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Abusive relationships

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Abuse Is Abuse — Even If He Doesn’t Hit You. La vérité sur les violences conjugales. Cette enquête est une grande première. Poser aux femmes et aux hommes les mêmes questions sur les tensions qui peuvent exister au sein de leur couple constitue une rupture avec le discours dominant sur les «violences conjugales». Constater qu'hommes et femmes se plaignent à peu près également l'un de l'autre (et, même, que les hommes subissent deux fois plus d'insultes que les femmes) renforce le double malaise que j'ai toujours éprouvé, d'une part à l'égard de la méthode habituellement choisie pour parler des violences faites aux femmes et, de l'autre, à l'égard des conclusions que l'on en tire.

D'abord, la méthode revendiquée par la plupart des institutions ou associations est globalisante: la violence des hommes contre les femmes est, nous dit-on, universelle. On lit, par exemple, dans la brochure d'Amnesty International (2004): «Partout dans le monde, des femmes subissent des actes ou des menaces de violence. Une guerre à deux C'est dit tout net, de tableau en tableau. Auteur.

Affaires publiques

Le pervers narcissique décrit dans un court-métrage brillant. Why Is The Media Continuing To Sell Out Victims Of Abuse? One of the hardest things—probably the hardest thing—about seeing your world blow up and “go viral” when you become the center of some kind of newsworthy “controversy” is the lesson that there are no “good guys” in the world—not really. There are good people, yes, people with good values and good intentions who do good things. But there’s no unified front of “the good guys” embodied in any institution—not the government, not any advocacy or protest organization, not any political party, and certainly not the press. Others have written about what is and is not helpful when trying to help victims of abuse online. The problem is, again and again, that incentives put people at cross-purposes. “Raising awareness” is an important long-term goal in keeping people from being abused overall, yes—but individual victims of abuse mostly want awareness decreased, they want the hypervisibility they live under to stop.

Take the reason I’m writing about this right now. Zoe Quinn (Credit: Wikimedia) Jusqu’à ce que la mort les sépare. Le 3 décembre 2015, Jacqueline Sauvage, 68 ans, était condamnée à 10 ans de réclusion pour le meurtre de son mari violent. François Hollande lui a accordé une grâce partielle. Jacqueline comme Alexandra ou Bernadette ont tué leur mari violent. Retour sur des cas exceptionnels. La cour d’Assises du Loir-et-Cher confirmait en appel la condamnation de Jacqueline Sauvage reconnue coupable d’avoir tué son mari par trois coups de fusil dans le dos. L’affaire Jacqueline Sauvage faisait résonner celle d’Alexandra Lange qui en 2009 tuait d’un coup de couteau son mari violent lors d’une dispute.

Image issue du téléfilm L’Emprise Les deux avocates d’Alexandra, Janine Bonaggiunta et Nathalie Tomasini, spécialisées dans les violences conjugales, ont plaidé en vain la légitime défense pour Jacqueline Sauvage. Ce syndrome est un ensemble de signes cliniques définissant l’état post-traumatique des femmes subissant la violence sur une période longue. A lire : Marie-France Hirigoyen, Femmes sous emprise. Un diplôme universitaire pour mieux combattre les violences faites aux femmes. L'affaire Jacqueline Sauvage, dont la condamnation à 10 ans de réclusion pour avoir tué un mari violent a ému beaucoup de personnes en France avant d'être grâciée, aura eu au moins le mérite de pointer les manques en matière de lutte contre les violences faites aux femmes.

Parmi ces carences, le déficit de formation qui permet d'affronter ces situations par les professionnels concernés, est souvent mis en accusation. L'expérience en cours dans le département de la Seine Saint Denis, banlieue populaire de Paris sera donc suivie avec attention. Si les résultats sont là, elle pourrait faire des émules. Neuf heures sonnent. Une vingtaine de femmes prennent place au hasard dans une salle de cours de l’Université Paris 8, à Saint-Denis, banlieue Nord de Paris. Ce samedi matin, elles reçoivent l’avocate au Barreau de Paris et spécialisée en droit de la famille Delphine Zoughebi.

Donner les outils Son objectif ? Créer du lien Des ambassadrices légitimes Si ce n’est pas déjà le cas. Aller plus loin. Enfin un guide juridique pour aider les femmes victimes de violences. Pourquoi porter plainte ? Faire constater les violences subies ? Ai-je le droit, à la suite de violences physiques ou psychologiques, de quitter le domicile familial ? Comment obtenir l'incarcération de mon agresseur ? Comment est menée l'enquête ? Comment protéger mes enfants d'un père violent à mon égard ? Ce Guide juridique des femmes victimes de violence, à paraître le 26 janvier (Éditions Alma éditeur), « donne aux victimes le chemin à suivre et les armes juridiques pour se défendre », expliquent à l'AFP les auteures, avocates au barreau de Paris, My-Kim Yang-Paya et Céline Marcovici, par ailleurs présidente et secrétaire générale de l'association Avocats Femmes et Violences.

