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L'électronique fait des économies d'énergie. L'efficacité énergétique gagne aussi les ordinateurs. La consommation électrique des appareils de notre quotidien, à commencer par les ordinateurs, reste un problème de taille, mais pas insoluble… Entre 70 et 95 % du temps, nos ordinateurs de bureau ou portables ne tournent qu’à bas régime. Et pourtant, ils consomment comme s’ils tournaient à plein régime, gâchant ainsi beaucoup d’énergie pour rien. La solution pourrait venir du Néerlandais Emile « Mux » Nijssen, lequel vient de concevoir un terminal qui ne consomme que 5,9 watts (W) au repos et seulement 74,5 à plein régime.

Selon le site américain ExtremeTech.com, un ordinateur de bureau « standard » utilise jusqu’à 150 W à pleine charge, aussi le produit de M. Njissen, baptisé « Fluffy2 », constitue-t-il une belle avancée en matière d’efficacité énergétique. Économie d’énergie et informatique ne sont pas antinomiques Soulignons également que « Fluffy 2 » n’est pas le premier ordinateur à basse consommation fabriqué par le Néerlandais. Des appareils photos en carton. Ca paraît un peu cheap de prime abord mais pourquoi ne pas offrir à l’un de vos proches un appareil photo en carton pour Noël ? Les appareils photo « classiques » sont fabriqués avec de nombreux composants comme du plastique ou des éléments métalliques pas forcément très écolos. Certains fabricants ont certes consenti des efforts sur les emballages ou le processus de fabrication mais ces appareils vont beaucoup plus loin en matière de respect de l’environnement.

Il en existe plusieurs modèles que l’on peut parfois monter soi-même. En plus d’être originaux, ils permettent aussi – surtout – de mieux comprendre comment fonctionne un appareil photo mais aussi les techniques de base comme l’utilisation de la lumière, le temps de pose etc. Le premier modèle est un Sharan STD-35. Le carton prédécoupé que vous recevez se monte en moins de deux heures et ne nécessite ni colle ni ciseaux.

Comptez 20 à 30 secondes d’exposition par temps lumineux, un peu plus par temps nuageux. Un data center zéro émission, c’est possible. L'installation imminente d'un data center 100 % énergies renouvelables pourrait augurer de nouvelles perspectives pour Apple, Facebook, Google et tous ces géants d'Internet dont les centres de données présentent une consommation énergétique astronomique La consommation énergétique de ceux de Facebook et Apple (sans parler de ceux de Google est telle que Greenpeace a récemment appelé le duo à sortir de sa torpeur. L’un et l’autre semblent il est vrai répugner à s’affranchir définitivement de la tutelle des énergies fossiles, tandis que le géant californien vient de présenter son tout premier bilan carbone – Dieu que ce fut long – et que sa direction sait qu’elle va devoir enclencher la surmultipliée si elle ne veut pas que l’entreprise, indépendamment de ses investissements dans les énergies renouvelables, finisse par pâtir d’une réputation trop préjudiciable auprès des éco-citoyens.

. « Nous pouvons livrer des data centers presque partout dans le monde », a-t-il ajouté. Un revêtement pour éviter le gaspillage alimentaire (vidéo) LiquiGlide permet d'utiliser entièrement le contenu d'une bouteille de condiment, mais l’invention pourrait ne pas se cantonner au seul secteur de l'alimentation Ou comment consommer son ketchup ou sa moutarde jusqu’à la dernière goutte… Nous avons tous été quelque peu irrités de voir la propension de notre ketchup ou de notre moutarde à vouloir rester dans sa bouteille, au point de finir le plus souvent par la jeter alors qu’il reste encore de notre condiment favori à l’intérieur… Ce « sacrilège » est en passe de disparaître avec la toute dernière trouvaille du professeur Varanasi, chercheur au sein du prestigieux MIT (Massachusetts Institute of Technology). Ancien de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), une agence du département américain de la Défense chargée de la recherche et du développement de nouvelles technologies destinées à un usage militaire, ce dernier est plutôt un habitué des projets d’énergie et d’eau à grande échelle.

Crédits photos: LiquiGlide. Un nouveau « tissu » végétal mis au point en Grande-Bretagne. Le tissu est fabriqué à partir de thé vert, de sucre, de bactéries et de levure Il est l’oeuvre de la créatrice basée à Londres Suzanne Lee, dont la trouvaille pourrait faire florès dans les années à venir. Biodégradable et donc respectueux de l’environnement, il démontre en tout cas, à son tour, l’étendue des perspectives et des possibilités dont dispose la mode éthique, qui progresse lentement, mais sûrement à l’échelle planétaire. Fabriqué à partir de thé vert, de sucre, de bactéries et de levure, ce tissu, qui met environ deux semaines à « se former », a l’immense avantage de pouvoir être moulé, séché, coupé et/ou cousu à sa guise.

Sa durée de vie – comprenez le temps qu’il met à pourrir - a quant à elle été estimée à cinq années à l’issue desquelles il pourra être « composté avec toutes les épluchures des légumes », précise Mme Lee et qui a déjà été démarchée par plusieurs fabricants de renommée mondiale. Crédits photos : Coco Perez TV Vidéo (Ecorazzi) / Wikimedia Commons - Diligent. L’augmentation des quantités de déchets électroniques en Afrique est due à sa consommation intérieure. Entre 650 000 et un million de tonnes de déchets électroniques en Afrique de l’Ouest sont issus de la consommation intérieure Selon le rapport de l’ONU DEEE ? Où en sommes-nous en Afrique ? , publié en fin de semaine dernière et préparé par le Secrétariat de la Convention de Bâle et ses partenaires, la consommation intérieure des pays de l’Afrique de l’Ouest est le principal facteur de l’augmentation des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) dans la région.

De nombreux Etats industrialisés, pour la plupart européens, ont pris l’habitude d’envoyer des « cadeaux » électroniques, portables démodés et autres ordinateurs dépassés qui ne leur servent plus mais qu’ils souhaitent offrir aux pays en voie de développement. (PED) Si ces legs présentent d’indéniables avantages pour des populations qui ont un accès restreint aux nouvelles technologies, le cadeau est parfois empoisonné. Potentiels écologiques et dangers pour la santé. Energies renouvelables : le cloud computing en retard.

Le cloud computing n’accorde pas la place qu’elles méritent aux énergies renouvelables. Un rapport et un classement parus ce mois-ci portent sur les dessous de la consommation énergétique du cloud computing. Cette nouvelle technologie de stockage des données est en pleine expansion, d’où une demande en électricité de plus en plus élevées. Si certaines entreprises, parfois illustres, s’appuient surtout sur le charbon, d’autres se tournent davantage vers les énergies renouvelables (biomasse, énergie solaire etc.). L’Uptime Institute a dévoilé hier son classement des entreprises informatiques les plus vertes. Un peu plus tôt ce mois-ci, Greenpeace a de son côté publié un rapport sur la consommation énergétique de ses entreprises, en forte augmentation. L’organisation environnementale a aussi adressé un carton jaune à Microsoft, Apple et Amazon, qui avec respectivement 13,9 %, 15,3 % et 13,5 % d’électricité émanant des énergies renouvelables sont encore loin du compte.