French-iPad. iPad : 6 défauts d'utilisabilité pointés par le gourou de l'ergo. Si le célèbre ergonome Jakob Nielsen reconnaît beaucoup de qualités à l'iPad en termes d’expérience et surtout de plaisir d’utilisation, il pointe une série de problèmes plus ou moins importants, dus à la fois à Apple et aux développeurs tiers.
L’iPad pâtirait de la richesse de ses contenus. Selon une étude menée par l’expert sur sept utilisateurs d’iPhone et un utilisateur habitué à l’iPad, l’interface qui convient si bien à l’iPhone est beaucoup moins pratique une fois portée sur un écran de 9,7". Explications. Une interface d’iPhone trop agrandie Sur l’iPhone, l’écran étroit permet de toujours avoir la barre inférieure en vue pour par exemple connaître le volume.
En conséquence, la barre d’onglets est peu regardée, voire oubliée. Après l’iPhone dans les pubs californiens, l’iPad dans les brass. L'iBook Store compte 46 000 ouvrages - Actualités - ZDNet.fr. 29,5% des ouvrages se classent dans la section fiction et littérature loin devant les policiers (6%), les biographies (5,5%) et l’histoire (3,7%).
Il y a, en tout, une centaine de catégories de livres. Trois (Penguin, HarperCollins et Simon and Schuster) des cinq éditeurs ayant passé un accord avec Apple (préalable au lancement de l’iPad) se taillent la part du lion pour le nombre de références. C’est Penguin qui arrive en tête avec 23.5% du total des ouvrages présents dans l’iBookStore, suivi de Simon and Schuster (19%) et de HarperCollins (15,9%). En revanche, Hachette et MacMillan n’apparaissent pas dans le classement. Les catégories populaires sous la barre des 10 dollars L’autre enseignement intéressant vient du prix moyen de vente des ouvrages. En contrepartie, Apple peut vendre les best-sellers figurant sur la liste du New-York Times à moins de 10 dollars. Illustration : O'Reilly Radar. « La tablette Apple, c’est un peu le minitel 2.0 »
Marin Dacos, ingénieur de recherche au CNRS et directeur du Centre pour l’édition électronique ouverte (Cléo) (1) analyse la stratégie d’Apple.
Que vous inspire la frénésie autour de l’iPad? Elle a un côté idolâtre et consumériste. Il existe dans notre société une attente forte et un suspense autour d’un objet définitif et sauveur qui résoudra tous les problèmes. Cela rassure l’industrie qui a du mal à penser le multimodal. L’édition mise sur les liseuses, comme le Kindle, un objet dédié qui mime le livre lui-même. Pourquoi l’objet paraît-il prometteur? Les acteurs imaginent que l’iPad va réintroduire un contrôle du marché. Et concernant le livre numérique? Il faut replacer la question de l’iPad dans la problématique du trio Apple-Amazon-Google, qui constitueraient trois hubs à l’échelle mondiale de diffusion de textes électroniques. . (1) Vient de publier avec Pierre Mounier «l’Edition électronique», La Découverte «Repères». Lire les réactions à cet article. Frédérique ROUSSEL. iPad : les distributeurs spécialisés Apple en colère. Le succès de l'iPad (2 millions d'unités écoulées en deux mois) ne semble pas profiter à l'ensemble de l'éco-système Apple.
Les Echos nous apprennent en effet que certains distributeurs français affichent leur mécontentement face à la stratégie de la pomme. Explications. Pour sa tablette, Apple a préféré mettre le paquet sur ses Apple Store, Internet et sur la grande distribution spécialisée, délaissant les célèbres 'Apple premium resellers', (APR) ces boutiques labellisées qui ne vendent que des produits pommés, pourtant partenaires historiques du constructeur. "Relation subie" Pourquoi je n'achèterai pas un iPad (et pense que vous ne devrie. Voilà dix ans que j’écris des chroniques sur Boing Boing pour y faire découvrir des trucs sympas que d’autres ont créés.
La plupart des nouveautés vraiment intéressantes ne sont pas venues de grosses entreprises aux budgets gigantesques, mais d’amateurs qui expérimentent. Des gens qui ont été capables de créer des produits, de les proposer au public et même de les vendre, sans avoir à se soumettre aux diktats d’une seule entreprise qui s’autoproclame gardien de votre téléphone et autres engins high-tech personnels. Danny O’Brien explique très bien pourquoi je ne vois aucun intérêt à l’achat d’un iPad – on dirait vraiment le retour de la « révolution » CD-ROM, quand l’industrie du « contenu » proclamait qu’elle allait réinventer les médias, en concevant des produits hors de prix (à fabriquer et à acheter).
Et mes parts ne vaudraient pas grand-chose. Les entreprises dominantes font de piètres révolutionnaires Qu’ont-ils fait chez Marvel pour « améliorer » leurs bandes dessinées ?
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