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Economie du partage

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Creative/Collaboration as a New Participatory Paradigm? After 6 months of thinking *very hard* about the more controversial things of life, like democracy, creativity and the future of society, *quietly to myself*, I suddenly find myself almost ready to ‘think out loud’ again and publish some unfinished thoughts for others to consider. While this can feel very risky at times I consider that collaborative and public conversations around some of these difficult topics holds enormous value – so I invite you to agree, argue and criticise the ideas and suggestions below as strongly as possible – with a view that this process toughens thinking - hopefully making it more robust and useful. Recap of earlier thinking In May I wrote a series of posts which promoted the idea of collaboration between citizens and government and other organisations. Below is the 'thoughts in progress' diagram which I ended up with in May, which attempted to describe these various complex processes - with small amendments.

Current thinking 1. 2. 3. 4. 5. La montée de la consommation collaborative. « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative).

La montée de la consommation collaborative

Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar) . « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. What’s Mine is Yours: The Rise of Collaborative Consumption. Détours : utiliser les principes du libre pour contrer la société du tout jetable.

La consommation collaborative. Les préoccupations environnementales, la crise, mais aussi la résurgence du concept de « communauté » et le développement des technologies Peer to Peer sont à la base d’une véritable révolution appelée « Consommation Collaborative ».

La consommation collaborative

Le principe est de promouvoir l’accès plutôt que la propriété pour passer d’un statut de consommateur passif à celui de collaborateur actif. Ainsi recycler, partager, louer, échanger, prêter, donner, sont des concepts remis au gout du jour grâce aux nouvelles technologies mais aussi à l’évolution des comportements. La société est non seulement entrain de réinventer ce qu’elle consomme mais surtout la manière dont elle consomme !

Ce constat, c’est à Rachel Botsman qu’on le doit. Comment l’économie du partage crée du lien social. Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance.

Comment l’économie du partage crée du lien social

Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides. Le volume du commerce mondial a triplé depuis la chute du mur de Berlin et a connu une croissance presque exponentielle [en] jusqu’à la crise économique de 2008.

Bizarrement, alors que les hommes entraient toujours plus en interaction et devenaient toujours plus dépendants les uns des autres, ce XXème siècle aura connu un immense délitement des structures sociales traditionnelles sans création d’autres structures alternatives efficaces. Quand l’échange marchand abolit la relation Frédéric Laupiès, Leçon philosophique sur l’échange. Resources From Share NY. My Shareable Laundrette. Sharing is great, but it is not always easy Yes, I love Freecycle (and recupe.net in France), Craig's list, Neighborgoods.net, donating to charity, etc. La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe.

La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ?

C’est le cas par exemple pour le secteur de la réservation de restaurants en ligne : un marché déjà mâture outre-Atlantique et qui n’en est encore qu’à ses débuts en Europe (1 % du total des réservations en 2010 en France ont été effectuées sur Internet). Connecting through “Collaborative Consumption” In April of 2000, on the spur of the moment, Casey Fenton bought a cheap airplane ticket to Reykjavik, Iceland, for a long weekend.

Connecting through “Collaborative Consumption”

Quand l'économie du partage inspire les investisseurs. Cet article est inspiré d’un post de Tim Hyer, fondateur de Rentcycle . Il est en partie reproduit ici avec la permission de l’auteur. J’ai trouvé cet article très intéressant car il met en perspective la montée des investissements dans les startups du partage. On parle de plus en plus de la consommation collaborative, mais concrètement à quel point le secteur intéresse-t-il les investisseurs ? L’investissement massif dans les startups du partage ne pose-il pas des questions étant données les valeurs du mouvement ?

Des éléments de réponse dans cet article. L’investissement dans la consommation collaborative aux Etats-Unis Tim Hyer : “Il y a trois ans, j’ai eu la volonté de lancer une entreprise construite autour du partage : on s’est moqué de moi. Ces dernières années, on a assisté à une montée de la prise de conscience autour d’une tendance de fond ancrée dans le partage. Il n’y a encore pas si longtemps, nous achetions tous les films et la musique que nous consommions.

Why The Collaborative Consumption Revolution Might Be As Significant As The Industrial Revolution (TCTV) Everything, it seems, is becoming collaborative. From Airbnb to RentCycle to Zipcar, we are swapping our cars, our homes, even our clothes with each other. According to Lauren Anderson from Collaborative Consumption, this change might be as profound as the industrial revolution. It will result, she told me when we met at Fast Company’s Innovative Uncensored event, in a world driven by “reputational capital” in which the “We” of the our collaborative age will replace the “Me” of the industrial age. While Anderson might be right, I’m not sure it’s such a great thing for people like myself who aren’t naturally participatory.