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Alimentation : place à l’innovation, Alimentation : place à l’innovation. Eaty : le triporteur qui a tout bon, tout bio, Alimentation : place à l’innovation. Mixer produits sains, « comme à la maison » et proximité : voilà Eaty, une création bretonne qui a tout bon.

Eaty : le triporteur qui a tout bon, tout bio, Alimentation : place à l’innovation

Après plusieurs créations de restaurants très gourmands à Rennes, Christophe Boisselier s'est lancé un nouveau défi en 2008, en créant Eaty. « Quand je voyais des salariés passer 30 minutes dans les bouchons en voiture pour juste aller chercher un sandwich, en pleine époque où l'on fait attention à l'environnement, je me suis dit qu'il fallait inventer quelque chose, explique-t-il. En Asie, la nourriture est partout dans les rues grâce au triporteur.

J'ai donc lancé le concept en Bretagne ! » Eaty propose ainsi chaque midi des plats apportés par triporteur aux salariés rennais. Dans les « gamelles », que du bon : « Je propose des salades, des sandwiches, des soupes et des plats chauds bio, avec des ingrédients tous produits à moins de 200 km. Carte des vins nouvelle génération Toujours en quête de nouveautés, Christophe Boisselier vient de se lancer dans une nouvelle création. Deenox déclare la guerre à la gueule de bois, Alimentation : place à l’innovation. Remue-ménage dans les gamelles, Alimentation : place à l’innovation. Les Scop : créer ou reprendre une PME autrement ! , Scop. Usis : la Scop les a sauvés du dépôt de bilan, Scop. Créée en 1986, Usis est une PME des Bouches-du-Rhône spécialisée dans la chaudronnerie lourde et l'usinage de précision.

Usis : la Scop les a sauvés du dépôt de bilan, Scop

Un secteur en profonde mutation qui a conduit cette entreprise au dépôt de bilan en 2003. Aujourd'hui, Usis est toujours là, avec un nouveau visage, celle d'une Scop florissante. Rencontre avec son gérant, Mathieu Odaimy. Vidéo : Patrick Lenancker, président de la Confédération générale des Scop , Scop. Un modèle économique anti-crise ? , Scop. On l'a vu, les SCOP tranchent dans le paysage économique traditionnel.

Un modèle économique anti-crise ? , Scop

Si elles sont des entreprises à part entière, elles proposent des modèles de management et de redistribution alternatifs. Le capital de l'entreprise n'a plus vocation à rémunérer les capitaux mais à pérenniser l'activité et l'emploi avant tout. Elles sont donc aujourd'hui souvent au cœur des questionnements, des préoccupations. « Décideurs, dirigeants d'entreprise, responsables politiques sont en recherche de solutions pour recréer une économie qui serve la création de richesses et le bien commun, plutôt que la maximisation des patrimoines, et qui soit orientée sur le long terme plutôt que sur le court terme, souligne ainsi Patrick Lenancker, président de la Confédération générale des Scop.

Une mine pour les créateurs et les repreneurs, Scop. Pour qui ?

Une mine pour les créateurs et les repreneurs, Scop

La Scop, c'est une formule particulièrement bien adaptée à ceux qui souhaitent « entreprendre autrement ». Elle permet en effet une plus grande appropriation de l'outil de travail, une meilleure maîtrise de l'entreprise via une implication directe dans sa gestion, ses décisions. Elle est adaptée à ceux qui recherchent plus d'autonomie, d'indépendance tout autant que ceux qui accordent une grande importance au travail « d'équipe ». Pour la reprise également La formule des Scop permet de reprendre une entreprise, qu'elle soit en difficulté (liquidation ou redressement) ou que cela soit dû au départ à la retraite de ses dirigeants.Quand une entreprise ne trouve pas de successeur, ce qui est un phénomène croissant, les salariés disposent en effet de nombreux atouts à mettre en avant pour reprendre les rennes de leur PME. Dans quels secteurs ? Les Scop ne sont plus associées à des métiers artisanaux. Les Scop : les points clés, Scop.

L'innovation au service de l'intérêt général, L'innovation au service de l'intérêt général. Des réseaux pour vous soutenir, L'innovation au service de l'intérêt général. Longtemps « ghettoïsé », le secteur se structure, notamment sous forme de réseaux offrant conseils, bonnes pratiques, accompagnement aux (futurs) entrepreneurs sociaux.Les créateurs peuvent tout d'abord se tourner vers les structures d'appui classiques à la création d'entreprise (Boutiques de Gestion, Adie, par exemple).

