background preloader

Sens de la société et rapport au travail

Facebook Twitter

L’infantilisation des adultes, la puérilisation des enfants, la destruction des rapports de générations | Bernard Stiegler. « L’infantilisation des adultes, la puérilisation des enfants, la destruction des rapports de générations, tout cela revient à réfléchir au pouvoir immense du marketing sur une société devenue un troupeau de consommateurs. Permettez-moi un détour… Le capitalisme a muté au début du vingtième siècle, avec le fordisme. Nous sommes alors sortis de l’époque productiviste du capitalisme, celle de la révolution industrielle de la fin du XIXe siècle et début du XXe siécle qui a transformé nos vies – des chemins de fer à l’électricité alimentant l’usine et les nouvelles concentrations urbaines. Ce capitalisme a transformé les ouvriers, les artisans, les paysans en prolétaires.

Conférence Isègoria management : Bernard Stiegler parle du "vivre ensemble" et des dérives sociétales. Qu’est-ce qu’un consommateur ? C’est un producteur, un ouvrier qui se définit non seulement comme une source de travail, mais aussi comme un pouvoir d’achat. Contre-histoire du libéralisme - Domenico LOSURDO. Inégalités riches-pauvres | lanceurs d'alerte. Les dogmes "capitalisme, croissance, compétition, progrès..." Vidéos : Épandage médiatique. Citations esclavage - Citation et proverbe sur esclavage. Travail. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Le mot travail correspond à plusieurs sens : En économie[modifier | modifier le code] En entreprise[modifier | modifier le code] Généralités : Conditions de travail : ANACT Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travailCHSCT, Commission d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail.INRS, Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents au travail et des maladies professionnelles Durée du travail : Rémunération et intéressement Modes de travail: Types de travail : Organisations syndicales : Appareil[modifier | modifier le code] un travail est un appareil pour immobiliser les grands animaux domestiques, pour les ferrer, les examiner, les soigner.

En sciences humaines[modifier | modifier le code] En éducation[modifier | modifier le code] En droit[modifier | modifier le code] Relation entre travail et propriété : Notre système économique est incompatible avec qui NOUS sommes. Source : Hier soir dans le cadre du colloque sur l’évolution de la Conscience, j’assistais à ma deuxième rencontre avec Erwin Laszlo, fondateur du Club de Budapest qui était en dialogue avec Andrew Cohen. Suite à une incroyable déclaration appelée sentiment de l’Akasha “comment savoir si ma conscience évolue“, Erwin Laszlo nous a réuni par les mots, par la force de leur sens, par la vérité qu’ils transportaient. Un réveil, un éveil, une prise de conscience collective s’il en était besoin, que nous ne sommes qu’un, voici les premières lignes : I am part of the world. The world is not outside of me, and I am not outside of the world. The world is in me, and I am in the world.

Je suis partie intégrante du monde. Je suis partie intégrante de la nature et la nature fait partie de moi. Je suis partie intégrante de la société et la société fait partie de moi. Activité (analyse du travail) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans les domaines de l'analyse du travail, de l'ergonomie, de l'Ingénierie de la formation et des Ressources humaines, le terme d'« activité » est utilisé avec un sens précis : il désigne un ensemble distinct d'actions identifiées, organisé selon un processus logique, observable en tant que tel.

Il peut désigner aussi une ou plusieurs tâches exécutées par un ou plusieurs employés à l'intérieur d'un processus. Aussi appelé « geste métier ». Plus prosaïquement, l'activité constitue alors, dans cette perspective, une réponse à la question : « Que fait concrètement ce salarié dans cet emploi ? Cette définition de l'activité est modulée en ergonomie par la distinction sémantique suivante : Pour obtenir la production demandée, un opérateur accomplit une tâche « réelle » souvent distincte de la tâche « prescrite » assignée (selon une procédure des services de méthodes). Portail de la psychologie. Activité socioéconomique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Activité. L'activité socioéconomique concourt à la réalisation ou à la transformation d'un produit, d'une prestation ou d'un service. Dans les domaines de l'analyse du travail, de l'ergonomie, de l'Ingénierie de la formation et des Ressources humaines, le terme « activité » est également utilisé dans un sens plus précis : il désigne alors un ensemble distinct d'actions identifiées, organisé selon un processus logique, observable en tant que tel.

Il peut désigner aussi une ou plusieurs tâches exécutées par un ou plusieurs employés à l'intérieur d'un processus. Plus prosaïquement, l'activité constitue alors, dans cette perspective, une réponse à la question : « Que fait concrètement ce salarié dans cet emploi ? Entreprendre n’est pas en soi un acte vertueux. Moi, Pierre Rabhi, l'affirme : entreprendre n'est pas en soi un acte vertueux. Tout dépend de la vocation à laquelle on le destine.