L'ouvrage paraîtra en format numérique le 4 février. 86.000 femmes victimes de viols ou de tentatives de viol Une femme décède tous les trois jours en France sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint et quelque 86.000 femmes sont victimes de viols ou tentatives de viol. À lire aussi : L'amour et la violence. « L’une d’elles », un mini-jeu vidéo pour dénoncer les violences faites aux femmes. À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, Libération a partagé une animation plutôt éloquente prenant la forme d’un mini-jeu. Nous sommes en 2015, et il y a encore beaucoup de travail à faire pour lutter contre les violences conjugales. Aujourd’hui, mercredi 25 novembre, c’est précisément la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, et de nombreuses actions sont menées partout en France pour sensibiliser le public à cette réalité, et rappeler que le combat est encore loin d’être terminé.

À lire aussi : La Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes en 35 actions Conférences, débats, projections, manifestations ou encore expositions seront ainsi au programme dans de nombreuses villes… mais le Web n’est pas en reste ! Le journal Libération a par exemple publié en collaboration avec The Pixel Hunt une expérience interactive particulière, intitulée L’une d’elles. Testez ici. Les violences conjugales à l'origine de près d'un meurtre sur cinq. VIOLENCES - Isabelle, Sylvie, Amina, Géraldine, Samia. Depuis 2006, 1259 femmes ont été tuées en France par leur conjoint ou ex-conjoint. Elles étaient encore 118 l'an dernier, rappelle le HCEfh, alors qu'a lieu ce mercredi 25 novembre la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes.

"Les violences faites aux femmes ne sont pas des faits divers, mais une question politique de première importance", souligne Danielle Bousquet, présidente du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh), chargé de l'évaluation du 4e plan interministériel triennal de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes, adopté en 2014. Les morts violentes dans le couple ont représenté 18,74% des homicides non crapuleux et violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner constatés en 2014, selon le ministère de l'Intérieur. Les chiffres de 2015 ne seront connus qu'en 2016. Des violences "féminicides" En 2015, une femme sur cinq victime de violences physiques en Europe. Pour certains, le 25 novembre, c’est la Sainte-Catherine, désuète fête des filles qui n’ont pas trouvé de mari à 25 ans. Pour d’autres, c’est la Journée mondiale de lutte contre les violences faites aux femmes, organisée par les Nations unies depuis une résolution de décembre 1999.

Objectif : promouvoir le droit des femmes et, surtout, sensibiliser le public, l’informer de la situation des femmes, réaffirmer la nécessité d’un combat indispensable. La preuve en chiffres : la forme la plus courante est la violence physique infligée par le partenaire intime. En moyenne, au moins une femme sur trois dans le monde est battue, victime de violence sexuelle ou autrement maltraitée au cours de sa vie. Selon les données de la Banque mondiale, le viol et la violence conjugale représentent pour une femme âgée de 15 à 44 ans un risque plus grand que le cancer, les accidents de la route, la guerre et le paludisme réunis.

Sinistre peloton. Traité d’Istanbul. Emmanuèle Peyret , BIG. 7 'Positive Thinking' Mantras That Can Actually Cross the Line Into Gaslighting. “Don’t cry.” As a sensitive child, adults often told me this, but hearing it only made me feel more ashamed of crying. They told me not to let bullies get to me, which made me feel weak for letting them. They told me people have control over their emotions, which made me wonder why I was the one exception. When we tell children these things, we hope it’ll make them tougher, but it actually makes them feel like they’re not tough enough. And, in my experience, it makes them wonder if there’s something wrong with them for feeling the way they do. And when well-intentioned advice starts to make people question their own mental stability, it becomes gaslighting. Gaslighting – manipulating people into questioning their own perceptions – is often described as an emotional abuse tactic.

But beyond its employment by verbally and emotionally abusive people, gaslighting is actually built into our language. As a culture, we do not honor people’s feelings or lived experiences. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 11 Truths Every Survivor of Intimate Partner Violence Needs to Know. (Content warning: intimate partner violence, assault, self-blame) “Felicity lifts the doll and smoothes the dirt from its face. ‘I had a doll like this once. And they said she was wicked, too. But she wasn’t. She was a good and true doll. And so is yours, Polly.’

