris en décembre 1891[5]. On les utilisait jadis au carnaval en quantité bien plus importante qu'aujourd'hui. Les confettis en papier étaient couramment vendus au kilogramme. Histoire du confetti[modifier | modifier le code] Origine et orthographe du mot[modifier | modifier le code] Au Carnaval de Rome1857, on brandit des cornets de confettis au-dessus d'un Romain qui cherche à s'en abriter avec un parapluie[6].

Marchands ambulants au Carnaval de Rome en 1857 : l'enfant vend des confettis en plâtre et sucre, le vieil homme des bouquets[6]. À l'origine, les confettis jetés au Carnaval étaient des dragées. M. Continuité des religions européennes antiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les religions de l'Antiquité européenne, les cultes polythéistes qui ont précédé le christianisme, ont dû tout d'abord s'intégrer à la religion romaine antique. Celle-ci fut la première religion principale de l'Empire romain qui a conquis la majeure partie du continent européen, elle a donc supplanté les religions des peuples soumis. Mais le polythéisme leur a permis d'intégrer leurs dieux au panthéon Romain et de continuer leur culte. Mais à partir du IVe siècle les empereurs romains ont commencé à se convertir à la religion chrétienne, un culte monothéiste exclusif (n'acceptant aucun autre dieu).

Religion romaine[modifier | modifier le code] Les lieux de cultes[modifier | modifier le code] Hommes présentant leur bouteilles de vin à la bénédiction lors de la messe du Saint-Vinage En Provence, a lieu chaque année le Saint-Vinage de Boulbon, fête mi-bacchique, mi-catholique, qui se déroule en la chapelle Saint-Marcellin de Boulbon. Le Théâtre du monde. Une histoire des masques. Des forces obscures de la nature aux instincts les plus profonds de l'homme, des rites tribaux aux catharsis théâtrales, le masque est le médium d'une vérité trop forte, trop violente pour les visages fragiles.

Il fascine et envoûte. Mais, malgré de surprenantes analogies d'une aire culturelle à une autre, cet objet du mystère a reçu tant de formes qu'il demeure, en lui-même, mystérieux. Pouvant se lire ou se consulter à plusieurs niveaux, cette vaste synthèse, accompagnée de plus de trois cents illustrations, raconte l'épopée éclectique et fantasque du masque, croqué sur le vif dans tous les domaines, parfois inattendus, où il est employé : théâtre et carnaval bien sûr, mais aussi religion, publicité, bande dessinée, mode, politique.

Qu'il soit drôle, délirant, effrayant, il se révèle toujours le vecteur étonnant d'un pouvoir, pour la délicieuse inquiétude de qui le voit en action. Support Livre broché Nb de pages 192 p. Référence 35578 Date de publication du format 17 novembre 2009. Masques. Les Tingnons (ancêtres mythiques descendus du ciel) arrivèrent sur terre avec pour tout bagage culturel le gbâ (tabou symbole de l'alliance) du dieu Kéla. Ils se trouvèrent immédiatement aux prises avec la Nature et plus spécialement avec le Guinarou ou Zédé, symbole de l'éternel recommencement, de la transformation des choses et de l'illusion des apparences. Pour les plier à sa loi, il tentait de les reintégrer au monde animal. Monstrueuse, puissante, envahissante, la brousse menaçait de submerger les premiers et rares Tingnons qui, disposant du seul gbâ, se trouvèrent rapidement incapables de se défendre. Alors intervinrent les génies Kosris, étincelles divines.

Masque de Guiglo Chacune de ces lois (kê) fut remise aux hommes par un Kosri déterminé. Femmes maquillées à l'occasion d'une sortie de masque en pays"WE" (Troya,Centre de documentation et d'information de l'Agence intergouvernementale de la Francophonie) Elle renferme en elle le destin de l'humanité. MASQUES. Depuis les théologiens jusqu'aux encyclopédistes à la recherche de catégories universelles, qui n'a pas écrit sur le masque ? Quelle galerie n'a pas rêvé d'entreprendre et quel musée a négligé d'organiser une exposition sur ce thème ? Les auteurs romantiques ont aimé les loups de velours ou les figures grimaçantes, et l'on pourrait montrer qu'il s'agissait là d'éléments annonciateurs d'une forme de représentation sexuelle.

