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[ repères gouvernementaux ]

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Liste des porte-parole du gouvernement français. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le porte-parole peut avoir une autre fonction dans le gouvernement (sans distinction de position hiérarchique — il peut être ministre, ministre délégué ou secrétaire d'État), mais pas nécessairement, auquel cas il est secrétaire d'État auprès du Premier ministre. Notes et références[modifier | modifier le code] Dans le Journal officiel de la République française (JORF), sur Légifrance : Autres références : ↑ Véronique Gaurel, « Un gouvernement retouché [archive] », Soir 3, 30 mars 1998, sur le site de l'INA.↑ Olivier Schrameck, Matignon Rive Gauche : 1997-2001, Seuil,‎ 2001, 189 p.

Voir aussi[modifier | modifier le code] Union pour un mouvement populaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Processus de fondation : l'Union pour la majorité présidentielle[modifier | modifier le code] 2002-2004 : les années Juppé[modifier | modifier le code] Alain Juppé, président-fondateur de l'UMP de 2002 à 2004. 2004-2012 : les années Sarkozy[modifier | modifier le code] Nicolas Sarkozy, président de l'UMP de 2004 à 2007, en meeting pour la campagne présidentielle de 2007. 2004-2007 : la préparation de la présidentielle[modifier | modifier le code] 2007-2012 : Nicolas Sarkozy, président de la République[modifier | modifier le code] Les élections législatives de 2007 ont lieu sur le thème de donner au président les moyens ou non de gouverner.

À partir de ce moment se pose la délicate question de la succession de Nicolas Sarkozy à la tête de l'UMP. Le 5 décembre 2008, Patrick Devedjian est nommé ministre de la Relance économique. Depuis mai 2012[modifier | modifier le code] Gouvernement François Fillon (1) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il s'agit du premier gouvernement du président de la République Nicolas Sarkozy. Le gouvernement nommé le comporte quinze ministres, quatre secrétaires d'État et un haut-commissaire[1]. Ouverture au centre et à gauche Nicolas Sarkozy a, durant sa campagne, annoncé sa volonté d'inscrire son gouvernement dans une démarche d' « ouverture[2] » vers d'autres partis, notamment ceux du centre ou de la gauche. Il compte un ministre, deux secrétaires d'État et un Haut-Commissaire issus de la gauche ou marqué à gauche (respectivement Bernard Kouchner, Éric Besson, Jean-Pierre Jouyet et Martin Hirsch), ainsi qu'un ministre issu du centre (Hervé Morin).

Parité hommes femmes Le gouvernement comporte sept femmes sur quinze ministres. Origines professionnelles Quatre énarques seulement font partie de ce gouvernement. Le 23 mai, le premier ministre a participé au grand meeting de l'UMP à Marseille. Gouvernement François Fillon (2) Gouvernement François Fillon (3) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Au , ce gouvernement compte trente-trois membres : le Premier ministre, un ministre d'État, quatorze ministres de plein exercice, neuf ministres auprès d'un ministre et huit secrétaires d'État. La composition de ce gouvernement a été annoncée le à 20 h 15, depuis le perron du palais de l'Élysée, par le secrétaire général de la présidence de la République, Claude Guéant, et a été publiée au Journal officiel du [2],[3]. Premier ministre : François Fillon. Ministre auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement : Patrick Ollier. Le , à la suite de polémiques autour de son attitude lors de la révolution tunisienne, la ministre d’État, ministre des Affaires étrangères et européennes Michèle Alliot-Marie démissionne. Elle est remplacée par Alain Juppé, jusque-là ministre d’État, ministre de la Défense et des Anciens combattants[4].

Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (1) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nomination du Premier ministre a été publiée au Journal officiel du 7 mai 2002[1] et celle des membres du gouvernement au J.O. du 8 mai 2002[2]. Ce gouvernement de 42 jours a démissionné à la suite des élections législatives de 2002 (J.O. du 18 juin 2002[3]). 9 juin : premier tour des élections législatives : Abstention record 35,58 %, UMP 33,37 %, UDF + DVD 8,75 %, FN 11,34 %, PS 24,11 %, PC + extrême gauche 7,61 %.16 juin : au second tour des élections législatives, l'UMP remporte la majorité absolue au parlement : abstention record 39,71 %, UMP 355 sièges, UDF + divers droite 44 sièges, PS 140 sièges, PC 21 sièges, divers gauche 17 sièges.17 juin : fin du premier gouvernement de Jean-Pierre Raffarin, Premier ministre, comme il est de coutume après une élection législative, et début du deuxième gouvernement de Jean-Pierre Raffarin.

Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (2) Gouvernement Jean-Pierre Raffarin (3) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nomination du Premier ministre est publiée au J.O. du 31 mars 2004, et celles des membres du Gouvernement au J.O. du 1er avril 2004[1]. Secrétaire d’État auprès du ministre de l’équipement, des transports, de l’aménagement du territoire, du tourisme et de la mer, chargé de l’aménagement du territoire : Frédéric de Saint-Sernin (en remplacement de Philippe Briand) Démission de Tokia Saïfi et suppression du poste de secrétaire d’État auprès du ministre de l’écologie et du développement durable, chargée du développement durable Ministre de l’économie, des finances et de l’industrie : Thierry Breton (à la suite de la démission d’Hervé Gaymard) Le Gouvernement démissionne à la suite du référendum sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe.

François Fillon parle d'un « 21 avril à l'envers ». Or, selon la plupart des observateurs, y compris dans ses rangs, la gauche n'a pas gagné sur ses idées et sur ses propositions. Loi handicap. Gouvernement Dominique de Villepin. Parti socialiste (France) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La déclaration de principes du Parti socialiste fixe les valeurs fondamentales dont se réclame le PS.

