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Mise en place

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Le Ministère de la Culture dément être l’auteur des téléchargements… et s’enfonce ! La réaction officielle de la part du Ministère suite aux accusations de téléchargements illégaux s’est fait attendre, mais un représentant officiel a enfin daigné nous répondre. Et les arguments employés ne manquent pas de saveur ^^ Suite aux allégations concernant la prétendue utilisation d’adresses IP du Ministère de la Culture et de la Communication à des fins de téléchargement illégal, le Ministère tient à apporter les précisions suivantes.La direction des systèmes d’information du Ministère veille strictement à l’utilisation qui est faite des ordinateurs de son parc.

La configuration de son réseau empêche la connexion à des réseaux de pair à pair, ce qui exclut toute possibilité d’usage de tels réseaux à des fins de téléchargement illégal à partir d’ordinateurs du ministère. Si vous recevez un jour un mail de la part d’Hadopi, vous avez ici un florilège de réponses évasives à fournir pour vous justifier ! Devant l'Hadopi, le silence est la meilleure des défenses. A chaque semaine sa vérité. La semaine dernière, la présidente de la Commission de protection des droits (CPD) de l'Hadopi expliquait à Numerama qu'aucun dossier d'abonné averti n'avait encore été transmis au tribunal, et surtout que jusqu'à présent aucun n'était susceptible de l'être. Le profil type de l'abonné convoqué par l'Hadopi était celui d'un provincial (à 90 %), qui n'y comprend pas grand chose au Peer-to-Peer et qui assure qu'il prendra désormais les mesures nécessaires, lorsque la CPD lui explique les tenants et aboutissants.

Mais cette semaine dans Les Echos, la même présidente de la CPD assure désormais qu'il "y aura des transmissions au parquet avant le printemps". "Nous prenons beaucoup de temps et faisons attention sur les dossiers, pour qu'ils soient incontestables", explique-t-elle. Et c'est bien tout le problème juridique qui se pose à elle, et toute la perversité du système.

Le silence oblige à une véritable enquête pénale. Nicolas Sarkozy veut s'attaquer au streaming. 01net le 18/11/11 à 16h20 Les industries du cinéma et de la musique sont rassurées. Le gouvernement n’a pas l’intention de baisser les bras devant le piratage. Bien au contraire. C’est le sens du discours que vient de prononcer Nicolas Sarkozy, en déplacement au Forum d'Avignon, où se tient le Sommet culturel sur la création à l'ère numérique, organisé dans le cadre de la présidence française du G20 et du G8.

Le président de la République a clairement laissé entendre que le streaming serait la prochaine cible de la lutte antipiratage. « J'aime une musique, je veux la partager : la démarche n'est pas en soi négative. Sur les sites de streaming, l’idéologie du partage, excusez-moi, c’est l’idéologie de l’argent : je vole d’un côté et je vends de l’autre. Le piratage en baisse de 35 % sur le P2P L’idée d’une Hadopi 3 est donc revenue sur le tapis. Source des vidéos : France TV Info.

Oops

Des députés ont trouvé une solution pour sauver les ayants-droits de la faillite. Le net, c'est magique ! Grâce à tous les gens qui vont se faire choper par l'Hadopi, les ayants droits (maisons de disques, Sacem, SCPP et autres machins dans le genre) vont pouvoir encore plus s'engraisser ! En effet, cette semaine, Hadopi est passée du statut de loi éducative à une machine à cash pour les industries qui dupliquent et vendent cette technologie du passée qu'on appelle le CD. Comment ? Et bien grâce à une poignée de députés qui dans la nuit du 4 au 5 juillet de cette semaine, ont adopté la loi dite de "Répartition des contentieux et allègement de certaines procédures juridictionnelles" Ce qui touche les internautes ici et plus particulièrement les gens qui se feront choper par l'Hadopi, c'est l'article 20 de la loi qui dit que : En langage clair, cela signifique qu'une fois que vous aurez reçu vos emails d'avertissement, vos lettres recommandées et que votre dossier est envoyé au juge, vous pourriez avoir à payer des dommages et intérêts aux ayants droits qui le réclament.

Hadopi : les abonnés identifiés par les FAI et les premiers messages d'avertissement bientôt lancés. Hadopi : une enquête à voir ! Le décret est publié au JO : Hadopi est née - Actualités - ZDNet. La loi Hadopi est votée. Adoption du projet de loi sur la création sur Inte. Hadopi : 4 organismes demandent à la CNIL le droit de collecter. Socle de la loi Hadopi, la collecte et le traitement des adresses IP des internautes suspectés de téléchargement illégal sur les réseaux P2P sont actuellement soumis à l’approbation de la CNIL. D’après le magazine Edition Multimedi@ à paraître le 26 avril, quatre organismes représentant les ayants droit de l’industrie musicale et cinématographique ont déposé en avril des dossiers de demande d’autorisation à la CNIL. En 2005, la CNIL avait dit non Il s’agit de l'Association de lutte contre la piraterie audiovisuelle (Alpa), de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem), de la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP), et la Société civile des producteurs de phonogrammes en France (SPPF).

