background preloader

Soudan

Facebook Twitter

South Sudan independence: Sudan's south must still be kept sight of - latimes.com. These are heady days. Across the Middle East and North Africa, hundreds of thousands of angry citizens have taken to the streets, calling for freedom, insisting that dictators step aside and demanding a voice in their own destinies. But even as extraordinary change roils the region, it is important to remember that deposing a dictator and shucking off the ancien regime does not lead inexorably or immediately to democracy.

Think of France in 1789 or Russia in 1917 or Iran in 1979. In fact, the lesson of these and other precedents is that it is only in the weeks, months and even years after radical change is proclaimed that it becomes clear what will follow. Consider southern Sudan. So there was reason for exhilaration when secession was approved. But just a month later, southern Sudan is off the front pages. The challenges ahead are enormous. The decision to secede was not a mistake, nor are these challenges terribly surprising. Sudan: Abyei ethnic clashes mar peace deal.

28 February 2011Last updated at 11:32 At least 10 people have been killed in fighting between rival ethnic groups in Sudan's disputed oil-producing region of Abyei, officials say The clashes between Arab nomads and the southern Dinka Ngok people are the first since a deal between the two sides was agreed last month. Abyei lies on the border between north and south Sudan.

The region did not take part in last month's referendum in which southerners voted to split from the north. 'Fighting continuing' Abyei is due to vote on whether to join the north or south at a later, unspecified date. The Dinka Ngok think it belongs in the south, while the nomadic Arab Misseriya see it as northern. The heart of their dispute is about grazing rights for cattle, which are central to both communities' traditions and economies. Both sides accused each other of starting the recent clashes. The Dinka Ngok and Misseriya groups signed a deal last month to end the violence. "There is still fighting going on. Soudan : l’opposition dénonce l’"agressivité" de la police. Manifestations Le chef de l’opposition soudanaise Yassir Arman a dénoncé dimanche l’"agressivité" des forces de sécurité contre les manifestations antigouvernementale d’étudiants et demandé la fin du règne du parti unique dans le Nord du pays.

"L’agressivité avec laquelle les forces de sécurité, la police et les membres du parti au pouvoir (le Parti du Congrès national, NDLR) ont traité les manifestations pacifiques d’étudiants et de jeunes gens (...), les coups et les arrestations (...) ne feront que mener à davantage de désordre", a dit M. Arman dans un communiqué. M. Arman, à la tête de la branche Nord du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM, ex-rebelles sudistes), a en outre réclamé la libération des manifestants arrêtés, l’arrêt de la hausse des prix et une nouvelle Constitution "pour résoudre la crise". Le scrutin avait été boycotté par un pan important de l’opposition, qui dénonçait des élections truquées, et -partiellement- par les ex-rebelles sudistes du SPLM. Soudan: heurts entre la police et des manifestants anti-Béchir.

Soudan : libération des journalistes du journal Rai Al Shaab | Référendum au Soudan: arrivée du panel des Nations Unies à la veille du début des inscriptions. 14 novembre 2010 – Le panel de l'ONU chargé de surveiller les référendums d'autodétermination à venir au Soudan est arrivé dimanche dans le pays, alors que doivent débuter lundi les opérations d'enregistrement des électeurs dans les régions du Sud-Soudan et d'Abyei. « L'inscription des électeurs représente une phase critique dans le processus électoral et nous suivrons ces opérations de très près pour voir comment elles sont menées », a indiqué l'ancien chef d'état de Tanzanie et chef du panel, Benjamin Mkapa. « Nous espérons que tous les électeurs du Sud-Soudan, où qu'ils vivent, sauront se tourner vers la paix et s'inscrire pour le référendum.

Nous savons que l'organisation de cette étape n'a pas été facile, à cause de la taille du pays et de l'ampleur du processus, mais nous restons confiants sur son bon déroulement », a-t-il ajouté. Les opérations d'enregistrements des électeurs doivent démarrer 15 novembre et s'achever le 1er décembre. Sudan.pdf (Objet application/pdf) Soudan: Un civil de la Minuad enlevé au Darfour - Fil news. George Clooney : au Soudan pour l'ONU.

Washington s’inquiète d’un nouveau conflit au Soudan et multiplie les efforts diplomatiques. Alors que Khartoum et le Sud-Soudan sont parvenus à régler un litige sur les royalties du pétrole, les Etats-Unis s’inquiètent des risques de tension liés au pétrole en cas de partition du Soudan. La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, qualifie le référendum d'autodétermination du Sud, prévu en janvier, de bombe à retardement, tandis que le président américain, Barack Obama, s'investit en personne et annonce sa participation à une réunion sur le Soudan, le 24 septembre à l'ONU. Que va t-il se passer quand l'inévitable se produira, quand le référendum aura eu lieu et que le Sud proclamera son indépendance ? C’est la question que pose Hillary Clinton inquiète du risque de voir éclater un nouveau conflit. La préoccupation de la secrétaire d'Etat américaine et plus largement des Etats-Unis se traduit par des efforts diplomatiques tous azimuts.

Scott Gration l'émissaire américain est parti jeudi 8 septembre 2010 pour Khartoum et Juba.

Documentation

Le Sud pourra-t-il survivre sans le Nord ? Pas sûr. Soudan, Politique : Jeuneafrique.com. Janvier 1956. Le Soudan n’a pas le temps de célébrer son indépendance nouvellement acquise que le Sud revendique déjà son autonomie. Il veut protéger ses ressources, ses pouvoirs locaux et sa foi chrétienne. La bataille sera longue : en un demi-siècle, les Soudanais n’auront connu qu’un bref répit, au tournant des années 1970.

Lorsque la guerre civile s’arrête, en janvier 2005, elle laisse derrière elle 2 millions de morts. Le gouvernement soudanais, dirigé par le Parti national du congrès (NCP) d’Omar el-Béchir, et les Sudistes du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM) ont fini par s’entendre et signer un accord de paix. Un gouvernement d’union et de nouvelles institutions autonomes devront préparer un référendum d’autodétermination, prévu en janvier 2011. Ils auront six ans, le temps de « faire de l’unité une option attirante », selon les termes de l’accord, pour les quelque 10 millions de Sud-Soudanais. « État croupion »

Sudan: Defining the North-South Border. Africa Briefing N°75 2 Sep 2010 The January 2011 referendum on self-determination could result in Sudan’s partition, and the country’s North-South border may ultimately become the world’s newest international boundary. The 2005 Comprehensive Peace Agreement (CPA) that ended two decades of civil war called for the border between the North and the semi-autonomous South to be demarcated within six months. Five years later, the task remains incomplete. The sooner the parties break the border deadlock the better, though the process need not necessarily be completed prior to the referendum as Khartoum has argued previously. Furthermore, a solution to the border is about not only drawing a line, but also defining the nature and management of that border and the future relations of communities on both sides.

A “soft” boundary is ideal, one backed by a framework for cross-border arrangements and, if necessary, safeguarded by a joint monitoring mechanism. Reuters AlertNet - Floods in south Sudan leave nearly 60,000 homeless.