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Theses. 2 Minute Thesis Competition. La culture générale, outil de sélection rouillé. Adventures In Behavioral Neurology—or—what Neurology Can Tell Us About Human Nature. When you look at the structure of the brain it's made up of neurons. Of course, everybody knows that these days. There are 100 billion of these nerve cells. Each of these cells makes about 1,000 to 10,000 contacts with other neurons. From this information people have calculated that the number of possible brain states, of permutations and combinations of brain activity, exceeds the number of elementary particles in the universe. The question is how do you go about studying this organ?

There are various ways of doing it. Behavioral neurology has a long history going back about 150 years, a venerable tradition going back to Charcot. It doesn't have to be a lesion; it can be a genetic change. In general, we look at is curious phenomenon, syndromes that have been known for ages, maybe 100 years, 50 years, that people have brushed under the carpet because they're regarded as anomalies, to use Thomas Kuhn's phrase. This is different from apotemnophilia.

So lets take synesthesia. Écrire (publiquement) pour penser. J’ai écris mon premier livre en huit semaines : huit chapitres. (…) Si j’ai écrit en huit semaines huit chapitres, c’est parce que j’étais « enceint ». J’avais tellement médité et construit mon livre dans la tête qu’une fois que j’ai commencé à écrire, j’ai écris un chapitre par semaine. (…) Je me sentais dans une sorte d’auto-possession, j’avais ajusté toutes ces pensées d’avance.

Cette anecdote de Maurice Godelier suscite chez moi autant d’interrogations que d’admiration, tant il me semble improbable que l’acte de penser et celui d’écrire puissent être distincts. « Brainstorming » Écrire pour penser La pensée vient par l’écriture, en ce qui me concerne en tout cas. Avant d’écrire pour communiquer, j’écris donc (égoïstement) pour penser. Écrire sans lecteurs Or, nous n’écrivons pas toujours publiquement, et même à vrai dire rarement (proportionnellement parlant). Les lecteurs absents, l’exercice d’écriture n’a plus de raison d’être. Écrire publiquement Imprimer ce billet. Susan Cain : le pouvoir des introvertis. Les amitiés numériques. Formes technolangagières et polysémie relationnelle. Séminaire PHITECO 2012 « Amitié et technologies relationnelles » Université de Technologie de Compiègne, du 23 au 27 janvier 2012 Présentation– Les deux anecdotes présentées au début du diaporama (les conséquences d’un blacklistage dans la vie d’un couple américain et ma propre perplexité devant une demande d’amitié, perplexité qui a reçu sur Twitter de passionnantes analyses et réponses sociologiques, psychologiques et psychanalytiques) sont intéressantes car elles permettent de poser au moins trois questions à propos de ce phénomène de l’amitié numérique : a. celle incontournable de la définition de l’amitié ; b. celle des manifestations, en particulier discursives, de l’amitié numérique comme forme relationnelle située i.e. installée dans nos environnements numériques et dans nos modes de vie ; c. celle du discours de l’amitié numérique i.e. des formes technolangagières et technodiscursives qui élaborent et formulent cette amitié. – Points traités : 1.

Les lectures existantes 2. 1. Le Cogito sans engagement - IGITUR - Arguments philosophiques. 1 Introduction L'interprétation du cogito par Hintikka dans un article paru en 1962 semble avoir marqué un tournant dans les études cartésiennes (Kambouchner, 2009). À côté de la dimension logico-sémantique, relativement triviale, Hintikka souligne l’aspect performatif qui donne toute sa force à l’argument. Si « je suis » découle de « je pense », cela n’est convaincant que parce que l’acte de penser me rend impossible de concevoir que je n’existe pas. L’importance de la dimension performative ou pragmatique du cogito tend à reléguer la dimension logico-sémantique au second plan. Cette dernière n’est pourtant pas absente du cogito, et si l’approche classique de la logique n’en tire rien d’important [1] des conceptions non-standard peuvent y apporter un éclairage intéressant.

L’objet de cet article n’est pas historique. La conception du sujet qui ressort de la formalisation proposée s’oppose résolument à l’idée d’une substance venant habiter l’ontologie. L’article s’organise comme suit. E! Pour une philosophie au sens large | La philosophie au sens large. 29 mars 2012 Pierre Macherey Exposé présenté le 26/03/2012 à l’ENS Ulm dans le cadre des « Lundis de la philosophie » Mettre en avant la référence à une « philosophie au sens large », c’est en premier lieu adopter une perspective polémique. C’est en particulier remettre en question l’excessive concentration de la pratique de la philosophie réputée normale depuis que celle-ci est devenue une « matière » enseignée, une discipline académique, pratique qui oriente celle-ci dans le sens d’une spécialisation étroite, et cantonne chacun sur son territoire dont il se considère comme le propriétaire légitime et dont il défend farouchement les frontières, selon la logique de ce que Bourdieu appelle une conduite de champ.

C’est la raison pour laquelle, à une logique de la preuve, une philosophie au sens large préfère une logique de l’essai, ou une logique à l’essai, qui s’oblige à des remaniements permanents. . « Moy, qui le plus souvant voyage pour mon plaisir, ne me guide pas si mal.