I never went to therapy after getting out of my relationship with an abusive partner because secretly, I didn’t believe that I had been abused. Even after years had passed, even after I wrote several articles and dozens of poems about it, even while I was studying the invisible mechanisms of abuse and trauma as a student therapist, there was a fragment of the person who hurt me (I still can’t say “my abuser”) buried inside my consciousness. And from that hidden place, a voice whispered constantly that I was a liar, that I just wanted attention (as if wanting attention was something shameful), that people like me can’t be abused because we deserve to be hurt. Here they are, written down, for all you survivors out there. 1. It. 2. About anger. Feeling angry is part of being human. It is a natural response to being attacked, insulted, deceived or frustrated. Sometimes, excessive anger can also be a symptom of some mental health problems.

Anger can be useful, but it can also be frightening. When something makes you angry, adrenalin causes your body to prepare for ‘fight or flight’, giving you energy and making you feel tense. Releasing this energy and tension is good for you, but it can be difficult to do so in ways that are constructive. In most situations, fighting back or running away (‘fight or flight’) isn’t helpful and anger can often lead to responses that make things worse rather than better. Being angry isn’t a problem in itself. When is anger a problem? Anger becomes a problem when it harms you or people around you. Often if you feel angry, it’s about something that is happening to you at the time.

It might lead to: It might also affect your: Violence and aggression. 10 Things I wish I’d known About Gaslighting. 4 Ways to Find Out If Your Partner Is Using Their Depression as an Excuse for Controlling Behavior. At first it was only little comments. Your partner would shake their head disapprovingly after you dyed your hair. They’d scoff at your taste in music. After a while, though, you couldn’t just laugh it off, pretending it didn’t bother you. Your partner was belittling you in front of friends and family – even strangers! They told you it was just gentle teasing, and for a while you agreed and chalked it up to you being overly sensitive.

It didn’t stop stinging though. You decide to tell your partner that their teasing hurts your feelings. You don’t expect them to start crying. You don’t expect them to call themselves the worst person on earth and beg you not to leave them even though they’re so terrible. You get alarmed. Maybe you should have known better than to bring it up, anyway. It’s your turn to beg.

They eventually calm down, and you’re relieved that things turned out okay. It’s not until later that you realize that they never apologized for hurting your feelings in the first place. 1. Healing and Hope: AM I THE ABUSIVE ONE? Living with an angry and controlling partner can become a twisted world where bad is good, down is up, and wrong is right. Many women over the years have said to me, “My partner tells me that I’m the one abusing him. He has said it so many times that I start to wonder if he’s right. How do I know if it’s him or me?” We can look at some ways to answer that question, but first I would like you to read a few concepts, taking a deep breath after each one so that you can absorb it. One: You are not responsible for his behavior. Breathe. Two: You deserve to be treated well even when you make mistakes, and even if you make them a lot. Three: Setting firm, clear limits for how your partner is allowed to treat you is not the same thing as controlling him, and should not be called control.

Four: Choosing to not always put your partner’s needs ahead of your own does not constitute hurting him, wronging him, or being selfish. But I haven’t really answered your question yet. About Partner Abuse. Quick Menu: Partner abuse is a systematic pattern of behaviors where one person non-consensually uses power to try to control the thoughts, beliefs, actions, body, and/or spirit of a partner.* *By “partner,” we are referring to a range of intimate relationships including but not limited to play partner; date; primary, secondary, or other non-monogamous partner; spouse; sexual partner; boyfriend/girlfriend; boo; hookup; life partner; lover.

Partner abuse is also called domestic violence, battering, intimate partner abuse, and/or dating violence. Those who abuse may use a number of behaviors to control their partner including: Emotional Abuse: verbal abuse, lying, undermining self esteem, humiliation, monitoring whereabouts, threats, and/or intimidation. Physical Abuse: pushing, hitting, punching, choking, withholding medications or hormones, sleep deprivation. Sexual Abuse: rape, forcing sex and/or sex with others, exposure to HIV or sexually transmitted infections. Have you been told… top 1. 2. 4 Myths About Intimate Partner Violence in Lesbian Relationships. Want to Better Support LGBTQIA+ and Male Survivors of IPV? Here's Why We Need More (Not Less!) Gender Analysis. You know how the Grinch’s heart grows three sizes in about as many seconds? The same thing happened to me once, only in reverse. I had an interview one day with an intimate partner violence (IPV) worker for a piece I was hoping to cover on how gender was handled in local programs.

I knew ahead of time that this person had worked in her particular program for two years – and had even done some things to help build it up to what it was now. She also considered it genderless, a sort of one-stop supermarket for IPV survivors. With gender out of the way, she believed, all survivors would get the help they needed. Okay. But as she talked and my voice recorder rolled, I became increasingly concerned about what she was saying. Her program’s “genderless” tactics, it seemed, were suspiciously close to simply catering to straight, cis women.

So that’s when I decided to drop a style of question I’m frequently known for dropping: “So…where exactly do you feel your program best helps LGBTQIA+ survivors?”