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Rapport social: Les Suisses satisfaits de leurs conditions de vie - News Vivre: Société. Les Suisses s'estiment globalement contents de leur vie.

Rapport social: Les Suisses satisfaits de leurs conditions de vie - News Vivre: Société

C'est ce que montre une étude de sciences sociales publiée ce mardi qui se concentre sur le bien-être. Mais cette satisfaction est très vite mise à mal par les inégalités et les discriminations. L'enquête du Centre de compétence suisse en sciences sociales (FORS), soutenue par le Fonds national suisse, se fonde non seulement sur des données rationnelles, tel le niveau de bien-être économique, financier ou social, mais intègre aussi des éléments subjectifs. Il est par exemple demandé comment les Suisses apprécient leur propre influence sur la politique ou quel est leur sentiment d'insécurité. Le niveau de bien-être révèle inévitablement des inégalités existantes, selon l'étude. Des résultats toutefois à prendre avec des pincettes, a précisé Dominique Joye, professeur de sociologie à l'Université de Lausanne, lors de la présentation du rapport devant les médias à Berne.

Revenu pas déterminant Famille et réseau social. Le généticien Axel Kahn nous parle, sans gêne, de son rapport à l'argent. Dewi et Eka sont deux vraies jumelles indonésiennes.

Le généticien Axel Kahn nous parle, sans gêne, de son rapport à l'argent

La première, élevée par sa famille, deviendra une brillante chercheuse. La seconde, recueillie dans une institution religieuse après avoir passé ses 10 premières années dans la jungle parmi les orangs-outans, restera une enfant sauvage et mourra jeune. Les mêmes gènes, deux destins opposés. Par le truchement de cette fiction, Axel Kahn explore dans son dernier livre, Etre humain, pleinement (Stock, 2016), les conditions de l'épanouissement "pleinement humain". Il est question d'enfance, de gènes, d'amour, d'amitié, de beauté, de bonheur. Alors nous avons souhaité en savoir plus sur son propre rapport à l'argent, son histoire financière.

Etre propriétaire rend-il heureux ? En 1998, 44 % des ménages, toutes générations confondues, étaient en capacité d'acheter un bien immobilier collant à leurs besoins.

Etre propriétaire rend-il heureux ?

Douze ans plus tard, ils n'étaient plus que 27 %, selon une étude publiée en décembre par l'Université Paris-Dauphine et le Crédit foncier. C'est grave, docteur ? Devenir propriétaire est-il un élément clé du bonheur ? Non, répond l'économiste Mickaël Mangot, spécialiste d'économie comportementale. La politique et le bonheur  ? Le but de la politique : augmenter le bonheur total, selon layar Certains auteurs, Sir Richard Layard en fait partie, cherchent le but ultime de la politique.

La politique et le bonheur  ?

Layard estime, dans un livre intitulé « le prix du bonheur », que la justification suprême, c’est d’augmenter le bonheur du plus grand nombre. Il prétend que les premiers « économistes » poursuivaient à l’origine cet objectif, mais qu’à défaut de pouvoir le mesurer, il a été remplacé par l’augmentation de la richesse. Selon Layard, on dispose aujourd’hui des méthodes et données pour mesurer le bonheur, ce qui permet in fine de poursuivre cet objectif dans toutes les politiques. Le but de ce papier est de bien comprendre la pensée de Layard. L'économie du bonheur. Que l'économie s'occupe de la question du bonheur est caractéristique de notre époque.

L'économie du bonheur

Notre civilisation actuelle pourrait bien en effet se définir par ces deux termes : "économie" et "bonheur". La foi dans le quantitatif et les chiffres pour rendre compte de la réalité d'une part, et notre volonté affichée d'être heureux d'autre. L'économie du bonheur rassemble ces deux traits en une discipline académique. Son postulat de base de l'économie du bonheur est davantage révélateur encore, puisqu'elle suppose que la croissance économique nous rendrait heureux. L'importance de la croissance économique serait donc là; et elle expliquerait pourquoi notre président de la République a fait de la croissance son credo depuis 2012 - du moins jusqu'aux attentats.

