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Réflexion sur les projets Google

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Don't be evil ("devise" de Google) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Don't be evil (littéralement, « Ne soyez pas malveillants ») est la devise ou le slogan informel de Google. Le sixième point du décalogue philosophique de Google stipule : « Il est possible de gagner de l'argent sans vendre son âme au diable ».

En termes de culture d'entreprise, cette devise est devenue le pilier identitaire central de Google[1]. Historique[modifier | modifier le code] Originellement suggéré par les employés de Google Paul Buchheit et Amit Patel, la phrase figurait même en tête du courrier adressée aux investisseurs, quelque temps avant l'entrée de Google en bourse au printemps 2004. Larry Page a écrit que « Par cette phrase qui est notre devise, nous avons tenté de définir précisément ce qu'être une force bénéfique signifie - toujours faire la chose correcte, éthique ». Cette devise résume assez bien la volonté supposée de Larry Page et Sergey Brin qui tend à faire de Google une société qui œuvre pour un monde meilleur. The Banality of ‘Don’t Be Evil’ by Julian Assange.

Photo “THE New Digital Age” is a startlingly clear and provocative blueprint for technocratic imperialism, from two of its leading witch doctors, Eric Schmidt and Jared Cohen, who construct a new idiom for United States global power in the 21st century. This idiom reflects the ever closer union between the State Department and Silicon Valley, as personified by Mr. Schmidt, the executive chairman of , and Mr. Cohen, a former adviser to Condoleezza Rice and Hillary Clinton who is now director of Google Ideas. The authors met in occupied Baghdad in 2009, when the book was conceived. Strolling among the ruins, the two became excited that consumer technology was transforming a society flattened by United States military occupation.

They decided the tech industry could be a powerful agent of American foreign policy. In the book the authors happily take up the white geek’s burden. The authors are sour about the Egyptian triumph of 2011. I have a very different perspective. Google, 194e État mondial ? Si l’on parle de chiffre d’affaires, le géant d’Internet pèse désormais autant qu’un pays de taille moyenne. Avec 50 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2012, il se situe désormais à la hauteur des PIB du Maroc ou du Koweit. Quant à sa rentabilité: 14 milliards de dollars de bénéfices, elle fait rêver tous les gouvernements de la planète. On comprend mieux pourquoi Monsieur Éric Schmidt, son dirigeant, considère désormais que les chefs d’État sont ses interlocuteurs naturels, comme il l’a prouvé au cours de ses récents déplacements en France, le 20 octobre 2012 et le 31 janvier 2013, où il a été reçu par François Hollande.

En janvier, sa visite en Corée du Nord, pays où aucun officiel américain ne s’est rendu depuis fort longtemps, confère à son entreprise une dimension qui n’est pas seulement commerciale. Comme d’autres multinationales, Google et les géants de l’Internet pratiquent une optimisation fiscale qui est amplifiée par l’activité par nature mondiale de l’ Internet. Skynet [Terminator] "Intelligence Artificielle"

Skynet (satellite) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lancement du premier satellite Skynet, Skynet 1A, par une fusée Delta en 1969 depuis Cap Canaveral Skynet est une famille de satellites de télécommunications militaires britanniques, qui fournit des services de communication stratégiques aux trois branches des forces armées britanniques et aux forces de l'OTAN. Skynet 3 a été abandonné au profit de Skynet 4, plus avancé. Représentation d'un Skynet-5. Skynet 5 est la nouvelle génération de satellites, remplaçant le système existant Skynet 4.

EADS Astrium est responsable de la construction et de la mise en orbite des satellites, tandis que sa filiale Paradigm Secure Communications est responsable de la prestation de services au ministère britannique de la Défense. BONUS : rappels ==> Les projets factuels Google.