Il se trouve que le masque ne correspond pas toujours à une aventure amoureuse. Il n'est pas non plus toujours diabolique et l'Inquisition ne s'est pas préoccupée des porteurs de masques. Si l'on raisonne à partir du masque en général, on est tenté de lui accorder une qualité universelle, alors qu'il y a des cultures où il n'existe pas. Un autre problème se pose : celui de la représentation du masque. Le masque et l'histoire. Le masque et l'histoire Céline Moretti-Maqua Objet universel de toutes les sociétés archaïques ou modernes, le masque tient une place étonnante dans le cours de la civilisation et son usage remonte à la plus haute antiquité où déjà, fait pour être porté, il est souvent conçu en matériaux légers et sa valeur initiatique reste obscure et paradoxale.

Simulacre facial, il dissimule, cache, et camoufle. Appartenant au domaine du paraître, le masque permet à l'homme, doté d'une dualité originelle, d'accéder à la métamorphose de son être, à la révélation de son inconscient. Ses caractéristiques, d'abord exclusivement rituelles, conservent tout au long de son histoire le principe de transgression qui est à la base de toute forme de déguisement. Problématique originelle du masque Le masque comme objet de métamorphose Appartenant au domaine du paraître, le masque permet à l'homme d'accéder à la métamorphose de son être. Le masque d'homme n'est jamais le masque d'un homme. Origines du carnaval à la Jamaïque | L'histoire par l'image. Isaac Mendes Belisario (1795-1849), peintre et graveur d’origine italienne né à Londres, installé en 1830 à Kingston en Jamaïque, alors colonie anglaise, y excelle comme peintre de paysages et de portraits.

Il lithographie lui-même en juin 1837 douze dessins à l’aquarelle, de scènes d’une sorte de carnaval pratiqué depuis des décennies par les esclaves à l’époque de Noël. Il publie lui-même, par souscriptions, ses « Esquisses de personnages, illustrant les modes de vie, les activités et le costume des Noirs de l’île de la Jamaïque » les accompagnant de textes descriptifs détaillés que l’on peut dire ethnographiques. Même si l’esclavage est aboli à la Jamaïque en 1833, ces lithographies sont des documents très parlants sur la perception de la vie des esclaves, avant comme après leur émancipation ; elles connaissent encore maintenant une grande popularité en Jamaïque.

Les esclaves se voient accorder par leurs maîtres trois journées de réjouissance, à Noël, et une au Nouvel An. Le bal masqué au XIXe siècle | L'histoire par l'image. Histoire du bal masqué D’origine probablement italienne, le bal masqué apparaît dans la noblesse française à l’époque médiévale. L’engouement que suscitent les déguisements se renforce à la Renaissance avec la mode de l’allégorie. Ces bals se multiplient alors dans toute l’Europe et s’ouvrent à un plus large public.

Aux siècles suivants, leur vogue ne diminue pas, comme en témoigne le grand bal masqué donné par Fouquet en 1661 dans son hôtel parisien d’Emery, et ces divertissements deviennent un véritable phénomène de société. Mais c’est en 1715 que naît le plus somptueux d’entre eux, le bal de l’Opéra, créé par une ordonnance du régent en date du 31 décembre. Le bal de l’Opéra Une lithographie coloriée d’Eugène Guérard (1821-1866) et une autre gravure issue de l’imagerie populaire restituent bien l’atmosphère luxueuse de cette fête nocturne, alors qu’elle se déroulait rue Le Peletier : toute une foule bigarrée se presse dans la salle, sur la scène et dans les loges.

Un carnaval mondain. Le carnaval et ses réjouissances | L'histoire par l'image. Contexte historique Histoire et symbolique du carnaval Fête d’origine païenne, le carnaval est étroitement encadré au Moyen Âge par l’Église qui l’inscrit dans le calendrier liturgique et en fixe la durée : du lendemain de l’Épiphanie au mardi gras, dernier jour avant la période de jeûne dite du carême. Il s’accompagne de nombreuses manifestations durant lesquelles l’ordre établi est mis à bas au profit d’un chaos éphémère. Cette « fête que le peuple se donne à lui-même », selon l’expression de Goethe, est l’occasion de débordements, de travestissements, de manifestations de sauvagerie ou encore d’inversions de sexes et de codes sociaux. Les masques et les déguisements que les participants revêtent renvoient au folklore et à la mythologie populaires ; tel l’homme sauvage, ils sont des survivances de cultes païens de la fertilité, de la régénération de la nature. Analyse des images Réjouissances carnavalesques Interprétation Un carnaval urbain.