Paradoxe d’Easterlin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paradoxe d’Easterlin

Le paradoxe d’Easterlin tient son nom de l’économiste qui l’a mis en évidence en 1974 : une hausse du PIB ne se traduit pas nécessairement par une hausse du niveau de bien-être ressenti par les individus. Les explications avancées font notamment appel au paradoxe de l'abondance. Le paradoxe d’Easterlin est l'une des réflexions à la base de l'économie du bien-être. Richard Easterlin a mis en évidence le fait qu'une fois qu'une société a atteint un certain seuil de richesse, la poursuite de son développement économique est sans influence sur l'évolution du bien-être moyen de sa population. Ou du moins, l'effet n'a cours que sur une partie seulement de cette dernière. Critiques et recherches ultérieures[modifier | modifier le code] En 2010, Easterlin a publié des résultats concernant un échantillon de 37 pays, réaffirmant le paradoxe[2],[3], qui fut cependant aussitôt contesté par Wolfers[4].

Le Bonheur National Brut. Article publié dans le numéro de novembre (n°105), par Laurent Cougnoux, mis en ligne le 19 novembre 2016 Dès que l'on parle d'économie, le PIB (Produit intérieur brut) est inexorablement cité.

Le Bonheur National Brut

Rassurez-vous, pas de cours d'économie dans ces quelques lignes ! Juste un petit rappel sur la définition de cet acronyme qui définit « un indicateur principal de mesure de la production économique réalisée à l’intérieur d'un pays, en quantifiant la valeur totale de la « production de richesse » effectuée par les agents économiques résidant à l’intérieur de ce territoire (ménages, entreprises, administrations publiques). Le PIB reflète donc l’activité économique interne d’un pays et la variation du PIB d’une période à l'autre est censée mesurer son taux de croissance économique ». Pourtant cet indicateur économique principal est fortement contesté. Argent : ce que nous apprend l'économie du bonheur. Acheter sa maison, s'offrir un voyage...

Argent : ce que nous apprend l'économie du bonheur

Nos décisions budgétaires impactent nos finances, bien sûr, mais aussi notre bonheur. De quelle manière ? « Notre course à la croissance n’a pas de sens » Isabelle Cassiers est professeure d’économie à l’université catholique de Louvain (Belgique) et chercheuse qualifiée du Fonds de la recherche scientifique (FNRS, belge).

« Notre course à la croissance n’a pas de sens »

Elle a coordonné le livre Redéfinir la prospérité, qui s’interroge sur la dissonance entre croissance économique, durabilité environnementale et bien-être humain. Convaincue du caractère non soutenable de notre développement économique, elle s’intéresse au nouveau paradigme que le Bhoutan tente de mettre en place à travers son indicateur du bonheur national brut. Isabelle Cassiers. Reporterre — Comment, en tant qu’économiste, en êtes-vous venue à étudier la thématique du bonheur ? Isabelle Cassiers — C’est au terme d’un long parcours de recherche en histoire économique et sociale, parcours qui m’a dirigée vers le questionnement de notre conception de la prospérité. Rapport social: «Le bonheur reste lié aux ressources matérielles» Pauvreté, chômage, exclusion, voilà qui peut entraver le bien-être personnel.

Rapport social: «Le bonheur reste lié aux ressources matérielles»

Lapalissade? Un peu. Le Rapport social 2016, publié hier, ne réserve pas de scoop: les Suisses sont globalement contents de leur vie. Mais attention, prévient le professeur Dominique Joye, un des auteurs de l’étude, il y a aussi une pression sociale à déclarer qu’on est heureux. Retour en interview sur certaines conclusions surprenantes. Dominique Joye, vous êtes un des auteurs de l’étude. Quand le matérialisme entrave la vraie vision du bonheur. Alors oui vous allez me dire que les temps actuels sont quand même difficiles à cause de la crise économique créée par des dirigeants peu scrupuleux laissant bon nombre de citoyens en difficulté pécuniaire quotidienne. Mais c’est un autre débat .