Des réseaux pour vous soutenir, L'innovation au service de l'intérêt général

Réseau Entreprendre a mis en place un programme « Entreprendre autrement » adapté à l'entrepreneuriat social. Le Mouves (Mouvement des entrepreneurs sociaux) fédère et représente les entrepreneurs sociaux. Un de ces objectifs est de créer un label Entreprise sociale et des formations d'entrepreneurs sociaux. Les clefs pour structurer un projet, L'innovation au service de l'intérêt général. Les initiatives du champ de l'économie sociale et solidaire se sont longtemps développées dans le domaine associatif, coopératif ou mutualiste.

Les clefs pour structurer un projet, L'innovation au service de l'intérêt général

Aujourd'hui, la donne a changé et on trouve des SA acteurs majeurs de l'entrepreneuriat social. « Le point commun des entrepreneurs sociaux, ce n'est pas un statut, mais une même volonté de résoudre un problème en inventant de nouveaux modèles économiques »,souligne ainsi Arnaud Mourot, président d'Ashoka France. Reste que devenir un entrepreneur social, c'est tout d'abord, au premier sens du terme, entreprendre. Entreprises classiques et entrepreneurs sociaux : de nouvelles forces de coopération, L'innovation au service de l'intérêt général.

C'est pour relever des défis sociétaux sans cesse plus complexes que l'entrepreneuriat social a connu l'essor que l'on sait en France depuis quelques années.

Entreprises classiques et entrepreneurs sociaux : de nouvelles forces de coopération, L'innovation au service de l'intérêt général

Son originalité a toujours été d'associer l'inventivité du secteur non marchand à la rigueur des entreprises classiques et à la mobilité des start-up. Et c'est tout naturellement que les initiateurs de ces projets ont cherché à multiplier les partenariats. Avec succès.De fait, aujourd'hui, les entreprises traditionnelles comprennent l'avantage de s'associer avec ces nouveaux acteurs d'une « autre » économie. « Avant, les entreprises étaient dans une logique de mécénat essentiellement financier. Aujourd'hui, leur démarche devient plus globale.

Elles ne veulent pas seulement faire du business de façon traditionnelle, mais avoir un impact sur notre société. Lire également : « Les fondations, un maillon clef de l'économie sociale et solidaire » sur lesechos.fr. De la production de palette à l'écoconstruction solidaire, L'innovation au service de l'intérêt général. François Marty qui se consacre dès les années 1980 aux jeunes en difficulté lance en 1986 une entreprise de réinsertion fabriquant des palettes.

De la production de palette à l'écoconstruction solidaire, L'innovation au service de l'intérêt général

SPL, Scierie et Palettes du Littoral, implanté à Landrethun-le-Nord, près de Boulogne-sur-Mer, est aujourd'hui le leader français de la palette pour papetier. Le secret pour François Marty est dans « l'exovation - exploiter ce qui existe ici -plutôt que dans l'innovation. Ainsi ici nous avons réappris à travailler le peuplier, bois local : on le scie, on le sèche on le colle, ce qui a permis de créer des emplois »,explique-t-il. L'équation du financement solidaire, L'innovation au service de l'intérêt général.

Depuis le milieu des années 2000, l'entrepreneuriat social connaît un fort essor en Europe.

L'équation du financement solidaire, L'innovation au service de l'intérêt général

De plus en plus de personnes créent des structures dont l'objet est de résoudre une problématique sociale ou de servir l'intérêt collectif, avec l'émergence de nouveaux moyens de financement. « Le plus classique reste le financement public, sous forme de subventions. Mais l'Etat donnant de moins en moins d'argent, de nouveaux modèles apparaissent avec les fonds d'investissement éthiques, les " ventures" philanthropiques, les investisseurs privés... On va ainsi de plus en plus vers un environnement concurrentiel, et les entrepreneurs sociaux doivent désormais être capables de " se vendre" », explique Arnaud Mourot, directeur France-Suisse-Belgique d'Ashoka, organisation faisant la promotion de l'entrepreneuriat social et qui joue un rôle d'apporteur d'affaires.