On peut entreprendre pour faire du bien ou faire du mal, pour nuire ou rendre heureux, et c'est notre pensée, notre conscience, nos valeurs qui dictent la finalité de cet acte. Je constate que notre civilisation privilégie les pulsions consuméristes et matérialistes, se soumet à la dictature du profit et de l'inégalité, fête l'accumulation insatiable des richesses, récompense les puissants au détriment des plus vulnérables. Une civilisation prédactrice qui pille ses plus beaux trésors en décidant de placer son humanité et sa nature dans la souffrance et la désespérance. Ma manière d'entreprendre dans l'agroécologie j'ai voulu qu'elle honore mes convictions d'humaniste et d'écologiste, qu'elle soit au service de l'Homme et de la nature. "Osons imaginer l'existence sociale en dehors du travail !" (Loic Wacquant) La métamorphose du travail.

A l’occasion de la sortie du 5e forum thématique du Digital Society Forum consacré aux transformations du travail à l’heure du numérique (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée, la troisième aux nouvelles formes d’apprentissage et la quatrième au migrant connecté). Ce forum réalisé en partenariat avec la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous donne l’opportunité de republier la contribution d’Amandine Brugière, coresponsable du programme Digiwork de la Fing, qui dresse un bilan très synthétique des enseignements du groupe de travail. En attendant Lift with Fing, qui du 21 au 23 octobre 2014, sera consacré à ce thème… Qu’est-ce qui ne va plus avec le travail ? Qu’est-ce qui, depuis si longtemps, ne va “plus” avec le travail ?

Alors même que les pays de l’OCDE n’ont jamais bénéficié de populations aussi instruites et formées qu’aujourd’hui [4] ? Qu’est-ce que le travail ? « Je serais tellement plus utile au chômage » Notre société marche sur la tête. Un seul objectif : le plein emploi. Sans se demander si les activités créées sont utiles à la société, ou si elles sont nuisibles.

Être rentable et « booster la Sainte Croissance » est devenu plus important que de donner du sens au travail. « A chaque fois que je pensais à quelque chose d’utile à la société, c’était impossible de pouvoir en vivre », explique Jérôme Choain. Témoignage de cet ingénieur qui a décidé de vivre et travailler autrement. Je suis exaspéré. Si, si. Je n’entends parler que d’emploi. J’ai 45 ans, je suis né en 68, année de certains rêves. Reconnaissance sociale On a besoin d’argent pour vivre, soit. Restons-en donc aux faits. Notre société nous éduque à lui nuire Je suis ingénieur.

Il y a deux ans ma femme et moi avons pris une décision un peu folle : tout larguer pour aller s’installer au bord de la mer. Cela n’empêche que je me suis posé beaucoup de questions à cette époque sur ce que j’allais faire de ma vie. Émancipation. Le principe de Peter - incompétence au travail. La politique française enfermée dans la caverne de Platon | Jean-Christophe Desprès. Au lendemain des élections municipales, le monde politique et médiatique se retrouve confronté à la traditionnelle gueule de bois consécutif à l'ingestion massive du cocktail abstention/FN consommé à toujours plus haute dose.

En fait, la société française semble avoir le vin mauvais depuis trop d'années et on voit pointer le nez de nos Diafoirus bien déterminés à administrer leur poudre de perlimpinpin à des malades dont on on diagnostiqué le mal sans même prendre le temps de les examiner sérieusement. 2 potions pas du tout magiques semblent caractériser le droitdanslemurisme qui s'annonce : le pacte de responsabilité et l'autorité républicaine. La macro (économie) à la papa Le premier, rejeton étrange du Hollandisme et du Medef postule qu'une baisse des charges va permettre aux entreprises de restaurer leurs marges et donc d'embaucher. Le premier repose sur le lien entre croissance et emploi.

Le règne du "Il ne faut pas... " Le mantra du jour. La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle | Les dossiers. Vous estimez que la lutte contre le chômage n'est, visiblement, pas la priorité de ceux qui nous gouvernent ? Vous vous étonnez qu'il n'y ait, sur ce point et depuis si longtemps, jamais de projet qui tienne la route et vous vous demandez pourquoi ? Voici la réponse. Sachez, vous qui venez de perdre votre emploi et goûtez aux joies de la précarité tant vantée par Laurence Parisot, que le chômage est voulu et planifié car il est un outil économique et psychologique indispensable au bon fonctionnement du système ultralibéral mondialisé dans lequel nous vivons. Contenir l'inflation => LIRE ICI notre article qui lui est entièrement consacré Tout cela se tient.