Ce dont il sera question, c’est du matérialisme et du fait que nous avons TOUT pour être heureux. Mais nous ne sommes jamais contents ! Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous ma vision du bonheur en participant à la 66ème édition du festival « A la croisée des Blogs » organisée par Jean-Pascal du blog « Les livres du bien-être » et tenter de répondre avec plaisir à la question « Le bonheur, tout le monde est à sa recherche mais qu’est-ce que c’est ? La société de consommation mène t-elle au Bonheur ? - Peace and Punk. "Depuis le début du siècle, nous vivons dans une société de consommation. Ce phénomène social c’est accentué à la mesure que le temps avance et n’a sûrement pas atteint encore son paroxysme. Mais, ce système, quelque peu chaotique, fait ressortir diverses questions sur la société.

Alors, on peut se demander si la société de consommation mène au bonheur ? L'économie du bonheur existe ! Matérialisme et bonheur, des valeurs qui s'opposent. L’argent ne fait pas le bonheur… La recherche psychologique récente a non seulement montré la vérité de cette maxime, mais a commencé à démontrer que quand les gens organisent leurs vies autour de la poursuite de la richesse leur bonheur peut même diminuer. Les études sur les rapports entre le bonheur et la richesse matérielle des psychologues américains E. Diener et D. «La croissance harmonise le bonheur de tous» La croissance rend-elle les gens plus heureux ? Question hautement polémique au moment où la France s’enlise dans la récession, où la menace écologique est une urgence et où une partie des citoyens et des chercheurs militent pour un modèle décroissant. En interrogeant les ressorts de la croissance au regard du bien-être dans son nouveau livre l’Economie du bonheur, Claudia Senik, professeure à l’université Paris-Sorbonne et à l’Ecole d’économie de Paris, relance le débat.

L'économie du bonheur. Les arguments de l’économie du bonheur : les critiques et les réticences des économistes sont-elles solubles dans l’économétrie et l’imagerie cérébrale ? Les déclarations des individus sur leur bien-être ne sont pas des phénomènes aléatoires et infondés. Les économistes en veulent pour preuve la correspondance entre les déclarations de satisfaction ou de bien-être et les manifestations physiques de la peine et de la joie, que peuvent capturer les sciences cognitives, la médecine ou la psychologie. Les individus qui se disent heureux ont par exemple une activité cérébrale plus importante dans la partie préfrontale du cerveau droit qui serait le siège des émotions positives, d’après des travaux d’imagerie cérébrale.

Ces correspondances confortent les économistes. Pour appuyer son propos, Richard Layard va même jusqu’à reproduire les images de cerveaux dans son livre, Happiness. Le bonheur, une idée neuve en économie. En 2011, l'enseignante à l'université Paris-I-Sorbonne et membre de l'Ecole d'économie de Paris est sollicitée par les médias pour élucider ce phénomène en apparence inexplicable.

Ses travaux ricochent aux Etats-Unis, où The New Yorker publie un article intitulé « Glad to be unhappy : the French case », et en Grande-Bretagne, où elle est citée à foison par le quotidien The Guardian. Tout le monde s'emballe. Il n'en fallait pas plus pour réveiller la controverse politique. Claudia Senik, elle, a choisi son camp : « Une économie sans croissance ? Vers une économie du bonheur? L'économie du bonheur. On le sait peu mais les économistes s'intéressent au bonheur des gens !

On comprend pourquoi et comment grâce à cette introduction très claire de l'une des meilleures spécialistes du sujet. Tout démarre par un paradoxe mis en avant par l'économiste américain Richard Easterlin : devenir plus riche ne rend pas les gens plus heureux. «Aujourd’hui, le bonheur est à vendre» 3 Mars 1794. Thème BTSA : Bonheur.