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Le logiciel des multiples et des communs ღ

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Pair à pair. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pair à pair

Le pair à pair peut être centralisé (les connexions passant par un serveur central intermédiaire) ou décentralisé (les connexions se faisant directement). Il peut servir au partage de fichiers en pair à pair, au calcul distribué ou à la communication. Principe général[modifier | modifier le code] Le pair-à-pair a permis une décentralisation des systèmes, auparavant basés sur quelques serveurs exposés à la censure et à l'enregistrement en masse de données privées : il permet à tous les ordinateurs de jouer directement le rôle de client et serveur (voir client-serveur).

En particulier, les systèmes de partage de fichiers permettent de rendre les objets d'autant plus disponibles qu'ils sont populaires, et donc répliqués sur un grand nombre de nœuds. P2P anonyme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

P2P anonyme

Attention : cette page, provenant de la Wikipédia anglophone, est en cours de traduction et d'aménagement ! Un travail de restructuration et de synthèse serait nécessaire. Un système de communications P2P anonyme est un réseau pair à pair (peer to peer) dans lequel les nœuds ou participants présentent un fort degré d'anonymat. La principale différence entre ces réseaux anonymes et les réseaux "classiques" réside dans leurs méthodes particulières de routage ou chaque participant ignore tout du ou des participants voisins, et permettent ainsi la libre circulation des informations. Holarchy. Different meanings[edit] David Spangler uses the term in a different meaning: "In a hierarchy, participants can be compared and evaluated on the basis of position, rank, relative power, seniority, and the like.

Holarchy

But in a holarchy each person’s value comes from his or her individuality and uniqueness and the capacity to engage and interact with others to make the fruits of that uniqueness available. Holonic map. Bien commun (homonymie) Biens communs. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Biens communs

Les biens communs correspondent en économie à l'ensemble des ressources, matérielles ou non, qui sont rivales et non-exclusives. Traiter un bien commun comme un bien privé conduit à sa destruction, comme l'a souligné Garrett Hardin. Dès lors se pose la question de sa régulation. Biens communs informationnels. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Biens communs informationnels

Les biens communs informationnels désignent les ressources informationnelles produites et mises en valeur par une communauté autonome et qui constituent à ce titre des biens communs. Cette notion s'applique notamment, mais pas exclusivement, aux productions éditoriales publiées sous licence libre ou entrées dans le domaine public.

Origine et diffusion du concept[modifier | modifier le code] Le concept de bien commun informationnel a été initialement introduit par le chercheur et informaticien Philippe Aigrain. Biens communs numériques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Biens communs numériques

Les biens communs numériques correspondent à l'ensemble des ressources numériques produites et gérées par une communauté. Comme les autres biens communs informationnels, ils se caractérisent leur non-rivalité : leur usage n'est pas exclusif et ne les détériore pas. En raison de leur caractère facilement duplicable, les biens numériques sont par nature propres à « une gestion partagée et collective »[1]. De nombreux acteurs défendent ce mode de production et de gouvernance, comme la Free Software Fondation en faveur des logiciels libres ou la fondation Wikimédia par ses dispositifs collaboratifs centralisant la connaissance.

Creative Commons. Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs[1].

Creative Commons

L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Logiciel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Logiciel

Logiciel libre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Logiciel libre

Logo du projet GNU, initiateur du mouvement du logiciel libre. Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement[1]. Ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus[2]. Open source. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Open source

La désignation open source, ou « code source ouvert », s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises[1] : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public.

. « Préhistoire »[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Théorie algorithmique de l'information. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Théorie algorithmique de l'information, initiée par Kolmogorov, Solomonov et Chaitin dans les années 1960, vise à quantifier et qualifier le contenu en information d'un ensemble de données, en utilisant la théorie de la calculabilité et la notion de machine universelle de Turing.

Cette théorie permet également de formaliser la notion de complexité d'un objet, dans la mesure où l'on considère qu'un objet (au sens large) est d'autant plus complexe qu'il faut beaucoup d'informations pour le décrire, ou - à l'inverse -, qu'un objet contient d'autant plus d'informations que sa description est longue. La théorie algorithmique de l'information est fondée sur cette équivalence : la description d'un objet est formalisée par un algorithme d'une machine de Turing, et sa complexité, ou son contenu en information, est alors formalisé par certaines caractéristiques de l'algorithme : sa longueur ou son temps de calcul. Incrémentation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En informatique, l'incrémentation est l'opération qui consiste à ajouter une valeur entière fixée à un compteur. L'opération inverse, la décrémentation, consiste à retirer une valeur entière au compteur.

Cette opération est très courante dans les programmes informatiques, notamment dans les boucles d'itération, si bien que la plupart[réf. souhaitée] des langages de programmation implémentent des opérateurs d'incrémentation et de décrémentation. Ainsi, dans un grand nombre de langages, la syntaxe suivante permet d'ajouter ou de retirer une unité à la variable x : x++ (resp. x--) en forme préfixée, qui équivaut à x = x + 1 (resp. x = x - 1)[1];++x (resp. Itération. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mathématiques, une itération désigne l'action de répéter un processus. Le calcul itératif, permet l'application à des équations récursives. Processus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom.

Le mot processus vient du latin pro (au sens de « vers l'avant ») et de cessus, cedere (« aller, marcher ») ce qui signifie donc aller vers l'avant, avancer. Ce mot est également à l'origine du mot procédure qui désigne plutôt la méthode d’organisation, la stratégie du changement. Selon la norme ISO 9000:2005 les définitions sont : processus : « ensemble d'activités corrélées ou interactives qui transforme des éléments d'entrée en éléments de sortie » ;procédure : « manière spécifiée d'effectuer une activité ou un processus ».

Autrement dit, le processus répond à la question « que faire ? Dans le cas d'une représentation sous forme de synoptique, le processus pourra être représenté sous forme d'une succession de rectangles correspondant aux étapes successives, tandis que seule la procédure comportera des losanges signifiant des choix entre deux actions. Système dynamique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En mathématiques, en physique théorique et en ingénierie, un système dynamique est un système classique[1] qui évolue au cours du temps de façon à la fois : On exclut donc ici conventionnellement les systèmes « bruités » intrinsèquement stochastiques, qui relèvent de la théorie des probabilités. Fractale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce terme était au départ un adjectif : les objets fractals (selon un pluriel formé sur l'exemple de "chantiers navals").

Les fractales sont définies de manière paradoxale, en référence aux structures gigognes dont ils constituent des cas particuliers : « Les objets fractals peuvent être envisagés comme des structures gigognes en tout point – et pas seulement en un certain nombre de points, les attracteurs de la structure gigogne classique. Cette conception hologigogne (gigogne en tout point) des fractales implique cette définition tautologique : un objet fractal est un objet dont chaque élément est aussi un objet fractal »[2]. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Un objet fractal possède au moins l'une des caractéristiques suivantes : sa dimension de Hausdorff est strictement supérieure à sa dimension topologique. Domaines de validité[modifier | modifier le code] Les systèmes de fonctions itérées. (pour homothétie). Complexité. Système complexe. Système multi-agents. Théorie du chaos.

Attracteur. Exploration de données. Bad guys ==> Enclosure. Logiciel propriétaire. BONUS : dossiers associés ==> Simplexité à terme. Culture du LIBRE, OpenSource ღ.