Dérèglementer le travail et détruire les acquis sociaux Rien ne vaut le chômage, véritable aubaine pour le patronat ! Notre protection sociale (maladie, chômage, retraite…) étant dépendante des revenus de l'emploi (cotisations sociales), quand on détruit l'un, on affaiblit l'autre (déficit). La lutte contre le chômage ? Conso alternative : « Les classes moyennes ont changé de valeurs » Partager le travail devenu une ressource rare. Si l'on compare les pays industrialisés à la situation dans laquelle ils se trouvaient, il y a 100 ou 150 ans, on ne peut que constater les énormes gains de productivité qui ont été réalisés et qui ont permis une réduction importante du temps travail et une amélioration du niveau de vie. Dans les entreprises, chaque gain de productivité a deux conséquences possibles, chacune d'elles pouvant prendre des formes différentes. Ainsi, un gain de productivité peut conduire à : 1) une baisse du volume de travail nécessaire : 1.1) au profit du salarié qui, pour une même rémunération, pourra travailler moins longtemps.

Il y a donc moins d'heures travaillées pour chacun.1.2) au profit de l'actionnaire qui verra ses bénéfices s'accroître car il aura besoin de moins de charges de personnel pour réaliser la même production. Conséquences : maintien de la durée du travail pour les uns et perte d'emploi pour les autres. Et ainsi de suite,. Pierre Tourev, 12/11/2011. L'obsolescence du sens. Les deux sources de l’absurdité 1. L’absence d’eidos du travail Ce n’est vraiment pas sans raison que nous parlons de l’« absurdité de la vie actuelle ». Ce que nous voulons surtout dire par là ou, mieux, ce qui est au fondement de ce très légitime sentiment est quelque chose qu’on pourrait appeler, en langage académique, la « structure intentionnelle négative de notre travail actuel ». C’est le cas : - 1. parce que le chemin entre notre premier geste sur la chaîne et le produit définitif de cette chaîne est infiniment médiatisé ; - 2. parce que dans « notre » produit entrent aussi de nombreuses opérations d’autres ouvriers et qu’à travers ces broussailles, nous ne distinguons pas notre propre contribution de celle des autres.

Manifestement, l’« absence d’eidos » et la « transcendance » – qui, même si elles n’ont pas été nommées, existent depuis plus d’un siècle – sont tout sauf des qualités simplement contingentes et empiriquement constatables du travail et de la production. 2. 3. 4. 5. Le coût de la lâcheté est bien supérieur à celui du courage. Dans le monde du travail comme en politique, le salut des démocraties dépend de notre capacité à réapprendre le courage. Cette vertu est au centre du dernier ouvrage de la philosophe Cynthia Fleury, de passage à Genève à l’occasion du centenaire de Jeanne Hersch.

Entretien Campus: Votre livre est fondé sur l’idée qu’une démocratie sans courage est une démocratie qui court à sa perte. Qu’est-ce qui fonde le lien entre ces deux notions? Cynthia Fleury: Mon domaine de recherche porte sur les outils de la régulation démocratique. Mon objectif est de comprendre ce qui fait que le système fonctionne ou dysfonctionne, et comment les individus peuvent prendre part à cette régulation. Les démocraties ont développé, historiquement, deux façons de la concevoir.

Laquelle? Mon hypothèse est que le courage permet de protéger la démocratie contre les effets pervers que le système engendre. Comment en est-on arrivé là? Vous portez également un regard très critique sur le monde politique… Critiques du travail | diverses analyses. 12 novembre 2008 - Emile Pouget Le Sabotage (HTML) (PDF,1005.4 ko) (PDF,1018.3 ko) C’est au nom des prescriptions de cette morale spéciale que les ouvriers doivent trimer dur et sans trêve au profit de leurs patrons et que tout relâchement de leur part, dans l’effort de production, tout ce qui tend à réduire le bénéfice escompté par l’exploiteur, est qualifié d’action immorale.

Par contre, c’est toujours en excipant de cette morale de classe que sont glorifiés le dévouement aux intérêts patronaux, l’assiduité aux besognes les plus fastidieuses et les moins rémunératrices, les scrupules niais qui créent l’honnête ouvrier, en un mot toutes les chaînes idéologiques et sentimentales qui rivent le salarié au carcan du capital, mieux et plus sûrement que des maillons de fer forgé. De cette morale scélérate la classe ouvrière est donc saturée jusqu’à profusion. BONUS : dossiers associés ==> Travail # activité, création, participation... émancipation.