Agriculture, enfance, insertion : trois initiatives originales, L'innovation au service de l'intérêt général. Un modèle pour les agriculteurs du Cambodge, L'innovation au service de l'intérêt général. En 2009, les deux associés réalisent donc une solide étude de terrain, au Cambodge : « Là-bas, les paysans ne sont pas regroupés, pas formés, pas équipés.

Un modèle pour les agriculteurs du Cambodge, L'innovation au service de l'intérêt général

En parallèle, dans les villes, les légumes sont importés et coûtent donc très cher. »Une opportunité de marché se crée. Le concept de Projet Alba ? Créer un nouveau modèle économique. L'équipe de Projet Alba se veut un nouvel intermédiaire, mettant en adéquation la production des paysans cambodgiens avec les demandes du marché local et international. « Hebdomadairement, nos techniciens iront au contact des producteurs à qui nous proposerons formation technique, contrôle qualité, accès aux financements du matériel, etc. Nous rachèterons leur production qui sera vendue sur les marchés des villes. »Ce modèle sera ensuite dupliqué sur d'autres produits (riz bio, poivre, etc.) pour le marché international, puis pourra être transposé dans d'autres pays. Comment cette autre manière d'entreprendre influence le monde des entreprises classiques, L'innovation au service de l'intérêt général.

Les points de vue croisés de Christian Poyau, président de la Fondation Croissance responsable et de Michel Meunier, président du Centre des jeunes dirigeants. L'entrepreneuriat social induit-il des logiques nouvelles influant sur l'ensemble du tissu économique ? Christian Poyau : Au sein des entreprises sociales apparaissent des objectifs nouveaux. La rentabilité n'est pas la première de leur priorité. Malgré tout, si la logique sociale passe avant tout, elle n'occulte pas la logique économique : toutes les entreprises se doivent d'être viables, et donc rentables. Boehringer Ingelheim veut innover en réseau, L'innovation au service de l'intérêt général. En s'associant avec le réseau Ashoka, Boehringer Ingelheim a mis à profit ses compétences pour s'investir dans l'entrepreneuriat social. Depuis trois ans, elle recrute à travers le monde des entrepreneurs sociaux. Son but : créer un réseau pour mettre en lumière les problématiques liées à la santé. « Chaque pays a ses particularités.

Notre but est déceler les besoins et tâcher d'y répondre »,explique Jean Scheftsik de Szolnok, vice-président de la zone Europe du Sud de Boehringer Ingelheim. Et pour élargir son réseau, l'entreprise participe à l'Ashoka Changemakers, un site sur lequel les entrepreneurs sociaux peuvent soumettre leurs idées en participant à des compétitions. Base du volontariat Les projets soutenus par Boehringer Ingelheim sont variés. Siel Bleu se développe en toute clarté, L'innovation au service de l'intérêt général. Créé en 1997, Siel Bleu, groupe associatif à but non lucratif, contribue à l'amélioration du bien-être et de la qualité de vie de plus en plus de personnes, et est devenu un acteur référent dans le domaine de la prévention santé. « Notre outil est l'activité physique adaptée, notre volonté est de garantir l'accessibilité financière au plus grand nombre, et notre objectif est de participer à l'amélioration de la qualité de vie et au maintien de l'autonomie des personnes fragilisées »,explique Jean-Michel Ricard, cofondateur de l'association.

Selon le dirigeant, l'activité physique n'est pas qu'un vecteur de soins, mais aussi un outil cognitif pour retrouver de la confiance en soi, un outil social au travers de rencontres, et un outil sociétal en améliorant la situation des personnes âgées ou fragilisées. « Elle réduit la fatigabilité, le risque de récidive de certaines maladies graves ou encore les fractures et les syndromes post-chutes »,détaille Jean-Michel Ricard. Jean-Louis Laville « L'économie sociale et solidaire représente un emploi sur dix en France », L'innovation au service de l'intérêt général. Les Fondations Edmond de Rothschild mobilisées pour l'éducation, L'innovation au service de l'intérêt général.

