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Histoire

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My tailor is French. On est dans la Moïse. Mohamed Ali, 70 ans et toujours "le plus grand" Des cinéastes cubains accusent le festival de La Havane de marginaliser leurs films. Pour la première fois depuis sa création, en 1979, des cinéastes cubains critiquent publiquement le Festival du nouveau cinéma latino-américain de La Havane, qui a lieu du 1er au 11 décembre 2011. La polémique a été lancée par le réalisateur Eduardo del Llano, dont le premier long métrage, Vinci, produit par l’Institut cubain de l’art et de l’industrie cinématographiques (ICAIC), a été refusé par le comité de sélection. Les sélectionneurs ont invoqué des raisons « thématiques ». Le film aborde un épisode de la vie du jeune Leonardo de Vinci. Eduardo del Llano s’est fait connaître par une série de courts métrages décapants, de Monte Rouge (2005) à Exit (2011), mettant en scène un personnage récurrent, Nicanor.

L’auteur se demande si les sélectionneurs n’auraient pas agi par « méfiance politique » à son égard. Plusieurs collègues de métier ont exprimé leur soutien à Eduardo del Llano. Le festival 2011 présentera 445 films, dont 121 en compétition. Nick Dunbar ou Tintin dans la finance. RÉSERVES • Où est l’or allemand ? La Bundesbank est à la tête des deuxièmes réserves d’or de la planète. Le lieu où elles sont stockées est un secret d’Etat. Celui qui voudrait mettre la main sur les réserves d’or de l’Allemagne – qui s’élèvent actuellement à environ 3 401 tonnes, pour une valeur marchande de 196 milliards de dollars – se trouve face à un problème : où sont-elles ? Cette question simple fait l’objet de folles spéculations. D’après les esprits critiques, le métal précieux se trouve essentiellement aux Etats-Unis, où il a été déposé pendant la guerre froide, d’une part pour l’éloigner le plus possible du rideau de fer, d’autre part pour donner un gage idéologique de la loyauté de l’Allemagne vis-à-vis des Etats-Unis.

Les esprits supercritiques doutent même que la Bundesbank détienne cet or tout court. Prenons les choses une par une. Ne laissons pas sombrer notre idéal. La construction européenne a permis au Vieux continent de retrouver la prospérité, mais elle lui a fait perdre une partie de son âme, regrette le philosophe espagnol Rafael Argullol. Il n’est pas trop tard pour affirmer les valeurs qui font sa force, mais il faut faire vite.

Outre le manque de vision des responsables politiques, l’un des aspects les plus déprimants des dernières catastrophes européennes est l'indifférence des citoyens pour les événements récents. Bien sûr, ils s'inquiètent des revers économiques et sociaux qui pourraient les toucher, mais rien n'indique que l'Europe représente pour eux plus qu'une monnaie en péril. Si quelques uns se demandent ce que signifierait la fin de l'euro, personne ne semble se préoccuper des conséquences en termes de civilisation de la fin du rêve européen, la véritable catastrophe qui nous attend si aucune solution n'est trouvée. Le syndrome du Titanic fait déjà des ravages et la peur réveille les nationalismes les plus féroces.

L’Islande est notre Utopie moderne. Reflets du lac de Tjornin à Reykjavik, Islande. En rejetant par référendum le sauvetage de leurs banques et le remboursement de la dette extérieure du pays, les Islandais ont montré qu’il est possible d’échapper aux lois du capitalisme et de prendre son destin en main, se réjouit un historien espagnol.

Comme l’écrivait Oscar Wilde, une carte sans l’île d’Utopie n’est pas digne d’un regard. Or l’Islande est passée du statut d’enfant chéri du capitalisme tardif à un projet de démocratie réelle, ce qui laisse à penser qu’une carte sans Utopie est non seulement indigne de notre regard, mais qu’en outre elle est mensongère. Le phare d’Utopie, que les marchés le veuillent ou non, à commencé à émettre des signaux d’alerte ténus vers le reste de l’Europe. L'Islande n'intéresse pas les médias Pourquoi l’Islande intéresse-t-elle si peu les médias, pourtant censés nous raconter ce qui se passe dans le monde ? La rebellion pacifique des Islandais La possibilité d'une différence.

