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L'empathie

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Dossier jeu. Darwinisme social. L'Entraide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Entraide. L'Entraide, un facteur de l'évolution (Mutual Aid : A Factor of Evolution) est un essai de l'écrivain anarchiste russe Pierre Kropotkine paru durant son exil à Londres en 1902. La première version française parut chez Hachette deux ans plus tard. Contenu[modifier | modifier le code] Pierre Kropotkine oppose l'entraide aux théories du darwinisme social sur la sélection naturelle.

Dans la pratique de l'entraide, qui remonte aux plus lointains débuts de l'évolution, nous trouvons la source positive et certaine de nos conceptions éthiques : nous pouvons affirmer que, pour le progrès moral de l'homme, le grand facteur fut l'entraide et non pas la lutte. Kropotkine s’insurge contre la vision réactionnaire et dangereuse de la vie en société où "l’homme est perçu comme un loup pour l’homme" qui est selon lui à la fois irréel et condamne à une vision de société cruelle. Citations[modifier | modifier le code] Main invisible. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Adam Smith. Passages où Smith emploie l'expression[modifier | modifier le code] La main invisible est une expression employée à trois reprises dans l'œuvre d'Adam Smith : dans History of Astronomy : « Car il peut être observé que dans toutes les religions polythéistes, parmi les sauvages comme dans les âges les plus reculés de l'Antiquité, ce sont seulement les événements irréguliers de la nature qui sont attribués au pouvoir de leurs dieux.

Les feux brûlent, les corps lourds descendent et les substances les plus légères volent par la nécessité de leur propre nature ; on n'envisage jamais de recourir à la « main invisible de Jupiter » dans ces circonstances. . — Adam Smith « History of Astronomy », 1755~, in W.P.D Wightman and J.C Bryce (eds), Adam Smith Essays on Philosophical Subjets, Clarendon Press, 1981, p. 49[1] dans la Théorie des sentiments moraux : — Adam Smith, 1999 [1759], Théorie des sentiments moraux, Léviathan, PUF, p.257. Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée. En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1.

Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Ce sujet mérite à lui seul un ouvrage, ce que fit Rizzolatti dont le livre co-écrit avec Corrado Sinigaglia, philosophe des science, a été traduit en français en 2008 chez Odile Jacob. Rappel des faits. . « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2. Il existe une sorte de mécanique, voire de dialectique des miroirs. Brzozowska. Neurones miroirs, empathie, et psychopathie. News of Tomorrow, 11 mars 2009 Par jsf Des circuits neurologiques prédisposent à l’empathie Les travaux d’Hugo Théoret démontrent que les neurones miroirs, à l’origine de l’empathie, sont perturbés chez les autistes Lorsque nous observons quelqu’un faire un geste, les circuits neuronaux qui commandent cet acte s’activent dans notre cerveau même si nous demeurons totalement immobiles.

Le phénomène se répète quand nous entendons un son associé à un mouvement particulier, comme taper des mains. Cette étonnante constatation a été faite sur des chimpanzés au début des années 90 et ce phénomène a été attesté par la suite chez les êtres humains. Les circuits neuronaux en question ont été appelés neurones miroirs parce qu’ils reflètent l’activité cérébrale de la personne qui accomplit le geste. Selon les théories actuelles, les neurones miroirs seraient à la base de l’apprentissage par imitation, une fonction centrale notamment dans l’apprentissage de la langue.

Déficit chez les autistes Références. Diagnostic et traitement de la sociopathie ordinaire « OBSERVATOIRE DU DROIT À LA SANTÉ. Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. Albert Einstein Depuis quelques années, nous savons où, dans le cerveau, se trouvent la compassion et la réflexion. Les neurones empathiques (qu’on appelle aussi les neurones miroirs et les neurones échos) ont pour fonction de faire entrer en Soi l’Autre.

Lorsque nous pensons à autrui, les neurones miroirs (voir illustration ci-dessous) s’activent et mettent en scène leurs actions et leurs intentions comme si c’étaient les nôtres. La découverte des neurones empathiques vient résoudre l’énigme de la capacité des nouveaux-nés, mise en évidence par Mertzoff et Moore en 1977 (voir ci-dessus), de répéter les gestes des adultes avant même qu’ils aient eux-mêmes appris ces gestes.

Les autistes et les sociopathes (ou psychopathes) ont les neurones empathiques en piteux état. Ce que devient l’enfant né empathique Fonction sociopolitique de l’horreur : panem et circenses Le traitement Références. Panorama du Web.