Depuis plusieurs années, les Fondations Edmond de Rothschild s'investissent très fortement dans l'entrepreneuriat social. Ce réseau de 12 entités, réparties notamment entre New York, Paris et Genève, soutient en effet près d'une centaine de projets dans le monde entier, avec comme grande thématique l'éducation. « Mais nous avons une définition de l'entrepreneuriat social assez restreinte par rapport à ce qu'on peut entendre aujourd'hui. Pour nous, l'entrepreneur social est véritablement à la recherche d'un impact social, au travers d'entités viables financièrement et qui cherchent à générer du revenu. Nous ne disons pas que tous les entrepreneurs pourront s'autofinancer, mais il est important qu'ils ne dépendent pas de nous »,explique Firoz Ladak, directeur des Fondations. « Aujourd'hui, nous ne sommes plus une entité caritative, nous sommes véritablement dans une approche plus stratégique, avec une vision ciblée sur l'accompagnement »,ajoute le dirigeant.

Danone déploie sa stratégie sociale, L'innovation au service de l'intérêt général. L'entrepreneuriat social fait partie de l'ADN de Danone. Depuis quarante ans, Antoine Riboud puis Franck Riboud, PDG du groupe, ne cessent de répéter que l'entreprise ne s'arrête pas aux portes des usines. L'entreprise a ainsi créé des plates-formes dédiées à cette nouvelle forme de business : Danone Communities pour promouvoir des projets innovants de « social business », le fonds Danone pour la Nature qui compense l'empreinte carbone de l'entreprise par la replantation d'arbres, mais aussi le fonds Danone pour l'Ecosystème dont le but est de prendre soin de l'environnement économique et social de la multinationale. « En 2009, nous avons cherché à soutenir les PME qui travaillent avec nous, en prenant compte de notre empreinte sociale »,raconte Muriel Pénicaud, présidente du conseil d'administration du Fonds pour l'Ecosystème et DGRH de Danone.

Tristan Lecomte « En réseau, les entrepreneurs sociaux sont plus forts », L'innovation au service de l'intérêt général. Vous avez été l'un des pionniers du commerce équitable avec Alter Eco, en 2002. Que retenez-vous de cette aventure ? Quand les entrepreneurs sociaux inventent de nouveaux modèles économiques, L'innovation au service de l'intérêt général. En tant qu'entreprise sociale, notre engagement est double : impact social et retour sur investissement sont liés. »Victor Combal-Weiss, polytechnicien et co-créateur de Projet Alba, une start-up sociale agissant pour le développement du Cambodge, est emblématique d'une nouvelle vague de créateurs : les entrepreneurs sociaux.

Du nouveau pour le financement des TPE. Des vacances pour créer, Des vacances pour créer. Un été pour lire… utile ! , Des vacances pour créer. Un été pour vous installer à la campagne, Des vacances pour créer. Un été pour trouver une idée de business à l’étranger , Des vacances pour créer. Couveuses, pépinières : faites grandir votre projet, Couveuses, pépinières : faites grandir votre projet. Témoignage : « La couveuse m’offre sécurité et recul », Couveuses, pépinières : faites grandir votre projet. Pépinières : un toit pour votre entreprise, Couveuses, pépinières : faites grandir votre projet.

Les coopératives d'activités et d'emploi (CAE) : devenir entrepreneur salarié, Couveuses, pépinières : faites grandir votre projet. Souvent moins connues, les CAE (qui sont des Scop) n'en sont pas moins intéressantes pour les porteurs de projet. Les couveuses : testez avant de vous lancer !, Couveuses, pépinières : faites grandir votre projet.

Vous souhaitez créer votre activité mais hésitez avant de sauter le pas ? Pour limiter les risques, vous pouvez tester votre idée grandeur nature, dans les conditions réelles, grâce à des structures comme les couveuses ou les coopératives d'activité. « Ces dispositifs sont vraiment parfaits pour tester une idée en toute sécurité », souligne ainsi Alexandra Barth, consultante pour l'APCE.En effet, un aspirant à la création d'entreprise, lorsqu'il bâtit son concept et formalise son idée, doit notamment étayer son projet avec des données chiffrées. Marché : devenir coach, les clés pour vous lancer, Marché : devenir coach, les clés pour vous lancer. Témoignage : Du coaching à cheval, Marché : devenir coach, les clés pour vous lancer. « Société de conseil et d'accompagnement managérial accompagné par les chevaux » : voilà une activité qui ne laisse pas de marbre.