Pour collecter des adresses IP de téléchargeurs présumés, par l’intermédiaire du prestataire TMG, ces sociétés doivent au préalable obtenir l’aval de la CNIL. La CNIL avait rendu un avis défavorable sur Hadopi en 2008. Galerie d'images : Trombinoscope : les 9 sentinelles de la Hadopi - ZDNet.fr. Hadopi – La France doit avoir peur. Ce week end, j'avais commencé un petit article "résumé" sur Hadopi puis je suis tombé sur celui de 01net qui reprend bien tous les points et qui je pense devrait vous intéresser. Pour résumer le résumé, voici ce qu'on sait aujourd'hui : Les mails devraient partir en septembre (après avoir été annoncés pour fin juin)Seul le p2p sera concerné. Le direct download et les newsgroups, c'est pas encore pour tout de suiteTMG compte balancer 50 000 cas de téléchargement illégal par jour (woooh)Seedfuck qui consiste à injecter des fausses ip dans les réseaux p2p sera inutile car TMG (la boite qui collecte les IPs) devra initier une connexion et commencer à télécharger des bouts de fichiers chez les partageurs du dimanche.

Ces bouts de fichiers seront conservés comme preuve.10 000 oeuvres (audio) et une centaine de vidéos seront surveillées sur les réseaux p2p. 5000 daubes récentes et 5000 trucs plus classiques (goldman, sardou, lorie et j'en passe...). Bon, ça c'est pour Hadopi... [Photo] BitAudit – Comment fonctionne une collecte d’adresse IP Hadopi. BitAudit – Comment fonctionne une collecte d’adresse IP Hadopi BitAudit est une application développée par un ingénieur qui souhaitait illustrer de manière concrète comment fonctionne Bittorrent... Et de fil en aiguille, il en a fait une véritable arme anti-téléchargeur compulsif. En effet, BitAudit fait exactement ce qui a été décrit par Hadopi/TMG, à savoir récolter les adresses IP, initier des connections et récupérer de véritables morceaux de fichiers (et ainsi éviter le flood Seedfuck).

J'ai de gros doutes sur la véritable raison qui a poussé ce dev a créer un tel logiciel. Il nous sort que c'est purement éducatif mais je pense que c'est surtout pour ne pas se faire frapper par les anti-anti-p2p et vendre BitAudit ou ses compétences aux plus offrants. Maliiiin ! N'empêche, avec un tel soft dans la nature, n'importe quel sbire d'Hadopi pourrait s'en servir en l'état et aller à la chasse au pirate (avec l'autorisation CNIL bien sûr), sans devoir faire 3 ans de R&D avant.

[Source] Super Hadopi rentre chez lui. La polémique a tué notre ami Super Hadopi. France 5 a décidé de retirer de son site Curiosphere.tv la vidéo "éducative" expliquant aux enfants et aux ados le piratage et la riposte graduée, une vidéo truffé de raccourcis et franchement partiale. Interrogé par Ecrans.fr, Jean-Marc Merrieux, directeur des actions éducatives à France 5, explique et concède les erreurs commises : "Nous voulions une animation très factuelle pour que les médiateurs éducatifs puissent la montrer aux adolescents. C'est notre objectif et une telle vidéo est aujourd'hui nécessaire. Mais, évidemment, il faut quelque chose d'irréprochable, en dehors de toute polémique. " Regard décalé On regrettera simplement que le diffuseur ait mis autant de temps à s'apercevoir que la vidéo n'était pas si irréprochable que cela.

Le dessin animé prend en effet quelques libertés avec la réalité. D'ailleurs, pour notre super héros, "télécharger illégalement une oeuvre artistique, c'est du vol". Xavier Niel et Hadipo. Le budget 2011 de l'Hadopi. Nos confrères d’Owni ont publié en fin de semaine dernière une étude comparative entre le budget de l’Hadopi et celui de la CNIL. Avec un résumé en un tweet de Jean-Marc Manach : « La @CNIL a mis 32 ans pour obtenir un budget de 13 M€. La #Hadopi, 1 an seulement ». L’occasion de décortiquer le budget 2011 de l’Hadopi 10,58 millions d’euros en 2010. 13,790 millions d’euros pour 2011. Les postes les plus gourmands en finances publiques ?

Les dépenses de fonctionnement (hors dépenses de personnels) à 6,6 millions d’eurosLes dépenses de personnels à 4,43 millions d’euros.Les dépenses d’investissement qui s’élèvent à 2,57 millions d’euros Mais c’est dans le détail que se cachent les gouffres financiers, ceux qui catalysent le plus les ressources de l’État. 750 000 euros pour les études et recherches Les études et recherches explosent également en 2011. 1 470 000 euros pour le label offre légale 27 personnes dans le coeur de l'Hadopi En 2011, la Hadopi va monter en charge.