La première déclaration de principes de 1905 déclarait dans son premier article[8] : Cette déclaration réaffirme le caractère révolutionnaire du PS et reste fidèle au marxisme sur un grand nombre de points : « Le caractère distinctif du Parti socialiste est de faire dépendre la libération humaine de l’abolition du régime de la propriété capitaliste qui a divisé la société en classes nécessairement antagonistes, et créé pour l’une la faculté de jouir de la propriété sans travail, pour l’autre l’obligation de vendre son travail, et d’abandonner une part de son produit aux détenteurs du capital. »[9].

Après le regroupement de la « gauche non communiste » cette déclaration insiste sur le caractère « révolutionnaire » du Parti socialiste : « L’utilisation des réformes implique que l’on ait conscience de leur valeur et de leurs limites. Gouvernement Manuel Valls. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le gouvernement Manuel Valls est le trente-septième gouvernement de la Ve République française et celui actuellement en fonction. Il s’agit du troisième gouvernement nommé par le président de la République François Hollande. Les autres ministres sont nommés par décret présidentiel dans la matinée du mercredi 2 avril[2] et la composition du nouveau gouvernement est annoncée le même jour à 11 h 25 heure de Paris[3], suivie dans l'après-midi par les premières passations de pouvoir entre les anciens ministres et leurs successeurs[4].

La liste des secrétaires d'État est annoncée le mercredi 9 avril 2014 à 16 h 50[5]. Contexte[modifier | modifier le code] Départ des écologistes[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code] Premier ministre[modifier | modifier le code] Ministres[modifier | modifier le code] Secrétaires d'État[modifier | modifier le code] Déclaration de politique générale[modifier | modifier le code]

Gouvernement Jean-Marc Ayrault (1) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Premier ministre a été nommé par un décret du président de la République en date du [1]. Les autres membres ont été nommés par un décret présidentiel en date du [2] ; il s'agit du premier gouvernement nommé par le président de la République François Hollande. Pendant sa campagne présidentielle, François Hollande n'a voulu dévoiler aucune information sur le futur gouvernement, si ce n'est que la parité hommes-femmes serait respectée, ce qui est le cas sans prendre en compte le Premier ministre : 18 ministres, dont 9 hommes et 9 femmes, et 16 ministres délégués, dont 8 hommes et 8 femmes.

Seule Fleur Pellerin n'exerçait aucun mandat électif au moment de sa nomination. Parmi les autres, on compte : La moyenne d'âge de l'ensemble du gouvernement à sa nomination est de 52 ans[6]. Parmi les ministres de plein exercice (le Premier ministre et les 18 ministres), la moyenne d'âge est de 54 ans. Gouvernement Jean-Marc Ayrault (2) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les autres membres du gouvernement ont été nommés par un décret en date du [3]. Il s'agit du deuxième gouvernement nommé par le président de la République François Hollande. Le 31 mars 2014, en réponse à la défaite de la gauche aux élections municipales de 2014, Jean-Marc Ayrault présente la démission de son gouvernement, qui est acceptée le même jour[4].

Suite aux décrets des 18 et , du et du , le gouvernement compte : 10 ministres femmes pour 10 ministres hommes ;8 ministres déléguées femmes pour 9 ministres délégués hommes. À la suite de l'affaire Cahuzac, les membres du gouvernement ont dû dévoiler leur patrimoine[6]. Parmi les ministres : Au moment de sa nomination, la moyenne d'âge du gouvernement Jean-Marc Ayrault II est de 53 ans : la ministre la plus jeune est Najat Vallaud-Belkacem, 34 ans, benjamine à quelques jours près de Sylvia Pinel ;la ministre la plus âgée est Anne-Marie Escoffier, 69 ans.

Portefeuilles divisés : Éléphant du parti socialiste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] L'expression remonte à 1973, lorsque, au congrès de Grenoble, un militant aurait dit à un journaliste : « voilà les éléphants qui vont se réunir », alors que d'anciens ténors de la SFIO s'apprêtaient à s’assembler.

Il semble que l'expression provienne d'une confusion entre un poème de Leconte de Lisle intitulé Les Éléphants, tiré des Poèmes barbares, et un vers de Victor Hugo : « C'était l'heure tranquille où les lions vont boire » extrait de La Légende des siècles et plus particulièrement de Booz endormi. L'auteur de cette référence aurait dit : « C'est l'heure tranquille où les éléphants vont boire ». En général, les éléphants sont des meneurs de courants d'opinion au sein du parti socialiste, des dirigeants de grosses fédérations, des élus à des sièges emblématiques ou des membres du bureau national du parti socialiste. Sources[modifier | modifier le code] « Éléphant du PS », sur Politique.net. Liste des partis et mouvements politiques français. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition légale[modifier | modifier le code] si elle a bénéficié de l’aide publique (art. 8 et 9 de la loi du 11 mars 1988) ou si elle a régulièrement désigné un mandataire financier (art. 11 à 11-7) ;ou si elle a déposé des comptes certifiés par deux commissaires aux comptes auprès de la CNCCFP (art. 11-7)[1]. » Selon cette définition, la CNCCFP comptabilisait 378 formations politiques en 2012[2].

Principaux blocs politiques[modifier | modifier le code] Principaux partis ou coalitions mis à jour après les élections sénatoriales 2014 Partis parlementaires[modifier | modifier le code] Représentation au Parlement européen[modifier | modifier le code] L'Assemblée comprend aussi deux DVG (un proche des socialiste, une proche du Front de Gauche). Partis suivant leur positionnement politique[modifier | modifier le code] Extrême droite[modifier | modifier le code] Centre[modifier | modifier le code] Extrême gauche[modifier | modifier le code]