Derrière cet intitulé se cache Aynooa, un concept original lancé par Jean-Loup Péguin et son épouse, Anne Sartori. Devenir coach : analyse du marché, Marché : devenir coach, les clés pour vous lancer. Ils se sont lancés : portraits de créateurs, Ils se sont lancés : portraits de créateurs. Pearl, la création comme nouveau départ, Ils se sont lancés : portraits de créateurs. Un très beau poste de formatrice en maquillage au sein d'une prestigieuse chaîne sur les Champs-Elysées, des projets… mais une envie pour la jeune Julie Rul : créer sa boîte. « J'ai démissionné et je suis partie aux Etats-Unis, dans l'idée de trouver une idée et me lancer là-bas. » Malheureusement, au bout d'un an, s'il ne reste plus grand-chose de ses économies, l'entreprise n'est toujours pas créée.

Julie revient en France mais avec tout de même une idée : le bubble tea, une boisson originale (à base de perles d'igname), née à Taïwan et qui fait un carton aux Etats-Unis. « Je n'avais plus rien pour me lancer. Je suis d'abord rentrée dans une couveuse d'entreprises pour travailler sur mon projet. Bagel Corner : Ils ont créé en sortant de l’école, Ils se sont lancés : portraits de créateurs. Un petit pain tout rond, percé en son centre, recouvert de graines multiples et garni selon ses envies : c'est le Bagel, un pain d'origine polonaise popularisé aux Etats-Unis. Et c'est la matière première de deux jeunes créateurs ambitieux, Michaël Cohen et Rachid Ez-Zaïdi, 23 et 25 ans. Certes, des boutiques proposent bien le bagel à Paris. Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Prix Coup de Cœur : Softetic, Frédéric Delechamp, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre.

Prix Entreprise de moins de 6 mois, Les Insurgés, Mickaël Bizouati et Matthieu Pinon, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Les créateurs : Voilà un duo de choc. Prix « 2ème vie professionnelle » Brand & Celebrities, Quentin Bordage et Sébastien Blanc, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Prix Création Innovante : Elvesys, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Prix Jeunes : Matthieu Scialom, 2B, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Prix Création au Féminin : Arbia Smiti, Carnet de Mode, Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Tendance : face au jury, des projets de qualité , Cré’Acc : six créateurs, six tendances à suivre. Les défis de la reprise d'entreprise, Les défis de la reprise d'entreprise.

S'appuyer sur une personne clef de l'ancienne organisation, Les défis de la reprise d'entreprise. S'imposer en nouveau patron, Les défis de la reprise d'entreprise. Savoir trancher quand on reprend l'activité en interne, Les défis de la reprise d'entreprise. Jean-Marc Parrot « La capacité de la société à générer du cash-flow est capitale », Les défis de la reprise d'entreprise. Patrimoine 4 conseils aux cédants pour réussir l'après-cession, Les défis de la reprise d'entreprise.  Limiter la période d'accompagnement , Les défis de la reprise d'entreprise. Eviter de se fâcher avec le cédant, Les défis de la reprise d'entreprise.

Etablir une relation de confiance avant la cession, Les défis de la reprise d'entreprise. 40 % d'apport pour convaincre, Les défis de la reprise d'entreprise. Un holding pour financer ses projets en souplesse, Les défis de la reprise d'entreprise. Un changement de cap à préparer, Les défis de la reprise d'entreprise. Financer un projet de reprise, Les défis de la reprise d'entreprise. Comment racheter au meilleur prix, Les défis de la reprise d'entreprise. Oublier les réflexes du salariat, Les défis de la reprise d'entreprise. Préparer sa famille au projet, Les défis de la reprise d'entreprise.

Yannick Hoche, responsable de la reprise d'entreprise à l'APCE « Compter dix-huit mois pour trouver la perle rare », Les défis de la reprise d'entreprise. Cibler l'entreprise selon son profil, Les défis de la reprise d'entreprise. Reprise ou création : le comparatif, Les défis de la reprise d'entreprise. Le marché de la reprise d'entreprise reste encore confidentiel, Les défis de la reprise d'entreprise. Business Model nouvelle génération : méthode ébouriffante pour entrepreneurs audacieux, Business Model nouvelle génération : méthode ébouriffante pour entrepreneurs audacieux. Entretien : « Même après Apple, tout reste à inventer par les créateurs ! », Business Model nouvelle génération : méthode ébouriffante pour entrepreneurs audacieux. « Business Model Generation » : les clés pour créer l’entreprise de demain, Business Model nouvelle génération : méthode ébouriffante pour entrepreneurs audacieux.