UNION EUROPÉENNE • Londres ou Sofia ? J'ai fait mon choix. Vit-on mieux au Royaume-Uni, un pays riche, ou en Bulgarie, un des plus pauvres de l’UE ? Selon l’écrivain bulgare Ioulian Popov, plein d’humour, la réponse n’est pas si simple… Entre le Royaume-Uni et la Bulgarie, où vit-on le mieux ? Pour nous, la question ne se pose pas. Parce qu’on connaît tous la réponse : c’est les Bulgares qui ont la vie la plus dure. Si l’on pose la même question aux Britanniques, ils répondront sans doute la même chose : oui, ce sont les Bulgares qui vivent le plus mal dans toute l’Union, ce sont eux les plus pauvres, les plus arriérés, etc. La maison, c’est important.

Le grand drame du Britannique est que plusieurs gouvernements successifs lui ont promis que son niveau de vie continuerait à augmenter. Lorsque c’est le cas, il est presque rassuré : tout se déroule selon ses prévisions ! De plus, le Bulgare ne paie pas d’impôts. Tueriez-vous une personne pour en sauver cinq. L’actualité est le théâtre de la mort. Et les commentaires que nous en faisons, les sondages auxquels nous nous soumettons font la morale de notre temps. L’intervention de l’OTAN en Libye a reposé la question des guerres justes.

Les exécutions sans jugement d’Oussama ben Laden et de Mouammar Kadhafi n’ont pas été spécialement condamnées. La question de l’avortement ne cesse de tirailler les Américains, ainsi que celle de l’utilisation des embryons dans la recherche sur les cellules souches. Comme on a pu le voir récemment avec la suspension in extremis de l’exécution de Hank Skinner, le débat sur la peine de mort ressort régulièrement outre-Atlantique mais il fait, tout aussi régulièrement, sa réapparition en France à l’occasion de faits divers atroces. Quant à l’euthanasie, autorisée dans certains pays, elle est revenue sous les feux de l’actualité avec l’affaire du docteur Bonnemaison. A chaque fois, les sondeurs nous demandent notre avis. Pierre Barthélémy. Un retraité soupçonné à tort d'être un "pervers sexuel" meurt lors de son interpellation.

"Argentine : histoire, société, culture", de Ludovic Lamant et "L'Argentine des Kirchner, dix ans après la crise" : comprendre l'Argentine. Certaines libertés ont aussi disparu le 11 Septembre 2001. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Soren Seelow Souvenez-vous. Il fut un temps où aucun militaire ne patrouillait, Famas en bandoulière, sur le parvis de Notre-Dame de Paris, un temps où vos e-mails avaient peu de risques d'être interceptés, où votre mine déconfite sur le trajet du bureau n'était pas immortalisée chaque jour par des dizaines de caméras, une époque révolue où embarquer un flacon de shampoing à bord d'un avion était encore un geste anodin...

C'était avant le 11 Septembre 2001. Ce jour-là, lorsque les tours jumelles du World Trade Center tombent en poussière, la puissance symbolique des Etats-Unis est ébranlée, ainsi qu'une certaine idée de la liberté. Au "pays de la liberté", une brèche vient de s'ouvrir. "La guerre contre le terrorisme est une guerre à durée indéterminée contre un ennemi inconnu. Petit tour d'horizon, non exhaustif, de quelques mesures "temporaires" qui ont durablement transformé votre quotidien : L'armée dans la ville Internet sous surveillance Biométrie. Comment la CIA transportait en secret des terroristes présumés.

"La Zone", une exploration de la zone interdite de Tchernobyl. Athlétisme : pourquoi la piste de Daegu est-elle bleue ? Loft Story. Détails : Le jardin d’acclimatation est un parc d’attractions dans le bois de Boulogne. Ce parc est fréquenté par de nombreux jeunes parisiens. On y trouve toujours aujourd’hui des animaux en plus d’autres attractions plus classiques (manèges, etc.)

Le site officiel du parc précise : Napoléon III, en bon souverain, désire offrir à ses sujets un jardin d’agrément mêlant nature, flore luxuriante, animaux exotiques et, pour leur édification, une touche d’ethnologie. Ce parc a donc présenté, jusqu’en 1930, des familles de personnes provenant de nos colonies.